Worst WrestleMania Ever

Le pire, c'est la guerre.

Bernard Kouchner, les Guignols.

 

On nous promet depuis longtemps un événement exceptionnel pour le 3 avril 2016. On nous a dit que Vince McMahon et son équipe voulaient profiter du cadre immense de l’AT&T Stadium pour battre tous les records de fréquentation et d’audience de WrestleMania en proposant un show historique. On était donc en droit d’espérer ou d’attendre une carte très alléchante, ou du moins des affiches de folie mêlant stars actuelles et légendes du business. Votre serviteur avait d’ailleurs imaginé il y a presque un an une petite carte fictive, qui restera du domaine du rêve. Car avec une série dramatique de forfaits (Cena, Orton, Cesaro, Rollins, Bryan) et une Road en demi-teinte, les suiveurs commencent à avoir peur. Alors autant exorciser nos craintes et imaginer clairement, au vu des infos disponibles à une semaine de l’évènement, le déroulement du pire. Pour se dire après coup qu’on aura au moins évité ça.

 

 

Oui, soyez prêts. En même temps on vous a fait le coup déjà deux fois.

 

 

Projection de ce qui pourrait nous arriver de pire à WrestleMania 32

 

Le pire, c'est la guerre.

Bernard Kouchner, les Guignols.

 

On nous promet depuis longtemps un événement exceptionnel pour le 3 avril 2016. On nous a dit que Vince McMahon et son équipe voulaient profiter du cadre immense de l’AT&T Stadium pour battre tous les records de fréquentation et d’audience de WrestleMania en proposant un show historique. On était donc en droit d’espérer ou d’attendre une carte très alléchante, ou du moins des affiches de folie mêlant stars actuelles et légendes du business. Votre serviteur avait d’ailleurs imaginé il y a presque un an une petite carte fictive, qui restera du domaine du rêve. Car avec une série dramatique de forfaits (Cena, Orton, Cesaro, Rollins, Bryan) et une Road en demi-teinte, les suiveurs commencent à avoir peur. Alors autant exorciser nos craintes et imaginer clairement, au vu des infos disponibles à une semaine de l’évènement, le déroulement du pire. Pour se dire après coup qu’on aura au moins évité ça.

 

 

Oui, soyez prêts. En même temps on vous a fait le coup déjà deux fois.

 

 

Projection de ce qui pourrait nous arriver de pire à WrestleMania 32

 

 

André The Giant Battle Royal

 

Cette année, ils sont vingt à se disputer en préshow pour avoir l’honneur d’ajouter leur nom sur un trophée qui n’a pour le moment servi à rien. Les Social Outcasts sont vaguement rigolos, ils éliminent une série de jobbeurs (Fandango, Damien Sandow, Mark Henry, Jack Swagger, l’Ascension, R-Truth, Tyler Breeze) dont certains mériteraient bien mieux, je vous laisse deviner lesquels. Ils éliminent aussi Chris Jericho, orphelin de son match contre AJ Styles qui s’est pété le genou à Smackdown. Mais le quatuor excité finit par gicler, expulsés par Kane et le Big Show.

 

 

I gotta feeling, that tonight gonna be a good night… Bon, les mecs, qui fait Fergie qui fait l’Indien ?

 

 

Les deux géants se livrent à une série de coups de poing fatigués avant d’être décollés du ring par Bray Wyatt et Eric Rowan. Surprise, les crados sont trahis par leur acolyte Braun Strowman, qui les élimine et remporte la bataille. Le patriarche doit contenir la colère de son disciple roux et ne semble plus savoir quoi penser. Les plus déprimés d’entre nous prévoient une scission de la Family suivie d’un push pour le gros bébé barbu. A suivre donc.

 

 

Dégagez, vieilles gloires ! Le futur, désormais, porte mon nom.

 

 

The Usos Vs The Dudleyz

 

Avez-vous remarqué à quel point la carte était chargée cette année ? Oui, les bookeurs aussi, alors cette petite guerre de générations est confinée au pré-show et dure à peine quelques minutes. Les Usos l’emportent facilement, les frangins extrêmes sont énervés, la suite dans un mois.

