Ce qu’il faut savoir de la TNA avant le premier Impact de 2016

Tout saut en avant implique au préalable un pas en arrière. Il en va de même pour la régénération de l'histoire, c'est-à-dire pour un nouveau commencement. Il faut prendre son élan.

Alain De Benoist

 

Toujours là la TNA. Annoncée morte à plusieurs reprises depuis son échec quant à concurrencer la WWE au début des années 2010, et objectivement placée sous respirateur artificiel durant le dernier trimestre 2015, la compagnie floridienne va tenter de devenir une ligue alternative respectable comme le sont ses consoeurs la RoH et la Lucha Underground.

 

 

Dernière chance avant d’être réduit à l’état de simple pop up.

 

 

L'état de la TNA en ce début d'année

 

Tout saut en avant implique au préalable un pas en arrière. Il en va de même pour la régénération de l'histoire, c'est-à-dire pour un nouveau commencement. Il faut prendre son élan.

Alain De Benoist

 

Toujours là la TNA. Annoncée morte à plusieurs reprises depuis son échec quant à concurrencer la WWE au début des années 2010, et objectivement placée sous respirateur artificiel durant le dernier trimestre 2015, la compagnie floridienne va tenter de devenir une ligue alternative respectable comme le sont ses consoeurs la RoH et la Lucha Underground.

 

 

Dernière chance avant d’être réduit à l’état de simple pop up.

 

 

L'état de la TNA en ce début d'année

 

 

 

S'il fallait trouver un mot pour résumer 2015 à la Total Nonstop Action, ce serait l'adjectif bancal. Rien n'a coulé de source à Dixieland pendant l'année écoulée.

 

D'abord le soir de diffusion d'Impact, en premier lieu sur Destination America le mercredi puis le vendredi, le jeudi, à nouveau le mercredi… et enfin le mardi lors de la migration accélérée sur Pop TV les deux dernières semaines de l'année. On se rappellera que Spike TV avait en son temps privilégié le vendredi, après avoir testé le lundi et le jeudi. Ce jonglage permanent, détail cosmétique en apparence, influe sur la fidélité du public américain et traduit le problème concret de la pérennité du show, son ancrage durable dans la mémoire collective. Imagine-t-on Raw associé à un autre soir que le lundi ?

 

Ensuite les storylines, hachées comme de coutume à Orlando, puis le plus souvent bâclées voire mises sur la touche, faute à des incongruités et imprévus extrasportifs. Sans être exhaustif, citons le couac du Beat Down Clan, censé être la stable heel de référence.

 

Le groupe composé à l'origine de MVP, Kenny King, Low Ki et Samoa Joe se perdit en milieu de carte, dut se débattre avec le caractère volage de son 4e membre (Joe puis Homicide puis Hernandez) avant de voler en éclat sans la moindre explication à l'antenne (différends contractuels avec la Lucha Underground concernant Hernandez + départ de MVP).

 

Évoquons brièvement aussi la fuite continuelle des talents vers d'autres horizons, poursuivant l'exode de 2014. Bye bye Samoa Joe, Austin Aries, Magnus, James Storm, Bully Ray… Dernier point important, les seules stars planétaires encore sous contrat avec la compagnie, Kurt Angle et Jeff Hardy, ont été absentes pour blessure une grosse partie de l'année.

 

Enfin la qualité passable de la production, réduite à sa plus simple expression faute de moyens et pour cause d'enregistrements en rafales. Les prémices sur Destination America donnèrent pourtant une illusion de mieux avec des clips très esthétiques pour récapituler les build up des feuds. Devant l'absence de pay per views traditionnels au programme, à l'exception de SlammiVersary et Bound For Glory, les feuds n'ont pas été guidées par un calendrier arrêté, donnant l'effet déstabilisateur de n'avoir ni début ni fin – le cas de la division par équipes étant emblématique: une succession de matchs de championnat sans le moindre rattachement scénaristique, se concluant à BFG avec l'opposition des Wolves à la paire Trevor Lee/Brian Myers, représentante d'une Global Force Wrestling pourtant balayée à Impact depuis plusieurs semaines.

