Le goshomètre de l’enfer

C'est entièrement gainé de plomb il n'y a plus rien à craindre.
Dr. Emmett Brown, au sujet du goshomètre.
 
Mes amis ! Nous le savons tous, rien n’arrête le progrès. Et encore moins le progrès scientifique, qui vient de connaître une avancée notable dans le domaine de l’analyse des particules à slip et de la théorie des trois cordes. En effet, ce mercredi, un scientifique d’une grande sagesse, accompagné de son laborantin à casquette, partagé avec moi quelques-unes de ses savantes réflexions. Alors que son apprenti réglait une affaire de famille dans un café rétro, nous nous sommes entretenus quelques instants sur tout un tas de sujets. Je lui ai parlé de notre machine, le goshomètre, et de sa capacité à évaluer l’engouement généré par un show de catch à l’approche d’un PPV. Quoique novice en la matière (il n’avait pas l’air de connaître autre chose que Hulk Hogan, Brutus Beefcake et le premier Wrestlemania), il en a été fortement impressionné. Nous nous sommes quittés précipitamment mais j’en suis ressorti inspiré comme jamais. Quelques heures plus tard, la nouvelle version du goshomètre était prête. Sa principale nouveauté ? En plus d’intégrer une note pour la construction de chaque match annoncé (build-up), elle agrège l’avis de plusieurs personnes pour en ressortir une évaluation, non plus individuelle, mais collective. Et pour rythmer cette évaluation, le goshomètre génère des questions contextuelles à l’épisode. Cinq cobayes, attirés par la promesse de quelques avantages en échange de leur participation, se sont prêtés au test. A l’occasion du dernier Raw avant Hell in a Cell, voici ce qu’il en est ressorti.
 
— Ce goshomètre est dédié à Emmett Lathrop « Doc » Brown, Ph.D.
 
 
Nous avons eu le temps de prendre une petite photo avant de nous séparer. Je ne sais pas à qui est le chien.
 
 
Nalyse de Raw du 19 octobre
 

C'est entièrement gainé de plomb il n'y a plus rien à craindre.
Dr. Emmett Brown, au sujet du goshomètre.
 
Mes amis ! Nous le savons tous, rien n’arrête le progrès. Et encore moins le progrès scientifique, qui vient de connaître une avancée notable dans le domaine de l’analyse des particules à slip et de la théorie des trois cordes. En effet, ce mercredi, un scientifique d’une grande sagesse, accompagné de son laborantin à casquette, partagé avec moi quelques-unes de ses savantes réflexions. Alors que son apprenti réglait une affaire de famille dans un café rétro, nous nous sommes entretenus quelques instants sur tout un tas de sujets. Je lui ai parlé de notre machine, le goshomètre, et de sa capacité à évaluer l’engouement généré par un show de catch à l’approche d’un PPV. Quoique novice en la matière (il n’avait pas l’air de connaître autre chose que Hulk Hogan, Brutus Beefcake et le premier Wrestlemania), il en a été fortement impressionné. Nous nous sommes quittés précipitamment mais j’en suis ressorti inspiré comme jamais. Quelques heures plus tard, la nouvelle version du goshomètre était prête. Sa principale nouveauté ? En plus d’intégrer une note pour la construction de chaque match annoncé (build-up), elle agrège l’avis de plusieurs personnes pour en ressortir une évaluation, non plus individuelle, mais collective. Et pour rythmer cette évaluation, le goshomètre génère des questions contextuelles à l’épisode. Cinq cobayes, attirés par la promesse de quelques avantages en échange de leur participation, se sont prêtés au test. A l’occasion du dernier Raw avant Hell in a Cell, voici ce qu’il en est ressorti.
 
— Ce goshomètre est dédié à Emmett Lathrop « Doc » Brown, Ph.D.
 
 
Nous avons eu le temps de prendre une petite photo avant de nous séparer. Je ne sais pas à qui est le chien.
 
 
Nalyse de Raw du 19 octobre
 

 
Ndr : Dans la programmation du goshomètre, je me suis moi-même mélangé les pinceaux entre booking (déroulement du match lui-même) et build-up (construction d'une rivalité, généralement en vue d'une rencontre). Nous comptons sur la sagesse des lecteurs pour corriger d'eux-mêmes quand cela paraît nécessaire. Veuillez nous excuser pour ce malheureux abus de langage.
 