 

 

US Title : Kalisto Vs Ryback

 

Il fait encore grand jour dans le soleil texan et la retransmission officielle débute. Un violent son de machine de guerre fait trembler l’arène. Une grue métallique dévale la rampe, à laquelle pend une immense boule de démolition. Un homme à demi nu se balance à califourchon sur la dite boule. C’est Ryback ! Sa musique d’entrée envahit le stade. Hommage à Miley Cyrus ou référence à son surnom « The Human Wrecking Ball » ? En tout cas cette arrivée place directement le ton du bon goût de la soirée. Surexcité à cause d’un mauvais dosage de stéroïdes, l’homme arrive sur le ring en frappant ses bras sur son torse et sur son crâne. Le public hue, malgré un soutien notable de la part de certains texans.

 

 

Valjean, t’es qu’un pédé !

 

 

Kalisto entre alors à son tour, il se démène pour lancer un mouvement « Lucha ! » mais privé de son acolyte, ce n’est pas la même musique. Ryback commence par dominer la rencontre à coups de cordes à linge et de projections. Il promène le corps du Mexicain d’un coin à l’autre du ring, et c’est très chiant. Puis, le champion reprend le dessus à l’aide de quelques contres pourtant téléphonés. Malheureusement, il botche un Hurracanrana et se tord la nuque. Le final est précipité, Ryback place un petit paquet et devient le nouveau champion des Etats-Unis, pendant que Kalisto est évacué à l’hôpital puis à la frontière.

 

 

TagTeam Championship : New Day Vs League Of Nations

 

“Hoooo WrestleMania !”

Voici venir ce qui restera comme le meilleur moment du show, l’arrivée survoltée de Kofi Kingston, Xavier Woods et Big E. Le stade est rempli de T-shirts dédiés aux céréales Booty-Os dont les énergumènes distribuent des paquets entiers aux premiers rangs. S’ensuit une enthousiaste intervention au micro du trio positiviste, qui se moque de leurs adversaires du soir. Ces derniers arrivent sur une musique tonitruante, chacun drapé aux couleurs de sa terre d’origine. Suite à un accord avec l’Autorité, rappelons qu’il s’agit d’un match à handicap et que les trois champions défendent leur bien contre les quatre méchants.

Forts de cet avantage, le quatuor domine le début de rencontre, écrasant le pauvre Kofi. Tout ça, bien sûr, jusqu’à ce que Sheamus donne le tag à Wade Barrett. L’Anglais se fait contrer, la situation s’inverse et Xavier Woods peut placer sa célèbre séquence de trombone pendant que ses partenaires maltraitent le roi déchu. Malheureusement, comme le dira Michael Cole une bonne vingtaine de fois « number games » et les tombés sont systématiquement cassés par les bourrins.

 

 

Allez hop, il a raison Donald Trump, c’est nous qu’on est allé les chercher, on peut les renvoyer d’où ils viennent !

 

 

 La bataille dégénère alors autour du ring : Barrett se casse la gueule tout seul, Sheamus et Big E se neutralisent mutuellement en s’explosant sur une barricade, Kofi fait un saut suicidaire sur Del Rio. Au centre du ring, Rusev en profite pour coincer Woods dans son Accolade. Nouveaux champions.

Mais la musique de la League s’arrête au bout de deux secondes. Soudain… « if you ssssmeeeellll » ! The Rock is here ! Le champion du people milliardaire est dans l’arène ! Après avoir salué la foule, il prend le micro tout sourire. Finally, patati patata, Dwayne récite ses classiques. Puis, il se lance dans un enterrement de première classe fustigeant la nullité de la génération actuelle, il rappelle comme un vieux réac la grande période de ses rivalités contre Steve Austin qui pétaient toutes les audiences. Il traite le New Day de danseurs neurasthéniques sortis d’un bad trip des Teletubbies avec un pénis sur la tête, avant d’interpeller Rusev en lui rappelant que Lana a la cuisse légère, et finit par un petit mot gentil sur la crête de Sheamus et les parties intimes d’Alberto.

 

 

Alors que je faisais la promo de GI JOE 3 et avant d’aller tourner ALERTE A MALIBU j’ai décidé de venir faire un petit tour à WrestleMania… Revoir où tout a commencé, ça fait toujours chaud au cœur, ça change les idées quand on est en pleine préparation du prochain FAST AND FURIOUS. Tout le monde m’a bien entendu ? Soon in Blue-Ray and DVDs !

