Le maintien du cap de bonne espérance

Avoir la foi c'est monter la première marche même quand on ne voit pas tout l’escalier.

Martin Luther King

 

Sans offrir des shows révolutionnant le genre, la TNA continue de délivrer semaine après semaine des éditions irréprochables niveau « in ring » et relativement cohérentes sur le reste. La pression liée à la fin du bail avec Spike TV aurait-elle du bon ?

 

 


Ne vous fiez pas à la peinture défraichie, y’a encore assez d’argent pour me garder.

 

 

Nalyse-Synthèse TNA Impact août 2014

 

Avoir la foi c'est monter la première marche même quand on ne voit pas tout l’escalier.

Martin Luther King

 

Sans offrir des shows révolutionnant le genre, la TNA continue de délivrer semaine après semaine des éditions irréprochables niveau « in ring » et relativement cohérentes sur le reste. La pression liée à la fin du bail avec Spike TV aurait-elle du bon ?

 

 


Ne vous fiez pas à la peinture défraichie, y’a encore assez d’argent pour me garder.

 

 

Nalyse-Synthèse TNA Impact août 2014

 

 

En premier lieu, voici les résultats rapides des combats disputés durant ces quatre shows aoûtiens, marqués en chemin par un changement de diffusion du jeudi au mercredi soir :

 

 

7 août à New York, New York (Hammerstein Ballroom)

1- Bram bat Abyss par tombé suite à un Spear et l’utilisation de la batte barbelée Janice. Il s’agissait d’un Monster’s Ball Match.
2- BroMans & DJ Z battent Gunner, Samuel Shaw & Mr Anderson par tombé sur ce dernier, un simple Roll Up de Robbie E fait l’affaire.
3- Bully Ray, Devon, Tommy Dreamer & Al Snow battent Ethan Carter III, Rhino, Rycklon & Snitsky dans un 8-men Hardcore War Match. La Team 3D exécute son finish sur Rhino.
4- Samoa Joe remporte un Triple Threat au détriment de Low Ki et Sanada, pris dans le Coquina Clutch (TNA X-Division Championship).

 

14 août à New York, New York (Hammerstein Ballroom)

1- Low Ki remporte un 6-men Elimination Scramble Match comprenant Tigre Uno, Manik, Crazy Steve, DJ Z et Homicide. Il devient challenger au titre X-Division.
2- Mr Anderson bat Gunner par DQ pour cause d’intervention de Samuel Shaw.
3- Gail Kim © bat Angelina Love, Velvet Sky et Taryn Terrell dans un Fatal Four-Way (TNA Knockouts Championship). Le Eat Defeat a raison de Sky.
4- Bobby Lashley, MVP & Kenny King battent Austin Aries, Bobby Roode & Eric Young gràce à un Spear de Lashley sur Double A.
5- Team 3D battent The Hardys par tombé avec le 3D porté sur Matt.

 

20 août: Hardcore Justice à New York, New York (Hammerstein Ballroom)

1- Bram bat Abyss par tombé dans un Stairway to Janice Match. Il s’agissait d’une variante de Ladder Match puisque la victoire ne se limitait pas à décrocher la batte barbelée.
2- Samoa Joe © bat Low Ki par tombé avec son Muscle Buster (TNA X-Division Championship)
3- Mr Anderson bat Samuel Shaw par abandon dans un « I Quit » Match.
4- Gail Kim © bat Angelina Love dans un Last Knockout Standing Match (TNA Knockouts Championship). La championne assure son succès avec une forme rare de slam/souplesse sur une chaise.
5- Bobby Roode remporte un 6-men Steel Cage Match, à égalité avec Eric Young sorti de l’autre côté. Participaient également Austin Aries, Magnus, Gunner et James Storm.