 

Ce fut en quelque sorte un avant-goût du sort dévolu au titre poids lourds lors du dernier trimestre 2015.

 

 

Non, pas à ce point-là quand même.

 

 

Un point sur le World Title Series

 

Le premier show sur Pop TV verra se conclure ce tournoi au long cours avec demis et finale le même soir. Rappelons que ce challenge avait été provoqué (version kayfabe) par la controverse du finish EC3/Matt Hardy/Drew Galloway à Bound For Glory. Il a permis (version smart) de faire face à des problèmes économiques en stockant quantité de combats dénués de contexte, sorte de pièces d'un puzzle à assembler chaque semaine pour donner l'illusion d'une continuité d'épisodes d'Impact. Aussi, les rares segments de catcheurs en plateau ou depuis leur domicile ont coûté des clopinettes. Que dire du rôle des commentateurs “lançant” les vidéos depuis leur studio ? Cette mise en scène m'a évoqué mes vieilles VHS de la WWF, en particulier les récapitulatifs des world tour où on voyait Mean Gene Okerlund présenter de manière succinte les combats compilés. Une véritable régression pour la TNA d'un point de vue technique, mais un choix salvateur pour donner de l'intérêt à son produit.

 

Le premier tour du tournoi, trente-deux catcheurs réunis en huit groupes de quatre, s'est étalé durant les mois d'octobre et novembre. Les deux premiers de chaque groupe se qualifiaient pour la suite.

 

Décembre a vu se disputer les huitièmes et quarts de finale. Voici la synthèse des résultats:

 

PREMIER TOUR (classements des poules)

 

Groupe Knockouts

1 Gail Kim 6 points

2 Awesome Kong 6 points

3 Brooke Tessmacher 3 points

4 Madison Rayne 3 points

 

Groupe Future 4

1 Eli Drake 7 points

2 Jessie Godderz 6 points

3 Micah 4 points

4 Crimson 0 point

 

Groupe Tag Team Specialists

1 Matt Hardy 9 points

2 Davey Richards 4 points

3 Robbie E 3 points

4 Eddie Edwards 1 point

 

Groupe Wildcard

1 Mahabali Shera 9 points

2 Kenny King 6 points

3 Aiden O'Shea 3 points

4 Crazy Steve 0 point

 

Groupe UK

1 Drew Galloway 9 points

2 Bram 6 points

3 Rockstar Spud 3 points

4 Grado 0 point

 

Groupe X-Division

1 Tigre Uno 6 points

2 DJ Z 6 points

3 Manik 6 points

4 Mandrews 0 point

 

*Un triple threat est ajouté pour déterminer les deux catcheurs qualifiés en huitièmes de finale.

 

Groupe Champions

1 Ethan Carter III 7 points

2 Bobby Lashley 6 points

3 Austin Aries 4 points

4 Mr Anderson 0 point

 

Groupe TNA Originals

1 Bobby Roode 6 points

2 Eric Young 6 points

3 Abyss 3 points

4 James Storm 3 points

 

HUITIÈMES DE FINALE

 

À noter la bizarrerie du supposé tirage au sort des matchs, puisque la majorité des matchs présentent des configurations heel contre heel et face contre face, comme si la TNA avait voulu enfoncer le clou de son absence de storylines. Seuls Davey Richards/Bram et Mahabali Shera/Eli Drake répondent aux traditionnels alignements catchesques.

 

1- Ethan Carter III bat DJ Z

2- Davey Richards bat Bram

3-Bobby Lashley bat Drew Galloway

4- Mahabali Shera bat Eli Drake.

 

5-Tigre Uno bat Gail Kim.

6-Eric Young bat Kenny King.

7-Jessie Godderz bat Awesome Kong.

8-Matt Hardy bat Bobby Roode.

 

QUARTS DE FINALE

 

1-Ethan Carter III bat Davey Richards.

2-Bobby Lashley bat Mahabali Shera.

 

3-Eric Young bat Tigre Uno.

4-Matt Hardy bat Jessie Godderz.