 
Hell In a Cell Match
Brock Lesnar vs. The Undertaker
 
Ce qu’il s’est passé à Raw : Stone Cold Steve Austin donne le coup d’envoi de ce go-show. Maitre incontesté des lieux (nous sommes à Dallas), le Texan balance quelque cheap pops, tease son podcast avec Lesnar et le prochain Wrestlemania qui aura lieu dans cette même ville. Mais trêve de teasing, le Rattlesnake désire introduire un homme qu’il porte évidemment en haute estime et qui aura gros à faire ce dimanche, dans la cellule infernale. Le mystère se lève aussitôt quand le thème de The Undertaker retentit sous les vivas de la foule. En dix mots maximum, l’homme en noir provoque son adversaire, lui prédisant un véritable enfer. Il n’en faut pas plus pour que retentisse à son tour le thème de Brock Lesnar. C’est évidemment son avocat qui se charge des pourparlers. Il rappelle à The Undertaker que sa soif de vengeance est légitime, mais qu’elle n’effacera jamais ce qu’il a perdu des mains mêmes de la Bête : son invincibilité à Wrestlemania. Combats de regards entre les deux protagonistes, avant que Brock ne se retire, sous les conseils avisés de Paul Heyman.
 
 
Question : La présence des deux stars était-elle indispensable pour nous vendre la rencontre ?
 
Jyskal : Bah oui quand même ! Pour non seulement le plus gros match de la soirée, mais peut-être de toute cette deuxième moitié de 2015 en terme de magnitude, il fallait une confrontation physique des deux légendes. J'ai aimé que la WWE décide de nous frustrer en n'offrant pas de brawl au public, surtout qu'ils avaient déjà utilisé ça avant Summerslam et Mania 30 il me semble. Là du coup on a bien compris que ce serait la der et on a qu'une hâte, qu'ils se déglinguent dans la cage.
 

kennard : Certainement pas. Je n'accroche pas du tout à la feud perso. Parce qu'elle ne bénéficie à personne, vu que c'est un part-timer et un pré-retraité. Parce qu'aucun des deux n'est présent régulièrement et qu'il n'y a donc aucune progression significative régulière. Parce que Taker n'est plus que l'ombre de ce qu'il était et que Brock est ultra contraint dans son moveset depuis l'apparition de cette daube de Suplex City. C'est sérieusement le match dont je n'ai rien à faire et que je ne regarderai peut-être même pas.
 

Goatface : C'est quand même mieux quand les deux protagonistes sont là pour soutenir la storyline dans laquelle ils sont impliqués… Alors certes, on a là deux stars à part dans l'univers de la WWE, avec des emplois du temps particuliers. Et oui, ce ne sont pas forcément les plus enthousiasmants quand il s'agit de poser une promo. Mais bon, ils dégagent tellement de charisme que ça finit toujours par réveiller en moi le ch'tite n'enfant qui markait comme un dingue à chaque fois qu'il entendait le "DONG" retentissant du Taker. Et puis on peut espérer que ce combat sera le point final de la confrontation, donc il aurait été dommage que les deux n'aient pas été là pour ce go-home show. 
 

Axl : Non. Heyman seul et deux montages auraient suffi. Le Taker fait pitié. Moins on le voit, moins on a tendance à se dire que c'est un vieux monsieur qui va mourir dimanche.
 
 

Feud me more : Oui! On s'est suffisamment plaint de la road to Wrestlemania sans le Taker et du statut de part timer de Brock pour ne pas aussi se plaindre quand ils vendent leur match à deux. Après le segment était nul, mais ça c'est une autre question.
 
Goshomètre :
Excitation : 7,4
Projection mentale de la qualité technique : 4
Curiosité : 6,6
NOUVEAU ! Qualité du build-up : 5,4
 
Score du goshomètre pour cette affiche : 5,85
 
 
Tire sur mon doigt, Brock.
 
 
WWE Tag Team Title Match
The Dudley Boyz vs. The New Day
 
Ce qu’il s’est passé à Raw : Toujours aussi inspirés et délurés, les New Day débarquent à Dallas pour en découdre avec les Dudley Boyz et John Cena. Le public marque son hostilité par des chants “New Day Sucks !”. Rien n’entame la bonne humeur de nos joueurs de trombone, qui se comparent à des licornes. Pourquoi ? Car ils ont ramené la magie à la WWE. Un pavé de vérité cachée dans une petite réplique. Une fois encore, ils retournent la foule qui déclame à plein poumons “New Day Rocks !”. Grâce à leur malice (et des adversaires trop occupés par ce qui se passe hors du ring),  les champions par équipe remportent le match. Célébrant n’importe comment leur victoire, ils ne voient pas revenir les vaincus. Bien décidés à leur coller lâchement une dérouillée, Cena et les Dudley, en bon faces, font passer Xavier Woods à travers une table, sous le regard implorant de Kingston et Big E.
 
 
Question : Humour communicatif, kayfabe chatouillé, tables détruites : le build-up de New Day vs Dudley Boyz est-il un modèle du genre ?
 

Jyskal : C'est lié, mais je dirais surtout que le booking des Dudleyz est un modèle du genre. Sage et habile la WWE de ne pas leur avoir fait gagner la timbale d'entrée de jeu, je suis surpris par tant de patience alors que les bookers nous avaient plutôt habitués à filer d'entrée de jeu le titre au revenant du moment. Et les New Day sont entrain de magnifier l'opportunité qu'on leur a donnée avec ce gimmick casse-gueule. Deux bons bookings individuels qui s'entrechoquent pour un résultat très convaincant. 
 

kennard : Un modèle c'est peut-être beaucoup dire, mais d'un côté on a des anciens qui reviennent pour lutter contre des jeunes et les mettre en valeur tout en ayant de beaux restes, et de l'autre une belle équipe heel très fun et totalement libérée. Une belle opposition de style plaisante à voir.
 