 

 

27 août à New York, New York (Hammerstein Ballroom)

1- Bobby Lashley © bat Tommy Dreamer par tombé suite à un Spear. Il s’agissait d’un Street Fight où le titre de Champion du monde n’était pas en jeu.
2- Taryn Terrell bat Madison Rayne par tombé avec un Cutter.
3- Low Ki, Tigre Uno & Crazy Steve battent Homicide, Manik & DJ Z par tombé. Le match s’achève avec un Ki Crusher sur Manik.
4- Rhino bat Ethan Carter III par DQ, lorsque ce dernier utilise une chaise.
5- The Great Sanada bat Austin Aries par tombé avec un enchainement Green Mist/Super Kick.
6- Team 3D remporte la première manche de la série de combats programmé contre The Hardys et The Wolves ©. C’est Eddie Edwards qui subit le 3D décisif pour le compte de trois.

 

 


Procès imminent avec Marvel Comics, histoire de compliquer la tâche ?

 

 

Thème par thème, les faits saillants et perspectives apparues :

 

 

En bref
– Chris Melendez, ancien GI, désormais unijambiste, a bénéficié d’une arrivée propagandiste made in America lors de l’édition du 27 août. Une présentation au cœur du ring, entouré d’éminents membres faces du roster (Team 3D, Kurt Angle, Mr Anderson), prétexte à glorifier ses exploits comme représentant du drapeau et la formation suivie au sein de l’école des frères Dudley. Absence étonnante de Gunner durant ce long segment patriotique assez lourd à suivre pour un fan européen. Y a-t-il des projets de push immédiat pour cette nouvelle recrue ? Tout pousse à y croire, que ce soit par le ralliement à une feud en cours ou via le schéma plus classique de l’opposition à un heel non-américain. Facilité scénaristique catchesque actuellement nourrie par le contexte géopolitique.

 

– Sitôt signés, sitôt mis de côté. Dans le méga clan formé autour de Dixie Carter, Snitsky et Rycklon (ex Ezekiel Jackson) ont déjà perdu leur place, congédiés à l’antenne par la patronne suite à l’échec collectif dans le match de type War Games début août. King Mo n’est guère mieux loti puisque la convalescence de Dixie rend sa présence caduque. Accessoirement il s’est focalisé sur sa carrière de MMA, venant à bout de Dustin Jacoby par TKO pour la reprise du Bellator début septembre.

 

– Lors de l’édition du 20 on apprend que Christy Hemme est enceinte. La belle rousse sera donc bientôt à l’écart des écrans, pour notre plus grand malheur. Bon ok ça ne va pas changer grand-chose, sinon la fin du meilleur plan hebdomadaire d’Impact : ce panoramique, des jambes à la tête, de la reine du ringside.

 

– Le grand oublié du mois est le clan The Ménagerie. Hormis les participations de Crazy Steve à des combats X-Division, nos amis du cirque ont semblé ranger au frigo leurs aspirations à conquérir des titres, ainsi qu’ignorer les menaces téléphoniques de ce fameux maitre-chanteur. Histoire mise au placard ?

 

– Côté coulisse, il faut mentionner l’extension du deal avec Spike TV jusqu’à la fin de l’année civile 2014, à l’issue de laquelle il faudra trouver un nouveau diffuseur de poids. La chaine a par ailleurs décidé de réagir illico au passage de WWE SmackDown du vendredi au jeudi en faisant également glisser Impact d’un soir. Autant éviter une rivalité frontale à laquelle ne saurait résister la compagnie numéro deux.

 

 


Ne cherchez pas les gars, aucun grand écart de Rebel ce mois-ci.

 

 

 

Sanada devient Great, et Storm ?

 

La spécificité des émissions mises en boîte longtemps en avance est de permettre d’établir des storylines selon des arcs narratifs figés. Pas de débat de scénaristes entre chaque épisode pour réorienter une histoire en fonction du feedback du public ou des ressentiments des catcheurs concernés. La contrainte prévisionnelle favorise la cohérence, tout en assumant le risque qu’une mauvaise idée envahisse les ondes pendant plusieurs semaines.