 

 

DEMI-FINALES (Impact sur Pop TV le 5 janvier 2016)

 

Bobby Lahsley vs Ethan Carter III

Matt Hardy vs Eric Young

 

 

Au fait la tournée en Inde est reportée à la St Glinglin, tu peux reprendre le nom de Khoya maintenant.

 

 

Circulation des ceintures de champions en 2015

 

Quoi de mieux pour catégoriser une époque que d'observer ses fluctuations ? L'Attitude Era s'était ainsi caractérisée par l'instabilité avec une multitude de rotations des ceintures entre 1998 et 2001, tandis que les débuts de la dite Kids Era voyait une hégémonie de ses champions (John Cena et Batista en tête). Quid de la TNA en 2015 ? Un mélange des deux, certains règnes de champions étant appelés à rester dans les mémoires malgré des durées assez brèves dans l'ensemble. Ainsi les premiers couronnements d'Ethan Carter III et Rockstar Spud dans leurs divisions respectives ont marqué l'année, quand celui d'un Kurt Angle relève de l'anecdote malgré une durée similaire. De même, la division par équipes est toute entière captée par les Wolves, pourtant détrônés plusieurs fois, quand la division knockouts s'est concentrée sur la domination de Taryn Terrell et son clan Dollhouse.

 

Enfin, Tigre Uno dont le règne X-Division est en cours depuis plus de six mois souffre d'un manque de légitimité manifeste, puisqu'aucun titre n'est défendu depuis trois mois.

 

TNA World Heavyweight Championship

– Bobby Lashley détrône Bobby Roode lors du premier Impact sur Destination America le 7 janvier.

– Kurt Angle domine Bobby Lashley lors de l'Impact du 20 mars.

– Ethan Carter III s'empare de la ceinture mondiale le 1er juillet.

– Matt Hardy remporte le triple threat pour le titre en réalisant le tombé sur Drew Galloway le 4 ocobre à Bound For Glory.

– Le titre est déclaré vacant le 6 octobre suite aux injonctions judiciaires d'Ethan Carter III et l'acceptation de la remise en cause par Matt Hardy.

 

TNA X-Division Championship

– Austin Aries bat Low Ki pour la ceinture le 7 janvier.

– Low Ki reprend le titre lors du rematch le 17 janvier.

– Rockstar Spud devient champion de la catégorie le 20 mars.

– Kenny King remporte un ladder match de quatre catcheurs pour le titre le 1er mai.

– Rockstar Spud reconquiert la ceinture lors d'un gauntlet match de huit catcheurs le 29 mai.

– Le titre devient vacant lorsque Spud utilise l'option C le 10 juin.

– Tigre Uno remporte le 3-way devant Manik et Grado pour relancer la ceinture le 24 juin.

 

TNA World Tag Team Championship

– The Wolves détrônent la paire James Storm/Abyss lors de l'Impact du 6 mars.

– Les titres sont déclarés vacants le 3 avril suite à la blessure d'Eddie Edwards.

– The Hardys remportent un Ultimate X à quatre équipes pour les titres le 17 avril.

– Les titres sont déclarés vacants le 8 mai suite à la blessure de Jeff Hardy.

– The Wolves redeviennent champions le 1er juillet à l'issue du challenge best of 3 of 5 series contre Dirty Heels.

– Brian Myers & Trevor Lee s'emparent des titres le 2 septembre.

– The Wolves remettent les mains sur le championnat le 9 septembre.

 

TNA Knockouts Championship

– Brooke Tessmacher met fin au long règne de Taryn Terrell le 15 juillet.

– Gail Kim domine le fatal 4-way pour le titre le 16 septembre.

 

TNA King of the Mountain Championship (créé lors du passage de la Global Force Wrestling de Jeff Jarrett à Impact)

– Jeff Jarrett réussit son retour en s'emparant de cette nouvelle ceinture le 28 juin dans un KOTM match. Il se retire cependant des rings dans la foulée.

– PJ Black s'empare du titre, remis en jeu dans un KOTM match le 12 août.

– Bobby Roode domine PJ Black dans un duel pour le titre le 2 septembre.

 

 

Un championnat King of the Mountain gagné dans un combat classique, un championnat tag team remporté dans un Ultimate X, Des Knockouts en course pour le titre masculin poids lourds, ça va vous suivez ?