Goatface : Le New Day, après des débuts plus que mitigés, est de loin ce qui se fait de mieux sur la scène TT du roster principal. En face, on a les plus grands champions TT de l'histoire de la compagnie, frais comme des gardons, et toujours aussi over avec le public. L'alchimie entre les deux équipes est plutôt bonne, et le build a été excellent. Les petites incartades sur les réseaux sociaux, les tables, les petites danses de Big E, Xavier Woods et son trombone… Franchement c'est du tout bon, et c'est une des rares feuds que j'ai envie de voir continuer après ce HIAC (parce que bon, dans pas très longtemps il y a un petit TLC qui arrive …).
 

Axl : Je dirais non, vu que ce buildup donne envie à chacun de soutenir les heels, montrés fun et sympas, contre les faces, montres brutaux et peu fairplay (cf. les multiples attaques en traître sur Woods après match). Ce qui n'empêche que je me suis bien régalé! 
 

Feud me more : Les New Day sont l'attraction du moment, celle qui, mise à toutes les sauces, ranime un show fadasse et réveille les gens. Les Dudley sont es légendes encore tout à fait capables de tenir un match sur leurs épaules. J'ai très envie de voir le match.
 
Goshomètre :
Excitation : 7,6
Projection mentale de la qualité technique : 6,6
Curiosité : 7,4
Qualité du build-up : 8,2
 
Score : 7,45
 
 
Parle à mon cul, ma tête est malade.
 
 
 
WWE Divas Title Match
Nikki Bella vs. Charlotte
 
Ce qu’il s’est passé à Raw : Ce soir, la Team Bella affronte la Team BAD. Aux commandes de son écurie, Nikki est déterminée à démontrer qu’elle est prête à récupérer la ceinture papillon ce dimanche. Le match est enlevé avec quelques bons échanges entre toutes les catcheuses. Mais c’est évidemment Sasha Banks qui recoit toute l’attention du public (du moins la frange qui regarde NXT). Mais la protégée de Triple H n’a pas le temps de briller (cela viendra une fois toute cette bouillabaisse de #DivasRevolution terminée). Nikki couche Naomi et offre la victoire à son équipe. Un signal simple envoyé à Charlotte qui devra défendre son récent titre face à la jumelle à Hell in a Cell. Ladite Charlotte affronte d’ailleurs l’autre Bella dans un un-contre-un, remporté à la faveur de la prise de soumission paternelle. Backstage, c’est Paige qui répond ardemment aux accusations concernant l’agression sur Natalya.
 
 
Question : Deux matchs et des séquences backstage dans un même go-home show, le booking de PPV pour les filles s’est-il amélioré ?
 

Jyskal : Oui et non. Plus de temps donc forcément on est plus au fait de ce qui se passe et on est plus à même de s'investir émotionnellement dans les personnages. Sauf que je trouve qu'après le grand renouveau initié par Steph, le soufflé retombe un peu avec peu de renouvellement scénaristique et des combinaisons de matchs qui commencent fatalement à faire répétition.
 

kennard :  Le temps offert est supérieur mais la qualité du booking reste très faible. La lutteuse la plus over, Sasha Banks, est généralement reléguée sur les shows mineurs et les matchs restent faibles comparé aux capacités des meilleures. Tout cela vient de l'erreur de base: prétendre faire une révolution en gardant en tête d'affiche les potiches déjà présentes avant. Dommage car il y a maintenant du talent. Mais Charlotte Vs Nikki c'est carrément pas une affiche qui fait rêver, surtout au vu du premier match.
 

Goatface : Alors certes, elles ont plus de temps d'antenne, et un gros coup de spotlight avec la WWE qui tente de se donner une image féministe avec la Diva's Revolution. Mais ce n'est pas pour autant que le booking s'en retrouve amélioré. Tant que VKM et Kevin Dunn auront le dernier mot sur le booking, difficile d'attendre un changement radical de direction à ce niveau. Et pour couronner le tout, la qualité des matchs, même avec plus de temps d'antenne, n'est pas au niveau attendu. On verra la direction que prendra la division après ce HIAC, mais si les "anciennes" n'acceptent pas de reculer un peu dans la hiérarchie, et si la WWE ne lâche pas la bride pour que des filles comme Sasha Banks puisse montrer tout leur potentiel, j'ai peur que cette Diva's Revolution ne se termine en un des plus gros gâchis de ces dernières années. 

 

Axl : Un peu. Faut dire que ça partait de bas.

 

 

Feud me more : Le booking ne s'est pas amélioré. On a juste deux fois plus souvent le même booking minable ne mettant aucune fille vraiment en valeur. J'espère juste qu'on va pouvoir passer à autre chose que les Bellas. Qu'elles se (nous) reposent.
 