Parfait contre-exemple: les revirements brutaux de la stable Wyatt/Daniel Bryan durant le mois de janvier à la WWE. Qui peut croire que ce heel turn avait à la base cette vocation provisoire ? Mais qui pourrait reprocher cette volte-face scénaristique quand cela aboutit au build up menant Bryan au triomphe à WrestleMania XXX ?

L’idée d’attribuer à James Storm le rôle de mentor de Sanada est douteuse… Au moins est-elle renforcée un peu plus chaque jeudi mercredi soir. D’abord caractérisée par des simples pressions du Cow-Boy avant les combats du Japonais, la mise à l’épreuve s’accompagne à présent de sévices corporels au fond d’une cabane isolée dans les bois (sans doute un recyclage du repère de Willow). Cerise sur le gâteau, Sanada emprunte le superlatif Great, exécute le Green Mist et arbore un maquillage semblable à celui de son illustre modèle. Devenu plus impitoyable, l’ancien Champion X-Division domine Austin Aries en fin de mois. Que retire James Storm de cet angle ? En apparence pas grand-chose. Pourtant la piste de la formation d’un gang composé d’âmes perdues, ayant besoin de ses méthodes de remobilisation, est lancée au détour d’une promo où il proclame son rôle de leader de la révolution. L’ex-Beer Money assure aussi que Sanada est le premier d’une longue liste de sbires. Dans quelle mesure le Bound for Glory prévu au Japon joue-t-il un rôle dans cette stable ? À quand une contre-offensive de Muta et de ses sbires de la W-1 ?

En tout cas, il s'agit sans doute de l’association la plus incongrue depuis le duo AJ Styles/Ric Flair au premier semestre 2010. Et demain un clan heel régnant sur le midcard ?

 

 


Seul un gaijin pouvait me convaincre de soutenir le Borussia Dortmund.

 

 

 

Un challenge par équipe poussif mais jouissif

La confrontation entre Wolves et Hardys n’avait d’emblée pas la prétention d’un « once in a lifetime ». Matt Hardy était revenu à la TNA pour de bon et Jeff trouvait par son entremise l’occasion d’abandonner définitivement la gimmick de Willow le soliste. La compagnie décide d’aller au-delà de nouveaux affrontements entre ces deux équipes intouchables de la smartsphère, et ajoute la Team 3D à la donne. Histoire de flirter avec la nostalgie des fans, la compagnie mentionne sans grande habileté les grands accomplissements passés des deux équipes phares de la WWE période Attitude. L’incontournable « one more match » torché en main event du 14 août, il est temps de passer à une rivalité triangulaire centrée sur le sportif. Le fond ne peut que réjouir les amateurs de catch par équipes, mais la mise en place du challenge aura été bien besogneuse. Pas moins de cinq segments ont été nécessaires durant l’édition du 20 pour que les discussions entre les parties concernées aboutissent. Et encore, par l’intermédiaire du GM Kurt Angle, les Wolves étant restés flous sur leurs intentions et en retrait pendant la majeure partie du mois. Ce sera donc une succession de rencontres où l’équipe ayant obtenu deux victoires aura les ceintures. Sachant que Bully Ray n’a pas signé de nouveau contrat avec la compagnie, que les Hardys peuvent exister sans être couronnés, il n’est pas bien dur d’anticiper sur les lauréats de ce mini-championnat.

 

 


Pas sûr que l’arrivée opportuniste d’Edge & Christian soit à l’ordre du jour.

 

 

 

Beautiful People au bord de l’implosion

Un seul titre vous manque et tout vire au vinaigre. Angelina Love, la sextuple championne des knockouts, est bien déterminée à améliorer son record de règnes. Elle compte en Velvet Sky une idiote utile comme on n’en fait plus, une aide de coin ne lui réclamant rien en retour. Lorsque Love exige un rematch à Gail Kim, elle doit composer avec une championne si généreuse que Taryn Terrell… et Velvet Sky sont intégrés à la course au titre sur sa demande. Le fatal 4-way laisse entrevoir des failles entre les Beautiful People, sans cesse en bisbille pour obtenir le tombé victorieux. Leur mésentente tourne en faveur de Kim. La semaine suivante, Love a droit à un rematch solo sous une stipulation Last Knockout Standing. Une intervention manquée de Sky entraine une reprise en mains par la tenante du titre.

