FDP de la WWE

Motherfucking dick suck cunt fucking fuck fuckity fuck fucker fucking fuck fuckers!

Negan, The Walking Dead

 

Coupe du Monde de foot, début de l’été, lassitude envers un programme qui plus que jamais apparaît comme un simple complément de Raw, répugnance à visionner un show diffusé le jour de la ridicule fête nationale américaine et nécessairement marqué par les célébrations exaspérantes qui en découlent… Les raisons étaient nombreuses pour faire l’impasse sur le Smackdown de la semaine dernière. Dommage, le show méritait pourtant le coup d’œil.

 

 

Non, je déconne, ç’a été nul à chier. 

 

 

Nalyse du Smackdown du 4 juillet

 

Motherfucking dick suck cunt fucking fuck fuckity fuck fucker fucking fuck fuckers!

Negan, The Walking Dead

 

Coupe du Monde de foot, début de l’été, lassitude envers un programme qui plus que jamais apparaît comme un simple complément de Raw, répugnance à visionner un show diffusé le jour de la ridicule fête nationale américaine et nécessairement marqué par les célébrations exaspérantes qui en découlent… Les raisons étaient nombreuses pour faire l’impasse sur le Smackdown de la semaine dernière. Dommage, le show méritait pourtant le coup d’œil.

 

 

Non, je déconne, ç’a été nul à chier. 

 

 

Nalyse du Smackdown du 4 juillet

 

 

Dean Ambrose et Roman Reigns sont tellement cons qu’ils seraient hors concours dans un concours international de connerie rassemblant tous les plus gros cons de tous les temps et de toutes les planètes de tous les univers.

 

Leur poto, le mec qui allait les planter avec un panache digne de Éphialtès multiplié par Sarkozy puissance Iago, s’appelait Seth, putain. Mais googlisez-les, les mongolous, c’est pas un prénom comme les autres, c’est pas Dean (passke maman aimait James Dean) ou Roman (parce que maman a été violée à quatre ans par Polanski). C’est Seth.

 

Ouais, on peut foutre dans un moteur de recherche d’autres mots que « gros nichons » ou « meuf qui montre sa chatte ». On peut foutre « Seth » pour savoir ce qu’implique le fait de se choisir un nom aussi chelou comme blaze. Et si on effectue cette simple manœuvre — qu’en deux ans de vie commune dans leur squat malodorant Roman et Dean n’ont jamais ne serait-ce qu’envisagée, trop occupés sans doute à se tirer sur la nouille en bavant devant des screenshots de Lara Croft —, alors on découvre que Seth ça veut pas dire « bisounours tout moelleux qui fait des câlins » ça veut dire « putain de gros enculé de ses morts de compétition intersidérale »! Ca aurait pu leur mettre la puce à l’oreille, s’ils avaient pas déjà l’oreille recouverte de leur propre teub, vu qu’ils se la mettent dessus tous les soirs, ben ouais on attire pas des masses de donzelles quand on néglige pendant des mois de changer sa tenue de camouflage qui pue le mort pire que la paillasse de Luke Harper dans la cabane des Wyatt.

 

Donc Seth, c’est un dieu, déjà. Ce qui montre direct que le dénommé SETH Rollins a de l’ambition et va pas se contenter de jouer les sous-fifres décolorés jusqu’à la retraite. Mais pas n’importe quel dieu, c’est… atta, je retrouve la citation exacte, « russian big boobs bulgarian humbling » non merde ça c’est une autre recherche, a y est, Seth, donc, c’est « un être négatif et brutal. Il est l'assassin d'Osiris, dont il dépèce le cadavre et éparpille ses morceaux sur toute la surface de l'Égypte, et l'usurpateur des droits monarchiques d'Horus, le fils d’Osisis ». Et il a une tête de chacal, aussi. Ca vous suffit, les teubés, comme subtils indices? Il bute son vieux pote Osiris, l’éparpille façon Raoul entre Abou Simbel et Charm el-Cheikh, et devient roi à la place d’Horus, qui était légitime. Ca donne carrément envie de se fier à lui non?

 

 

Une tête de chacal? Ca explique son haleine en tout cas!

 

 

Vous en voulez encore du Seth, les coquins? Ca vous excite, hein, les crapules cosmiques à faire passer Chtulhu pour Rantaplan? OK. Vous savez ce qu’il a fait ensuite à Horus, cet enfoiré?