Goshomètre :
Excitation : 3,6
Projection mentale de la qualité technique : 4
Curiosité : 3
Qualité du build-up : 2,4
 
Score : 3,25
 
 
Le poids de la révolution est sur mes épaules.
 
 
WWE World Heavyweight Title Match
Demon Kane vs. Seth Rollins
 
Ce qu’il s’est passé à Raw : Arrivée en fanfare d’un autre Hall of Famer. C’est Shawn Michaels qui nous honore de sa présence kaki. Au passage il grignote dans la part de pizza d’un gamin qui n’en espérait pas tant. Séquence histoire : Shawn nous rappelle qu’il était dans le premier Hell in Cell contre The Undertaker. Grand écart facial pour arriver à nous parler de Roman Reigns qui va devoir tout donner pour vaincre Bray Wyatt dans la même cage. Interruption de Seth Rollins, venu ramener papy à la maison de retraite, ce dernier ne s'étant visiblement pas acquitté de la mission qui lui était confiée : introduire le porteur du titre. Mais, kayfabe ou non, Shawn Michaels fait ce qu’il lui plait. Ce qui a le don d’agacer Seth Rollins qui réclame en vain son thème musical pour s’en aller comme un prince. Raté ! A la place, c’est un match contre Ryback qui attend l’architraitre. Match qu’il remporte sans encombre, redonnant un peu de crédit au champion.
 
 
Question : Voir un Hall of Famer malmener un heel en pleine gloire est-il préjudiciable à la crédibilité de ce dernier ? (certains cobayes ont cru que je parlais de Kane au lieu de Shawn Michaels, mais leurs réponses étant tout aussi intéressantes, nous les avons conservées)
 

Jyskal : Non car il faut savoir prendre de la distance et comprendre comment est perçu Kane aujourd'hui par toute une partie du public. Si pour certains c'est un vieux Hall of Famer, pour d'autres c'est un géant bipolaire de plus de 2 mètres et 100 kilos qui est tout à fait à même, de par son physique mais aussi son passé/palmarès, de foutre les jetons et défoncer Seth Rollins. Comme d'hab, ne tirons pas de conclusions sur la base de constats subjectifs. Bon à côté de cela, je ne suis pas particulièrement emballé par ce match car j'accroche pas trop à l'histoire même si je trouve l'histoire de dédoublement de personnalité bien marrante.
 

kennard : Dans ce cas précis, Seth Rollins n'est pas totalement malmené; il est pris à partie mais a la possibilité de répondre et il a quand même tiré son épingle du jeu sur la partie in ring. Je vois plus ça comme une opportunité, certes risquée, de faire face à un ancien et de montrer qu'on est capable d'avoir le niveau au micro. Après Rollins est heel donc il est normal qu'HBK le charrie et que Rollins réponde sur un autre registre. C'est risqué comme je l'ai dit car si le lutteur se plante cela peut faire beaucoup de dégâts mais pour devenir un main eventer établi à terme il faut accepter ce genre de risques. Et bon la crédibilité de Rollins au vu de son booking in ring, avec moins de victoires depuis WM que Barrett ou Stardust…
 

Goatface : Seth Rollins aura eu une année exceptionnelle, et il le mérite. Que ce soit en promo, ou dans le ring, il aura été ce qui se fait de mieux à la WWE cette année (avec John Cena pas très loin derrière). Et voilà qu'on le fout en feud avec le fossoyeur de service, le challenger le plus en vue pour enfin décrocher la ceinture de plomb, Kane… Malgré ce booking peu inspiré (et sans parler de la dualité Corporate/Demon complètement repompée sur le run d'Abyss à la TNA), je ne me fais pas trop de soucis pour Rollins et sa crédibilité. Tout ce qu'il touche finit par se changer en or. Tout au plus, ça sera un petit trou dans cette année exceptionnelle, en espérant qu'il se tourne rapidement vers beaucoup mieux (et qu'on en finisse avec Corporate Kane par la même occasion …).
 

Axl : Tu parles de Shawn? Je trouve pas qu'il ait spécialement malmené Rollins, à vrai dire. C'aurait été autre chose s'il avait laissé KO après un SCM. Toute façon faut en prendre son parti: Rollins, malgré la qualité exceptionnelle de ses matchs, est présenté comme un champion couard et mégalo qui ne mérite pas son bien, et ça sera comme ça jusqu'à la fin de son règne. 
 

Feud me more : Tout dépend du déroulement du match. Kane a été vendu à nouveau dangereux d'une manière relativement efficace à mon goût. Même si on se doute que Kane ne prendra pas la ceinture.
 
Goshomètre :
Excitation : 5,4
Projection mentale de la qualité technique : 5,8
Curiosité : 5,8
Qualité du build-up : 6,2
 
Soit : 5,8
 
Lors du premier Hell in a Cell, le Taker m'en a raconté une bonne. Tire sur mon doigt Seth.
 