 

 

Il n’est pas venu uniquement pour dire du mal : il annonce la tenue immédiate d’un nouveau TagTeam Championship match, où les récents champions affrontent… Lui ! Se précipitant sur le ring, Rocky se retrouve face à un Rusev esseulé, exténué et ébahi. L’arbitre complice ayant sonné la cloche, il lui suffit d’une Clothesline et d’un magnifique People Elbow pour réussir le tombé. The Rock est à lui tout seul le nouveau Champion par équipes ! Il avait promis qu’il marquerait l’Histoire ce soir. Malheureusement, sa musique résonne trop fort pour capter les réactions du public.

 

 

Intercontinental Six Man Ladder Match :

 

On continue les titres intermédiaires avec le fameux match à échelles où lutteront le champion Kevin Owens et ses rivaux Sami Zayn, Dolph Ziggler, Zack Ryder, Sin Cara et Stardust. Le casting, comme l’an dernier, est éclectique. Le match est un sacré foutoir, dès le début Zayn reçoit un violent coup de pied dans les parties génitales par le champion en titre, puis les rivalités se scindent en trois un-contre-un dans les coins du ring. Les coups pleuvent, certains cherchent du matériel mais n’arrivent pas à hisser l’échelle, l’ensemble est brouillon et illisible. Seul Stardust réussit à grimper tout en haut, mais au lieu de saisir la ceinture blanche, il saute dans la meute des belligérants. Au bout de quinze longues minutes, un événement imprévu arrive : Ziggler tombe d’une échelle sur Sin Cara qui botche son amortissement. Le Show Off se blesse, et il était censé remporter le match. Profitant d’un moment de flottement général, Zack Ryder sent la chance de sa vie : il se précipite et décroche la timbale.

 

 

Echelles en métal contrefait pour passer plafond de verre… J’aurais dû demander l’ascenseur de Willie Wonka.

 

 

Street Fight : Brock Lesnar Vs Dean Ambrose

 

Les deux lutteurs sont acclamés à leur arrivée car leur match est bien entendu très attendu. Mais la mayonnaise ne prend pas vraiment… Trop occupé à rappeler les grandes heures de l’ECW, Ambrose utilise ses outils n’importe comment et nous fait même une redite de TLC 2014 lorsque la tronçonneuse lui pète à la gueule, le plongeant dans une épaisse fumée qui le fait tousser. Bien entendu, le Lunatic encaisse une interminable série de 24 Souplesses qui fatigue tout le monde.

 

 

Mon dieu, mais… Cette rampe en métal est extrêmement froide !

 

 

Brock Lesnar profite de l’évanouissement de son adversaire pour faire une démonstration de force de foire en pliant la tronçonneuse, la matraque barbelée de Foley et une chaise en métal. Après vingt minutes de sang, de sueur et d’urine, les lumières de l’Arena s’éteignent. La famille Wyatt est finalement là autour du ring, et les trois disciples démembrent Lesnar et Ambrose. Bray demande à ses copains de tenir le corps de Brock et s’en approche telle une mygale. Dans un sursaut, la Bête éjecte Rowan, place une Souplesse au gourou, et se relève pour un combat de regards avec Strowman qui lui sourit béatement. Déjà l’affiche de Summerslam ?

 

 

– T’as baisé ma femme, j’ai baisé ma femme, allez on est quittes.

– Espèce de sale sale !

 

 

Divas championship match : Charlotte Vs Becky Lynch Vs Sasha Banks

 

Après l’entrée des deux prétendantes, Charlotte gagne le ring dans un débordant manteau de velours emprunté à son papa. Ce dernier, ému jusqu’au dentier, est bien entendu de la partie. Les trois filles ont beau avoir régalé le public d’NXT durant leurs belles heures, la foule texane est bien moins ouverte d’esprit et la moitié du stade se vide pour aller aux toilettes. Dans un silence poli, les demoiselles ont beaucoup de mal à faire un travail passionnant. Vince hurle des instructions dans l’oreillette de l’arbitre, qui indique la fin précipitée de la rencontre. Sasha éjecte Becky du ring et coince Charlotte dans sa prise de soumission. La fille Flair vocifère, son père aussi, ça crie dans tous les sens mais n’empêche pas la Boss d’atteindre la consécration sous les applaudissements de treize personnes.