 

Il l’a enculé.

 

Je cite les textes des pyramides, bande de branleurs : Seth sodomise Horus. Mais celui-ci fait semblant d'être violé, car en réalité, c'est lui qui sodomise Seth. Seth fait valoir son exploit devant l'assemblée des Dieux, qui s'accordent sur sa supériorité, mais Horus proteste. Seth fait alors demander à son sperme où il se trouve. Celui-ci répond du corps de Seth; il est à sa place et non dans Horus. On questionne alors le sperme d'Horus, qui répond du corps de Seth une phrase mythique: « Par où dois-je sortir? ».

 

 

Tain, finalement on n’est pas si mal avec nos monothéismes à la con à nous. Au moins, Jésus, Mahomet et Moïse, s’ils se sont mutuellement exploré le fondement, ont eu le bon goût de ne pas le graver sur un parchemin (ou alors on a mal déchiffré, c’est possible aussi, mais je laisse là cette incroyable ouverture théologique). Quoi qu’il en soit, je sais plus trop qui a finalement enculé qui dans cette histoire mais ce qui est clair c’est que Seth voulait ramoner le conduit à Horus, après avoir dexterisé son reup et avoir pécho le pouvoir.

 

Donc le gars qui un jour se dit « bon j’me prends quoi comme blaze? Ah tiens, Seth, ça m’irait bien », il est comme qui dirait légèrement louche sur les bords. J’veux dire, il aurait demandé à s’appeler Judas Motherfucker Iznogoud, ç’aurait pas été plus transparent. Depuis le premier jour, c’était écrit, aussi bien sur sa fiche wwe.com que sur sa gueule torve de p’tit pervers qui dans la chaleur silencieuse de la cour de la bâtisse grand-parentale pendant la sieste des aïeux pisse sur les fourmis pour voir si elles vont crever, c’était écrit : SETH. Il allait trahir ses potes, les buter et prendre le pouvoir. Et les enculer si possible au passage.

 

 

Ah oui, je vous ai raconté le jour où j’ai mis du GHB dans le ti-punch, au squatt? Vous vous souvenez pas que vous avez eu du mal à marcher le lendemain?

 

 

Ambrose et Reigns ne peuvent s’en prendre qu’à leur propre connerie. Comme dans la fable de la tortue et du scorpion, voyez-vous? Mais si, putain.

 

La tortue veut traverser une rivière, mais elle connaît pas, elle voit rien sous l’eau cette conne, donc elle propose à un scorpion de se mettre sur son dos pour qu’il la guide, il dit OK parce que lui aussi a justement besoin d’aller sur l’autre rive et sans moyen de locomotion il va se peler sa petite carcasse galeuse de scorpion ad vitam aeternam. La tortue qui connaît la réputation de gros fdp des scorpions (sérieux rien que pour Still Loving You ils devraient être éradiqués de la mémoire humaine) lui dit « ouais bon, juste un truc, tu vas pas me piquer avec ton gros dard de quetard hein, passke sinon ben on coule tous les deux et c’est pas cool » et lui la rassure genre « nan nan tkt il est bien rangé mon dard, vazi on traverse, hisse et ho tout ça » et alors le scorpion il se met sur la tortue et elle va dans l’eau et au milieu du gué chlaaaaa il la pique comme un bâtard! Alors la tortue, mourante, s’écrie comme le soldat ricain fauché par une rafale de kalach sur une clairière vietnamienne et sur le poster qu’avait dans sa chambre ma copine Mathilde en 1991 « WHY? Tu vas couler avec moi, ducon! » et le scorpion, alors que les eaux tumultueuses vont engloutir sa lamentable existence de ptit enfoiré, répond : « Parce que telle est ma nature ».

 

 

– J’ai rien compris.

– Sans déc, Einstein?