Putain de vieux et leur putain de vieilles blagues. J'la connais déjà Shawn, alors c'est toi qui va tirer sur mon doigt.
 
 Attends, j'en ai une autre. Promis c'est pas la même. Tire sur mes deux doigts Seth.
 
Putain Shawn, je le fais, mais si c'est la même…
 
Prout !
 
Oh putain Shawn… Merci d'exister.
 
 
Kickoff Show Match
Dolph Ziggler, Cesaro and Neville vs. King Barrett, Rusev and Sheamus
 
Ce qu’il s’est passé à Raw : Rendez-vous habituel des go-home shows, le 6-man tag team match, mêlant rivalités et catcheurs sans feud. Ce soir les gentils Cesaro, Ziggler et Neville ont maille à partir avec les méchants Sheamus, Rusev et Barrett. Si la recette n’a rien d’original, elle a le mérite d’offrir de l’antenne et de l’espace d’expression à six excellents catcheurs. La bataille rangée se termine sur un concours de high-kicks et offre même à Barrett un tombé victorieux. Les gentils auront l’occasion de se venger dimanche.
 
Question : Proposer à Raw une copie en avance d’un match prévu pour le PPV gâche-t-il le plaisir de la “première fois” ?
 

Jyskal : Ah ça carrément d'accord… Mais bon je nuancerais en disant que ce n'est pas vraiment le PPV mais le kickoff qui est bien différencié. Je ne pense pas qu'ils se seraient permis de faire ça avec un match de la carte principale. Toujours est-il que je n'approuve pas. Surtout qu'en plus c'est pas super intéressant, à moins que le but soit de constituer une équipe européenne de méchants avec Barrett, Rusev et Sheamus. Et encore.
 

kennard : Un match à 6 entre des lutteurs individuels n'offre de toute façon pas de grand plaisir de "première fois". Ce serait deux stables de 3 alors oui mais là c'est un tag team action playa' à la Teddy Long. Cela dit le match peut être bon car il y a de bons performers dans ce match.
 

Goatface : Apparemment c'est un peu une solution de dernière minute pour remplacer le kick-off initialement prévu. Mais quitte à reprogrammer ce match en kick-off, ils auraient aussi pu le booker autrement pendant ce Raw (ne serait-ce qu'un TT simple avec des interventions qui justifieraient le 6 men tag team, Teddy Long style …). Déjà que je trouve rarement le temps de regarder le kick off, le fait d'avoir déjà vu le même match à Raw ne va pas aider à ma motivation. Et pourtant, on m'aurait vendu ce match avec un booking correct, j'aurais sûrement fait l'effort car les gars impliqués sont pétris de talent.
 

Axl : Oui! C'est complètement débile même. La seule justification aurait été de faire dégénérer ce match en deux secondes en gros brawl, puis rendez-vous au ppv pour la vraie explication. Mais là, c'est absurde. Auraient mieux fait d'expliquer pourquoi ces deux trios se rassemblent.
 

Feud me more : La encore, tout dépend de comment ça se déroule et de comment on raconte l'histoire. Un match avec Cesaro et Rusev et à un degré moindre Ziggler et Barrett, ça donne forcément envie quand on aime avant tout ce qui se passe entre les cordes et les grandes gueules. Heureusement du coup qu'on se fout de savoir pourquoi ils veulent en découdre. Car si ça a été expliqué, ça m'a échappé!

 
Goshomètre :
Excitation : 5
Projection mentale de la qualité technique : 7,6
Curiosité : 5
Qualité du build-up : 1/10
 
Score : 4,65
 
 
La malédiction de la mallette, la malédiction de la couronne, la malédiction de la blonde.
 
 
– – – Interlude – – –
 
Ce qu’il s’est passé à Raw : La maison de retraite a défintivement oublié de fermer ses portes. Ric Flair est au centre du ring, débitant ses banalités, dansant tel un grabataire sénile oublié dans un bal musette, ponctuant généreusement chaque phrase d’onomatopées devenues insupportables. Comme à chaque trimestre, Ric Flair adoube un jeune en mal d’amour. Cet automne, c’est Roman Reigns qui a les faveurs du Nature Boy. Apparition de la Wyatt Family (qui récupère Erik Rowan au passage) pendant que Reigns déplie deux chaises sur le ring, invitant Bray à le rejoindre pour une petite discussion en tête-à-tête à DALLAS TEXAS WOOOHOOOO ! C’est l’heure des vérités : Roman dit que Bray est un bully appeuré, Bray dit que Roman est un – oh wait – non Roman Reigns, poli comme pas deux, frappe son interlocuteur avec une chaise. Les méchants se retirent, les gentils posent.
 
 
Question : La présence d’anciennes stars pour booster les audiences et mettre over les jeunes est-elle un mal nécessaire ?
 