Échec de trop pour assurer la pérennité au clan des BP ? Leur boucle est bouclée depuis bien longtemps à présent, leur séparation ne peut amener qu’un vent de fraicheur.

Signalons en parallèle le début de frustration de Madison Rayne, réticente au traitement de vedette réservé à Taryn Terrell depuis son retour. En dernière semaine, la Killer Queen est d’ailleurs vaincue par la nouvelle chouchou du public, promue challenger unique de Kim pour le premier épisode de septembre. Sûrement quelques turns dans les tuyaux.

 

 


Si dur que ça de s’accorder sur un double tombé ?

 

 

 

Trio Gunner/Shaw/Anderson, à quand l’issue ?

La storyline la plus alambiquée des derniers mois n’a pas encore révélé son but profond. Créer une feud entre Mr Anderson et Gunner par le biais de Samuel Shaw ? Relancer l’angle du psychopathe croisant le fer avec le blond le plus électrisant du business ? Transformer les intentions bienfaitrices de Gunner en embrigadement tournant en sa défaveur ? Ces trois pistes ont été amorcées successivement, mettant en relief une gradation de sentiments haineux ou méfiants entre les protagonistes. Le prétexte d’une défaite face aux BroMans, dans un match par équipe à trois contre trois, débouche sur une bataille décousue entre Gunner et Anderson au show suivant. Puisque Shaw interrompt ce duel, il doit en découdre avec l’Ultimate Asshole dans un « I quit » match à Hardcore Justice. Le finish est curieux, marqué par un abandon du psychopathe littéralement dicté par Gunner. Enfin, un moment de tension pointe entre les deux nouveaux meilleurs amis lorsque l’ancien GI surprend Shaw en plein défilé militaire (avec sa tenue !) dans son appartement. Il lui ordonne de changer aussitôt de comportement.

Alors, bon samaritain dépassé par celui dont il prétendait guérir les tares ? Ou avènement d’un duo jouant sur la corde sensible du patriotisme américain ? Je mets une pièce sur l’ajout de Chris Melendez dans l’équation.

 

 


Jusqu’ici toute allusion à Poutine a été évitée, jusqu’à quand ?

 

 

 

Samoa Joe retrouve son cher titre de la X-Division

 

Le sens de l’histoire implique parfois de reculer pour mieux sauter. Un homme capable de flirter avec un titre de champion du monde doit parfois accepter de conquérir une ceinture intermédiaire. D’être une valeur sûre du milieu de carte plutôt qu’un faire-valoir du dernier étage. Ainsi redémarre chaque nouvelle ascension de Samoa Joe, sans voguer jusqu’au sommet depuis 2008. La X-Division retrouve une certaine épaisseur à travers ses passes d’armes avec Sanada ou Low Ki. D’autres concurrents majeurs pourront prétendre au second souffle via cette voie : Jeff Hardy, Austin Aries ou Eric Young, dès lors qu’ils auront épuisé toutes leurs cartouches pour détrôner Bobby Lashley. Il sera alors plus prestigieux d’être couronné suite à un règne de Samoa Joe qu'à la suite de celui d’un DJ Z ou même Kenny King. Cette division se concentre pour l’instant sur ses seuls temps de combats, pas de storylines mises en avant et des gimmicks minimales. Tremplin ou chant du cygne pour la Samoan Submission Machine ?

 

 


Après l’effet sous-coté, l’effet six côtés ?