 

 

Ben c’était la nature de Seth Rollins de planter son gros dard dans le dos rectangulairement stupide de ses deux armoires à glace de complices. Le dieu-chacal sodomite n’allait pas refouler longtemps sa nature de scorpion, donc dans le cul lulu! Et c’est à peu près ce qu’il vient raconter en ouverture du dernier SD, mallette en main, rictus sur sa vilaine face. Là-dessus, si vos mères ont pas bu trop de destop pendant la grossesse, vous imaginez la suite : Ambrose déboule pour lui taper dessus afin de voir si ça éclabousse, Orton vient péta Ambrose et Reigns ramène sa tronche de pub pour Pétrole Hahn dans la foulée, et évidemment les deux ti-gen vident les salopiots du ring — z’avez remarqué, c’est JAMAIS les ordures qui prennent le dessus dans ces bastons improvisées, toujours les bons qui finissent par les scruter alors qu’ils se replient sur la rampe en léchant leurs plaies comme les zombettes dégénérées de Crossed.

 

 

– Haha, regarde les fuir, ces lâches!

Roman, maintenant que c’est fait, on peut rentrer à la maison? Je crois qu’il reste du ti-punch, t’as pas envie que je t’en serve un grand verre?

 

 

La vipère et le scorpion louvoient donc jusque sous le Titantron où apparaît alors le seigneur de ces lieux, qui annonce non pas un tag team match playa (puisque si c’était pour faire ça il aurait pu se passer de virer le négro de service), mais un simple Orton-Ambrose pour le main event, sans malheureusement ajouter la stipu concours de grimaces, même si on sait bien qu’elle sera de vigueur quand même.

 

 

Je vais être bref, parce que ça me stresse un peu d’avoir derrière moi un dieu-scorpion sodomite et régicide.

 

 

Les abrutis et les enfoirés évaporés, place à d’autres abrutis et enfoirés, y a que ça à la WWE toute façon. Sauf que ceux-là, on n’en a un peu rien à branler, d’autant que c’est que des sales padchénous, l’un Irlandais, l’autre Mex, et que les vents tourbillonnants de l’Histoire à l’ironie mordante ont voulu qu’en ce jour de célébration aux États-Unis (qui commémorent chaque 4 juillet la sortie en 1996 du navet Independance Day), ils s’affrontent au nom de la suprématie ricaine. C’est un peu comme si Elton John et Freddy Mercury se disputaient le leadership de Slayer, quoi. En tout cas Sheamus en profite pour mettre en jeu son titre de champion US, en espérant bien se débarrasser de ce bâton merdeux, mais manque de pot, c’est Del Rio qui se propose de l’en délester, et vu sa tendance actuelle, il a plus de chances de remplacer Ochoa dans les buts de l’équipe nationale que de retoucher à une ceinture WWE, fut-elle aussi convoitée que Susan Boyle dans une partouze chez Hugh Hefner. Du coup la castagne, quoique techniquement très valable, connaît une issue aussi surprenante qu’un porno, et Sheamus continue à se trimballer avec sa pauvre breloque comme un romano de retour d’un casse dans une ferraillerie. Devrait essayer de fourguer cette daube à un prêteur sur gages, y en a peut-être qui commercent dans le registre patriotard.

 

 

Quelle main? Bravo au spectateur au troisième rang, vous avez gagné fella, ce truc est à vous!

 

 

Suit une promo des frangins Rhodes, qui je le rappelle se trouve en Grèce, et est donc ontologiquement pédé, et faut dire qu’ils y mettent du leur pour satisfaire au gimmick — si le dieu Seth a encore la sodo qui le tiraille, ces deux-là se portent volontaires, entre deux nettoyages à sec de chibres de collègues bourrés après un house show à San Francisco, N’EST-CE PAS DOLPH?

 

Le temps de se rincer les yeux à l’alcool à brûler, et notre intellect est enfin mis à contribution par un combat de haut calibre, puisque Bo Dallas, l’homme qui a tout compris à ce pays de ravagés du bulbe à qui il suffit de dire « faut croire en toi, garçon » pour qu’ils te sucent la teub (j’en ai chié un pavé de 30 000 signes, vous pouvez encore cracher votre comm, bande d’enculés), se retrouve face à un matador (l’autre a dû se faire empaler par un minotaure qui s’était mis en mode shoot), et faut se demander si y a plus pédé comme boulot que matador-catcheur, là comme ça de tête j’ai l’impression que même coiffeur de poils pubiens à Mykonos c’est plus viril.

 

 

A l’aide! Il va me faire BOnga BOnga!