Jyskal : Tu sous-entends donc que la présence d'anciennes stars est un "mal" ? A cela je réponds profitez-en pendant que c'est encore possible et qu'ils peuvent tous nous offrir des segments de qualité (c'est subjectif certes). Y a tellement de choses à dire sur pourquoi j'aime ces segments que ça mériterait une colonne entière mais franchement je trouve ça dingue, non pas qu'on puisse ne pas apprécier la qualité du segment (chacun sa cam'), mais qu'on puisse penser que c'est un mal ce retour d'anciens. Ca les fait kiffer eux, ça fait INCROYABLEMENT kiffer les jeunes impliqués (ou pas impliqués, tout le vestiaire doit prendre son panard quand Flair ET Austin ET Taker ET HBK sont dans les coulisses) et ça fait kiffer les gamins et les nostalgiques comme moi. Ceux qui ne kiffent pas devraient plutôt se draper dans leur indifférence plutôt que de venir traiter Flair de vieux croûton gateux, Taker de vieux monument en ruine, etc… etc.. C'est LE catch qu'on a sous les yeux les gars. C'est le catch qui vient rendre au catch ce qu'il lui a donné, et qui vient se payer un petit kiff de temps en temps en donnant du bonheur à plein de gens.
 

kennard :  Déjà, cela ne marche pas, vu les ratings de ce Raw en chute libre, encore plus bas que les semaines passées. Et trop souvent ces anciennes stars restent entre elles, et cela ne bénéficie donc aucunement aux nouveaux. Voir le cas de Brock/Taker. Ou le jeune n'est là que pour mettre en valeur l'ancien, au lieu de l'inverse (Wyatt/Taker). Trop rare est le cas où on a une alchimie réussie avec un ancien encore au niveau, une opposition crédible et un jeune mis en valeur : récemment le New Day est le seul cas que je vois (à NXT il y a Rhyno par exemple qui travaille en ce sens). Avec la gestion actuelle des anciennes stars, je ne vois pas en quoi les jeunes sont mis over en général donc c'est un gâchis car c'est en fait une utilisation en mode panique.
 

Goatface : Non, c'est juste la seule solution d'un VKM aux abois face aux chutes d'audience de ses shows. Et autant ça pouvait fonctionner il y a quelques années, autant maintenant il est difficile de s'enthousiasmer quand on nous ressort la même sauce insipide chaque automne. Dans tous les cas, les ratings continuent à chuter. Au bout d'un moment, il faut espérer que VKM se rende à l'évidence et se décide à prendre un peu de recul sur le booking et à laisser son beau-fils faire ce qu'il a si bien réussi avec NxT. Mais bon, ce n'est pas demain la veille, malheureusement ….
 

Axl : Pas nécessaire du tout, non. C'est un outil comme un autre, parmi d'autres. Et dont l'efficacité est limitée. Flair ce lundi a tenté de mettre Reigns over (après en avoir dernièrement fait de même pour Ziggler ou le Miz), ben personne n'en a quoi que ce soit à foutre. Quitte à le faire, faut le faire rarement, et que ça ait un sens. Qu'un grand ancien arrive et dise "tu me rappelles moi", une fois de temps en temps, quand c'est justifié, ok. Pas que tous les vieux disent systématiquement au face du moment "on t'aime et te respecte, machin". Et de toute façon, ce soutien des vieux est secondaire: les jeunes se mettront over par leurs performances, elles-mêmes largement conditionnées par ce que les bookers leur donnent à faire. Bryan, Reigns, Ambrose et compagnie sont devenus over parce qu'ils ont fait vibrer le public, pas parce que tel ou tel ancêtre a fait une promo avec eux.
 

Feud me more : Un mal nécessaire, mais à dose homéopathique. Un vieux par segment c'est too much, laissez les se "woo" baver dessus en "Woo" paix "wooooo…rrrZZZZ"
 
 
Monsieur, c'est un honneur. Je suis un grand fan de votre groupe.
 
The Four Horsemen… quelle belle époque.
 
Euh attendez non, l'autre groupe avec Pete Towsend à la guitare. The…
 
♪♪♪
 
Oui c'est ça.
 
 
WWE Intercontinental Title Match
Ryback vs. Kevin Owens
 
Ce qu’il s’est passé à Raw : Je ne sais pas si cette histoire de “personnages gris” est montée au cerveau des scénaristes, mais ce soir les gentils ont décidé de faire une belle démonstration de manque de fair-play. Illustration avec Mark Henry et Ryback qui passent à tabac un Kevin Owens victorieux de son affrontement avec le tenancier du Hall of Pain.
 
Question : Mark Henry, Big Show, Kane… les big men qui jobbent dans les go-shows pour revenir en main-event trois mois plus tard sont-ils crédibles ?
 

Jyskal : Pas compris la question. Enfin elle n'est pas liée au match directement si ? Bref toujours est-il que OUI, cent fois OUI. La crédibilité ça se reconstruit en 2-3 shows facile, ce n'est absolument pas un problème, surtout quand on a un physique de monstre.
 

kennard :  Plus vraiment. Le booking alternatif les a trop endommagés. Tout ce qu'ils obtiennent maintenant c'est des chants "Please retire" ou ce genre de réaction. Faire jobber Cesaro pour que TBS se fasse aplatir par Brock, c'était débile par exemple.
 