 

 

 

Abyss se reprend d’amour pour Janice

Un monstre ne meurt jamais. Mais ne gagne pas beaucoup pour autant. Empêtré avec le duo Magnus/Bram dans une haine si lointaine qu’on en oublie les causes, Abyss réalise un retour aux sources sémantique. Il redevient cette bête fauve soucieuse de son seul masochisme, sans le moindre allié objectif ni objectif à atteindre. Après une première défaite indiscutable dans un Monster’s Ball l’opposant à Bram, il se met en quête de récupérer sa chère et tendre Janice. À l’occasion d’une revanche à stipulation bancale, le Monster subit une correction de plus grande ampleur. Son arme favorite est pour l’heure l'outil de sa destruction, non une main tendue pour le ramener dans le haut du pavé. Cette feud pourrait aussi marquer la fin de l’entente entre les deux Anglais. Tandis que Magnus est intégré au 6-men steel cage match devant déterminer le nouvel aspirant au titre, la jalousie de son collègue pointe le bout de son nez. Il revendique entre les lignes le statut de maillon fort du duo, car lui seul les a débarrassés d’Abyss.

Une feud Bram/Magnus serait la suite logique à cette construction. Quant à Abyss, il bénéficie de son identité particulière de personnage pouvant basculer où personne ne l’attend du jour au lendemain.

 

 


Pour une fois que quelqu’un d’autre goûte aux punaises…

 

 

 

#Ithappens et après ?

Ils auront bien osé. Quatre mois de traque parfois folklorique ou grand-guignolesque auront donc abouti au passage de la patronne de la compagnie à travers une table. Si l’on veut chipoter, on remarquera que seules les fesses de Bully Ray ont causé la destruction de cet élément de décor familier. Vraisemblablement un choix délibéré car l’impact donné à la rencontre de la tête de Dixie avec le sol du ring s’avère plus impressionnant encore. Plus tôt dans cette soirée historique, le quatuor des ex-ECW (complété par Al Snow) triomphait enfin d’une rencontre comprenant Ethan Carter III et autres sbires de la direction. Depuis, la Team 3D s’en est retournée vers la division par équipe, Tommy Dreamer a battu en retraite et les membres de la faction heel n’en finissent plus de se déchirer. Snitsky et Rycklon renvoyés (seulement en kayfabe a priori), King Mo au chômage technique, Rhino jugé coupable des insuffisances du groupe, Rockstar Spud en proie au dilemme entre rester fidèle au neveu Carter ou jouer la pacification, il ne restera bientôt à EC3 plus d’autre choix qu’une scission avec lui-même.

Clap de fin ou parenthèse de circonstance ? Dixie Carter a promis, lors d’une entrevue via satellite diffusée le soir d’Hardcore Justice, d’illustrer bientôt l’adage selon lequel un Carter n’oublie jamais. Mike Tenay n’obtiendra guère de précision supplémentaire. Or au moment de l’enregistrement de ce segment le départ de Bully Ray devait encore être en balance. La mémoire sélective de tout fan de catch devrait suffire à enterrer dignement cette péripétie.

 

 


Il sera toujours temps de feuder avec Al Snow dans le pire des cas.

 

 

 

Roode et Young décidément durs à départager

Le bilan comptable fin juillet était impitoyable : le champion du monde Lashley affichait quatre victoires à zéro contre Eric Young (succès moyennement voire totalement clean), mais aucune opposition en one-on-one face à Bobby Roode. Cette statistique n’a pas conduit à un traitement différencié. Les anciens compères de Team Canada continuent leur guerre commune face au gang MVP/Lashley/Kenny King, entrainant même Austin Aries dans leur sillage. Aucun coup bas entre ces trois-là malgré la même visée individuelle en bout de course. D’où ce match en cage à six participants à la fin d’Hardcore Justice pour déterminer un challenger numéro un. Et là patatras, Roode et Young sortent simultanément de la structure. Voilà sur un plateau d’argent l’astuce du match nul dans un match crucial pour garder over deux faces, la TNA retomberait-elle dans ses travers ? Si l’on en croit le choix adopté par Kurt Angle pour départager les deux amis, on devrait éviter cet impair. Pas de triple threat à l’horizon, mais un duel qui devrait marquer le passage de témoin entre le babyface surprise de l’année et l’inoxydable It Factor.

 

 


L’augure d’un double tombé ou d’un 20 minutes draw n’est pas à exclure.

 

 
 
 
 
 

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