 

 

– Hé bien voilà. Belle performance de Sasha Grey, qu’en pensez-vous JBL ?

– J’en ai rien à foutre.

 

 

WWE Championship : Triple H Vs Roman Reigns

 

Roman Reigns arrive sous une bronca monumentale. La foule le hait et lui fait savoir. Tout le long de son chemin de croix jusqu’au ring, il reçoit des boules de papier au visage, des crachats, le contenu glacé de plusieurs gobelets ainsi qu’une chaise métallique. Stoïque malgré l’adversité, le Big Dog évite tout de même de trop faire le malin sur les cordes. Un silence très bref, couvert de huées, précède les quelques notes de batteries de MotorHead. En hommage, Triple H arrive entièrement déguisé en Lemmy Kilmister et joue lui-même en playback quelques notes de musique sur une guitare électrique pas branchée. Une fois son crachat d’eau en bouteille passé, le Game tous muscles saillants est prêt au combat dans une ambiance mitigée. Quatre jeunes filles en fleur du premier rang entonnent un « Let’s go Roman ! » aussitôt succédé par le son de 100 000 poitrines poussant un violent « ROMAN SUCKS ! ».

 

 

Tiens ? Un panneau "If this match happens we riot", ces Texans sont des gens charmants !

 

 

Reigns se jette sur son adversaire pour lui infliger un passage à tabac similaire à ceux de Raw. Hors du ring, il frappe la tête du Cerebral Assassin sur la table de Christophe Agius et Philippe Chéreau qui profitent du moment présent. Le front du champion s’ouvre, et le sang coule, mais il réussit dans un éclair de lucidité à tendre sa jambe pour faire trébucher le Samoan qui se prend bêtement l’arête de l’escalier en alu dans la gueule. La situation s’inverse, Hunter reprend le dessus et se venge en tabassant son jeune rival. La foule jubile.

Légende de la discipline, Triple H a tout connu. Mais une pareille situation, jamais. Elle échappe à tout contrôle. Les 100 000 personnes massées dans l’arène conspuent et vocifèrent chaque sursaut de Roman Reigns. Cet imbécile continue en plus d’aligner ses plus énervantes prises, et lorsqu’il tape de son poing le tablier du ring pour charger son Superman Punch, c’est une bronca dont les séismologues enregistrent des retombées jusqu’à Toronto. Paul Levesque regarde le stade face à lui. Il sent que le plan était mauvais. Il a l’impression d’avoir tout fait, tout tenté pour se faire haïr. Il connait son devoir, mais il sent bien que la victoire du Samoan serait un fiasco total. Alors, alors Paul décide de se rebeller. Il forme le signe de croix en frappant ses parties génitales avant de porter un Pedigree à son rival. La foule explose de joie. Mais ce n’est pas du tout le plan, et Roman se relève.

 

 

Comme ça, là, tu vois, "Suck it". C'est facile. Comme ta mère.

 

 

Dans les coulisses, Vince a vu le regard de son gendre. Il a compris. Il déboule furieux sur la rampe et vient réclamer à l’arbitre de sonner la cloche pour donner le titre à… Triple H. Oui, le vieux n’est pas totalement con et espère gratter de la popularité à son poulain bronzé. L’arbitre hésite, Hunter ne comprend pas et en se retournant, mange le Spear de Reigns. One, two, three. VKM, bouche ouverte comme un crapaud et yeux écarquillés, surjoue la surprise. Malheureusement, l’ingénieur du son a réglé la musique bien trop fort et impossible d’entendre les réactions de la foule au moment où Roman Reigns devient triple champion du monde et soulève son trophée dans une explosion de feux d’artifices.

 

 

 

Ha je vous jure m'sieur Vince, vous les avez comme des pastèques.

– Reculez, c'est bon c'est normal. Elles vont bientôt me remonter dans la gorge.