Goatface : A mon avis, ce n'est pas tant le problème des "big men" en général, mais plutôt d'une génération sur la fin qui tarde à tirer sa révérence. Malgré tout, j'ai été content de revoir Mark Henry, j'ai toujours eu une affection particulière pour lui, même si le Hall of Pain a perdu de son éclat. Tout ce que j'espère pour ces trois-là, c'est de partir par la grande porte car ils le méritent (mais bon, pas forcément besoin de passer par le ME pour ça). 
 

Axl : Oui, parce que même s'ils ont perdu des matchs, ça reste des monstres. Ces trois-là, la WWE n'a cessé de nous l'expliquer, ont vu leur carrière dépendre de leur motivation. S'ils avaient la rage constante d'un Cena chevillée au corps, ils seraient tous décuple champion du monde. Donc je veux bien admettre que Henry, dans trois mois, redevienne un vrai obstacle sérieux, si par exemple il se décide à mettre un dernier coup de turbo avant de quitter la scène.
 

Feud me more : Je trouve le booking de Kane assez bien fait et du coup j'ai envie de croire à sa dangerosité, ce qui ne m'était plus arrivé depuis les Hell No. Mark Henry m'a plu une seule fois: quand il a défoncé Cena après un segment poignant. Big Show…je ne regardais pas la WWE entre 1995 et 2012. Je ne l'ai donc jamais vu être intéressant.
 
Goshomètre :
Excitation : 4,6
Projection mentale de la qualité technique : 5,2
Curiosité : 4,2
Qualité du build-up : 4
 
Score : 4,5
 
 
Nous au Texas, on connait une blague. Allez je vous la raconte.
 
 
Hell In a Cell Match
Roman Reigns vs. Bray Wyatt
 
Ce qu’il s’est passé à Raw : Shawn Michaels, bien au courant de l’historique de l’ancien Shieldien, propose que Seth rejoigne le match Wyatt vs Reigns & Ambrose, ce soir. Proposition difficilement envisageable pour The Authority, avant que Seth, vexé par les remarques infantilisantes du Sexy Boy, n’accepte cette étrange (mais alléchante) idée. Le main-event devient alors un moment de pure nostalgie quand les anciens membres du Shield se retrouvent, rejoints par la Wyatt Family. Non, nous ne sommes pas en 2014. Ceci n’a rien d’un retour vers le passé. Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. Et si la Wyatt Family a retrouvé son indivisibilité d’antan, le Shield n’est plus qu’une peau morte. Mais la vision est magnifique, et le public ne se trompe pas. "This is awesome ! This is awesome !" L’empressement de Seth Rollins à prendre la tête des opérations fait plaisir, mais il laisse volontiers la première tournée une fois face au revenant Rowan. Pire ! Il abandonne définitivement ses camarades après dix minutes de combat. Incontrolable, Ambrose dégaine le kendo stick, provoquant la disqualification de son équipe. Le match terminé, Reigns place son spear sur Bray et Rowan, obligeant la Wyatt Family à battre en retraite. Rendez-vous est pris ce dimanche pour le chapitre suivant de cette rivalité ravivée.
 
 
Question : Raw a-t-il réussi à vous vendre la stipulation “Hell in a Cell” pour le match Reigns vs Wyatt ?
 

Jyskal : Ouais carrément! Le booking fait sens depuis plusieurs semaines et j'adhère. Reigns se fait tabasser depuis plusieurs mois, que ce soit solo ou en équipes, par cet affreux Wyatt et sa bande. Maintenant ça y'est c'est l'heure de la branlée, le barbu est coincé one on one avec Reigns dans une cage avec toit. C'est terminé pour sa gueule, il va morfler. C'est en tout cas l'histoire racontée, elle est simple et diablement efficace, pour quiconque adhérerait aux deux personnages. Maintenant j'espère vraiment qu'ils ne vont pas sortir une saucisse pour nous faire gober une entrée des autres dans la cage, car ça tuerait tout l'intérêt de la stipulation et du booking nous y menant.
 

kennard : LOL. C'est ma réponse, sérieusement. Ces deux dernières semaines, Reigns à lui seul a humilié toute la stable. Comment on est censés croire à un doute sur le vainqueur? La feud a été longue et jusqu'ici équilibrée mais là c'est devenu n'importe quoi à l'approche du finish. Dommage car c'est justement à ce moment là qu'il faudrait introduire du doute et des perspectives plus équilibrées. Sans parler des promos de Reigns qui se font whatter, surtout sa daube de Chicago.
 