 

 

Révélations, (bonnes) confirmations, déceptions

 

Complétons la synthèse de 2015 en relevant les principaux enseignements, progressions, régressions pour l'ensemble du programme (sans prétendre constituer des CDC Awards de la TNA).

 

Révélations de l'année

 

Rockstar Spud…catcheur

On avait déjà pu apprécier son acting déjanté durant l'année 2014, il a prouvé désormais ses capacités de catcheur. Tantôt high flyer, tantôt hardcore (ses excellents combats face à EC3), son style se définit surtout par l'intensité et le port d'un habit d'underdog lui allant à ravir.

 

Drew Galloway leader d'opinion

Bien sûr tout le monde se souvient du Drew McIntyre prometteur de la WWE (et de sa triste fin), mais le personnage incarné par l'Ecossais au sein de la Ligue 2 lui offre une nouvelle dimension. Dans un rôle de prophète/porte-parole des fans les plus érudits, Galloway via son mouvement « Stand Up » a marché dans les pas d'un certain CM Punk. Qui sait ce qu'il serait advenu de lui si la TNA était allée au bout de la démarche, lui offrir le titre poids lourds ?

 

Taryn Terrell sexy heel

Comment transformer un règne de championne face plat à souhait en délicieux moments de suprématie. Sans aller aussi loin que l'Attitude Era, la TNA a su créer matière à controverse avec la domination mentale exercée par TT sur ses sbires Jade et Marti Bell, véritables pantins à son service. En prime le thème song addictif, chanson de The Hole de la non moins controversée Courtney Love.

Dommage, l'ancienne championne ne devrait pas être de la partie en 2016.

 

 

Vais m'ennuyer toute seule sans mes chiennes.

 

 

Confirmations de l'année

 

Ethan Carter III, un cache-misère flambant

Il aura été de tous les grands moments de l'année ou presque. Notamment porteur des rares segments humoristiques réussis (sa campagne pour être prétendant numéro 1, le numéro de chorale) ou encore transformé en prédateur sadique quand les storylines le nécessitaient. Aujourd'hui son aura est réelle, son invincibilité courant sur plus de deux ans pourrait s'interrompre qu'il en resterait crédible. Nuançons seulement les félicitations en rappelant la pauvreté de la title picture de la fédération actuellement.

 

Bobby Lashley, real dominator

Fier champion de la deuxième partie de l'année 2014, le vieux briscard a de nouveau porté la ceinture puis livré de grandes prestations en dépit d'une place mal définie dans la hiérarchie. L'ancien double champion ECW a brillé sur tous les tableaux puisque auteur de quatre succès consécutifs entre septembre 2014 et novembre 2015 au Bellator, deuxième compagnie d'importance en MMA. Poussera-t-il le mimétisme avec Brock Lesnar jusqu'au bout ?

 

The Wolves, la constance malgré tout

Oasis dans le désert, les deux légendes du circuit indy sont un peu des ovnis au sein de Dixieland. Mais à moins de la refondation d'un roster tag team d'envergure, la voie du split est sans doute ce qui pourrait leur arriver de mieux en 2016.

 

 

Hé hé enfin de la compétition !
Ne crie pas victoire trop vite, ils peuvent nous sortir des jobbers du chapeau à tout moment.

 

 

Déceptions de l'année

 

Kurt Angle à moitié là

Un petit retour et puis s'en va. Voilà plusieurs années que le Divin Chauve fonctionne ainsi. Toujours couronné de lauriers, titres, intronisation au Hall Of Fame ou rôle principal dans les feuds, il apparaît cependant très limité par ses blessures. Son come-back annoncé pour 2016 (il a défié par avance le vainqueur du tournoi pour le titre) sera-t-il celui de trop ?

 

Samuel Shaw et Knux sur la touche

Un rôle de psychopathe en or mis au placard dès l'arrivée sur Destination America. Idem pour Knux, chef de troupe de la Ménagerie, incarnée sporadiquement par le seul Crazy Steve quand Rebel a préféré le rejoindre le côté obscur nommé Dollhouse.