 

 

Shane Mc Mahon Vs The Undertaker, Hell in a Cell match pour la garde de RAW

 

A tout seigneur, tout honneur. Malgré les batailles âpres qui ont animé la soirée, il fallait nécessairement finir sur cet affrontement, le potentiel dernier round des 25 ans de carrière du légendaire Undertaker, avec pour enjeu le retour du fils honni à la tête d’un business à bout de souffle. A bout de souffle, c’est aussi le thème de la rencontre. Certes, l’entrée du Dead Man sous un spectaculaire lâcher de chauves-souris géantes est impressionnante. Mais une fois la cage refermée, le spectacle n’est pas au rendez-vous. Les coups de poings énervés de Shane s’arrêtent à vingt centimètres du visage de son adversaire, lui-même handicapé par sa sciatique. Il déroule son arsenal classique, Old School, uppercuts mais c’est mou. Pas besoin de vous détailler, vous avez tous vu son match de l’an dernier et celui d’avant. Puisqu’en face se trouve un non-catcheur, le niveau est bas.

 

 

Allez courage, c'est la dernière. Après ça j'ai promis d'emmener Michelle faire du shopping sur les Champs.

 

 

Les lacunes sont masquées grâce à des coups dans la cage, des rampes d’escalier qui volent, des chaises voire même des kendosticks. Shane se la joue ECW.  Vu la différence de gabarit, c’est sa seule chance. Enfin, quoi que. Deux trois coups bien placés dans les genoux, et le Phenom est sérieusement mal en point. O’Mac le recouvre alors d’une poubelle, avant de placer son désormais célèbre Coast to Coast. Ça sent la fin ! Le tombé est proche… Mais s’interrompt dans une explosion rouge. Kane, le Big Red Machine, vient sauver son frère ! Il arrache la porte de la cage et saisit Shane au cou. Chokeslam ! Mais c’est la porte ouverte aux interventions. Tous ceux qui rêvent d’une meilleure gestion de Raw débarquent. Ziggler, Damien Sandow, Dean Ambrose se précipitent sur le vieux démon pour l’anéantir.

 

 

Mwaah, quel pied en fait ce métier. J'vais ptêtre en reprendre pour vingt ans moi finalement.

 

 

Vince est encore obligé de débarquer, mais surprise ! Il encaisse un violent Spear de Roman Reigns qui, tout honteux suite à la bronca de sa victoire, s’était réfugié sous le ring. Shawn Michaels déboule de nulle part pour filer un Sweet Chin Music dans la mâchoire de tout le monde. C’est dans un chaos total que Shane réussit à river les épaules d’un Undertaker ayant encaissé les attaques collectives du roster, dont un Kevin Owens qui voulait à tout prix taper son idole de jeunesse. C’en est donc fini. VKM aura passé une sale soirée. Alors que son fils et ses acolytes jubilent hors du ring, le septuagénaire monte retrouver le Dead Man. Il lui hurle au micro « Undertaker… You’re fired ! But before, you’re gonna kiss m yass. » Et revoici le derche du vieux exhibé au monde entier. Humilié, blessé, le Phenom s’approche, ses lèvres sont à quelques centimètres du fessier maudit… Un nouvel éclair frappe la salle et la plonge dans la pénombre. Quand la lumière revient, il n’y a plus qu’une urne fumante à la place du corps de la légende. Tout le monde comprend qu’on ne le verra plus. C’est sur cette émotion que se finit le plus grand de tous les shows.

 

 

Vince, we're gonna…fist…your…ass !

 

 

Quelle soirée, n'est-ce pas ? Toutes les ceintures ont changé de main, on a eu des blessures, du sang, des interventions surprises… Un vrai programme des plus réussis ! Ajoutons à cela le changement radical que devrait connaitre Raw dans les semaines à venir, et je crois que nous avons toutes les raisons d'être satisfaits. Il parait même que le nom du main eventer du prochain WrestleMania est déjà connu…

 

 

Lana, je l'ai baisée. Irina Shayk je l'ai baisée. Christiano Ronaldo, je l'ai baisé. J'étais bourré. Il n'empêche que je l'ai quand même baisé. Et Ronda Rousey, Maaadaaaame Ronda Rousey…


Publié

dans