Goatface : C'est de loin la stipulation la plus facile à vendre de tout le PPV, avec celle du ME. Avec deux factions habituées aux interventions extérieures, un bon match en cage ou dans un HIAC, c'est la solution logique pour un affrontement équitable (enfin sur le papier, on sait bien que Bray Wyatt, ce genre de stipulation, il s'assoit dessus allègrement …). Donc on va dire que de ce côté-là, pas de soucis. Le gros problème de la feud, c'est plutôt le rejet massif du personnage de Reigns par le public. A ce niveau-là, je ne sais même pas ce qu'il faudrait faire pour redresser la pente. J'ai l'impression que le cas Reigns est devenu le symbole de ce qui ne va pas dans le booking suranné de VKM. Et quoi qu'il fasse, le public trouvera toujours une raison de le siffler. En tout cas on a eu la confirmation que ce n'est pas l'utilisation de vieilles gloires comme Ric Flair pour tenter de lui filer un coup de spotlight qui arrangera les choses, bien au contraire … C'est bien dommage en tout cas, car sur le papier, le match est intéressant (même si le potentiel de finish foireux est quand même très élevé).
 

Axl : Non. Le booking de Raw a été démentiellement incohérent. Et on ne vend pas un bain de sang entre deux mecs qui se haïssent par une séquence où ils s'assoient face à face et discutent.
 

Feud me more : Non puisque de toute façon on sait qu'il y aura intervention extérieure. Autre question?

 
 
Goshomètre :
Excitation : 5,4
Projection mentale de la qualité technique : 5
Curiosité : 6
Qualité du build-up : 5,6
 
Score : 5,5
 
 
Roman, j't'ai entendu. Tu m'avais juré que tu préférais ZZ Top.
 
 
United States Title Open Challenge Match
John Cena (c) vs. ???
 
Ce qu’il s’est passé à Raw : Ni vu ni connu, Cole et ses compères annoncent que John Cena affrontera un catcheur à Hell in a Cell pour son Open Challenge. Son identité n’est pas dévoilée.
 
 
Question : De par son absence, Cena a-t-il réussi à booker son match contre un inconnu ?
 

Jyskal : L'US Open Challenge étant la meilleure chose à RAW depuis des semaines, l'exictation est de facto à son top niveau, surtout en PPV avec le facteur retour surprise qui peut être fort. Un match d'anthologie encore une fois à venir pour une ceinture qui n'a jamais brillé aussi fort.
 

kennard : Le challenge a offert régulièrement de bons matchs mais sans surprise et sans enjeu tellement personne n'avait la moindre chance de battre Cena pour le titre. Booking fainéant et insipide.
 

Goatface : On va dire que oui. C'est tout le sel de ces open challenges, et les spéculations vont bon train pour savoir qui va affronter Cena en PPV. Un promu de NxT ? Un retour inatendu ? Dans tous les cas, on sait que ça sera un des meilleurs matchs de la soirée, sans hésitation. Quoi qu'il arrive ce dimanche, les open challenges de John Cena resteront un des grands moments de cette année. Le seul bémol peut-être seront les occasions manquées que sont les feuds avec Kevin Owens (lancement en grande pompe mais finish foireux), et l'interlude avec Seth Rollins qui n'aura servi à rien.
 

Axl : Non. C'aurait été exactement pareil si Cena avait été là: "J'affronterai quelqu'un dimanche, je sais pas qui, mais je serai prêt, come get some, merci au revoir". Et puis il a été là ce lundi, non? Il a pas matché avec les Dudley contre les ND? (ndr : oups en effet ! disons qu’il n’y as pas eu de grosse promo pour vendre son match à Hell in a Cell).
 

Feud me more : Les promos de Cena me f-gonflent au plus haut point. Y en a pas eu? TANT MIEUX!!
 
 
 
 
Goshomètre :
Excitation : 7
Projection mentale de la qualité technique : 7
Curiosité : 7,8
Qualité du build-up : 5,8
 
Score : 6,9
 
 
Qui décrochera la ceinture ?
 
 
Conclusion
 
La carte mère encore brulante, le goshomètre nous dévoile son évaluation globale pour Hell in a Cell, dans un dernier bip suffocant.
 
Après ce Raw, l’affiche qui emballe le plus nos cobayes est le Tag-Team Championship entre The New Day et Dudley Boyz. Même s’il ne déborde pas d’originalité, le build-up est plébiscité. Sans aucune promo, l’Open Challenge de Cena se permet une incongrue deuxième place. Les raisons ? Les belles dernières prestations du Marine et le mystère autour du challenger. La rivalité entre Brock Lesnar et The Undertaker profitent encore un peu du prestige des deux hommes. Annonce de dernière minute, match sans suspense ou stipulation inexpliquée : le reste de la carte patauge. La Divas Revolution n’échappe pas à la guillotine et finit en dernière place.
 
Score du goshomètre pour Hell in a Cell : 5,4875
 
Et vous qu’avez-vous pensé de ce Raw ? Vous a-t-il donné envie de suivre le PPV ? Quelle affiche vous excite le plus ?
 
 
En attendant, tirez tous sur mes doigts.
 

Publié

dans