 

Beat Down Clan éparpillé façon puzzle

Inutile d'épiloguer sur la stable heel dirigée par MVP. Comme dit en introduction, la TNA s'est pris les pieds dans le tapis en changeant plusieurs fois son fusil d'épaule.

 

La fin abrupte de The Revolution

Une stable ambitieuse avec un James Storm impeccable dans ses excès de gourou sans pitié… puis une remise en cause soudaine par ses sbires, portée par l'affreux (in ring) Mahabali Shera. Même la savoureuse feud Storm/Magnus n'a pu noyer le poisson face à ce bâclage en règles.

 

Global Force Wrestling, fausse bonne idée

Lorsque deux fédérations cherchent à retrouver du galon (ou s'affirmer dans le cas de la GFW), elles appliquent le dicton qui voudrait que l'union fasse la force. Hélas, ce n'est pas la parenthèse d'un mois et demi TNA vs GFW (août-septembre) qui aura convaincu du prestige de la première ou de l'intérêt de se tourner vers la seconde.

 

 

Hmm, dans quel clan foireux vais-je pouvoir me foutre en 2016 ?

 

 

2016, on prend les mêmes et on recommence ?

 

Lors de la mise en place du tournoi pour le titre poids lourds, j'avais émis des hypothèses sur l'issue de la compétition. En vertu notamment du passé, récent ou lointain, en ce qui concerne des storylines proches ou identiques.

 

La feud Hulk Hogan/André The Giant de 1987-1988 avait débouché sur un tournoi sacrant pour la première fois Macho Man Randy Savage. Le quiproquos Steve Austin/Undertaker/Kane de 1998 avait été résolu avec le tout premier couronnement de The Rock aux Survivor Series.

 

L'unification de Vengeance 2001 avait sonné comme un vent de fraîcheur avec l'avènement de Chris Jericho.

 

Enfin, pour prendre un exemple made in TNA, le tournoi de fin 2013 (départ kayfabe puis réel d'AJ Styles) avait sacré Magnus. À chaque fois des couronnements de catcheurs pas encore auréolés du titre suprême de leur compagnie, à chaque fois prétexte à un nouveau virage, une reconfiguration de la title picture. Je prédisais donc une issue de ce type pour ce World Title Series, à savoir l'irruption des Drew Galloway, Mahabali Shera ou autre surprise. Que nenni, les catcheurs en demi-finales sont quatre des plus récents champions. Mieux, tout concourt à déboucher sur une finale Matt Hardy/EC3. Hardy vs Lashley ? EC3 vs Young ? Lashley vs Young ? Trois duels dénués d'un historique assez fort pour donner du crédit à l'homme qui sera chargé de remettre la compagnie sur les bons rails.

 

Pour conclure voici le programme annoncé pour les débuts 2016 de la TNA. Le show aura lieu à Bethléem en Pennsylvanie, nouveau territoire de prédilection après Orlando. Suite à l'épisode diffusé en direct le 5 janvier suivront des enregistrements couvrant un nombre d'épisodes non révélé.

 

Preview du premier épisode d'Impact sur Pop TV

 

– Fin du World Title Series. Prévisible finale/revanche Ethan Carter III contre Matt Hardy ?

 

– Bobby Roode défendra son titre de King of the Mountain champion pour la première fois depuis Bound For Glory, qui plus est face à un adversaire mystère. Retour ou arrivée importante à espérer ?

 

– Débuts d'un catcheur au nom prophétique de The Miracle, mis en avant par des vignettes lors des dernières semaines. Gimmick casse-gueule préfigurant un flop ou futur main eventer ?

 

– Le trio réuni des Beautiful People (Angelina Love, Velvet Sky et Madison Rayne) affrontera leur nemesis Dollhouse (Marti Bell, Jade et Rebel). Ces dernières avaient disparu de l'antenne le temps du tournoi, la feud est donc reprise comme si de rien n'était. Taryn Terrell, officiellement sous contrat avec la compagnie, sera-t-elle présente pour assumer son rôle de leader du clan heel, malgré une vidéo postée sur YouTube confirmant son départ ?

 

 

Une storyline avec un début, un milieu et une fin ? Voilà qui serait nouveau à la TNA.


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