 

 

Zorro se fait niquer comme prévu et comme il aime, suite à quoi Bo se tourne vers le taurillon et lui assure que s’il y croit vraiment, il va grandir — je vois pas ce que ça a d’absurde, c’est ce que chaque femme à l'heure de succomber entre mes bras trop maigres semble murmurer à ma teub. Le taurillon ne l’entend pas de cette oreille (ni de cette queue) et lui met un coup de corne dans le cul, ce qui lui vaut un Bodyslam bien mérité, à ce merdeux, et ça tombe bien, ça doit être le seul membre du roster que Bo Dallas est capable de soulever (en dehors de sa bite).

 

 

Toi, je vais te faire BObo!

 

 

Rhaaaa! J’étais déjà pas brillant avant de commencer, et alors qu’on est qu’à la moitié du show j’ai déjà l’impression d’avoir perdu encore 20 points de QI. Si ça continue à ce rythme je vais finir par mettre des « Si. » à la fin de mes phrases comme ce triso vermoulu du cortex d’Henri Death!

 

 

Faute de place dans son slip, Bo est obligé de toujours transporter ses gonades dans ses mains!

 

 

Heureusement, vlà un gars qui va me sauver, puisque s’amène, dans son gilet clignotant fabriqué avec une guirlande de Noël et cent cinquante râpes à fromages, Chris fucking Jericho, le mec qui connaît des mots encore plus longs que « billevesée », qui est le mot le plus long que je connaisse et encore je sais pas ce qu’il veut dire. Hélas, putain de sa mère, ce con est revenu en mode gentil, donc en mode « on m’a aspiré le cerveau par une oreille et on m’a rempli le crâne de merde fumante par l’autre ». Il veut se battre, chépakoi, machin… sérieux, si c’est pour me faire du sous-Cena, autant qu’il retourne tout de suite chasser les ring rats quadragénaires et ivres dans les bouges pour routiers canucks qui acceptent encore de laisser se produire son groupe pérave qu’aurait été viré à coups de canettes de bière du podium de la place de la Mairie de Fouillemoi-sous-Culotte à la dernière Fête de la Musique pour avoir massacré Paranoid.

 

Electrocution de la bite!

 

 

Y a une séquence avec le gros Bray qui brait un truc depuis l’écran mais comme mon pote Kovax, alias le fossoyeur de l’Hérault, va bientôt lui forer un deuxième trou du cul avec un énorme article en forme d’accent circonflexe, j’en dis rien, toute façon vous aurez deviné qu’il est pas venu pour chanter Shiny Happy People mais pour se balancer dans son rocking chair comme la maman d’Anthony Perkins dans Psychose en marmonnant vaguement une quatrième de couv de Lovecraft.

 

 

– Petit pédé, on va t’emmener dans le marais et on va te fister jusqu’à ce qu’on ait les mains propres.

– Oh putain! Tony Iommi!

Hein?

– Trop vous êtes mon idole, m’sieu! Je peux lécher le siège de vos chiottes?

Bon ben au moins ça va me changer de Cena cette feud.

 

 

Le Miz vient bouffer son Codebreaker, le temps de me plonger dans le souvenir d’un temps ancien où je militais fermement, mobilisant toute mon immense influence, pour une vraie longue feud entre ces deux orateurs de ouf à côté de qui Cicéron c’est Nadine Morano avec trois grammes dans le sang (Nadine Morano après dix heures du matin quoi). Et on s’arrête là pour ce début de storyline qui n’est pas sans évoquer, dans la profondeur et la finesse de sa structure narrative, la pub où un mec hurlait Wazaaa.

 

 

Re… reculez! Evacuez l’immeuble! Je ne vais pas pouvoir contenir mon éternuement encore longtemps!

 

 

Putain!

 

Donnez-moi quelque chose de consistant ou give me death, comme pleurnichait cette tafiole de Patrick Henry (je croyais que c’était un serial killer français lui en fait, lol).

 

Ah ben voilà, suffisait de demander! La semaine dernière, Cesaro a concassé Kingston, la semaine prochaine, ils seront tous deux dans la Bataille royale intercontinentale de Battleground (« la Bataille royale intercontinentale de Battleground » sérieux, j’en ai les fesses qui font bravo tellement c’est beau et awesome et galactique), et en attendant, le seul Suisse connu qui n’est ni violet ni albanais va affronter Big E., dont on apprend du coup que le lie à Kingston une amitié pure et sincère (moi je pense qu’il l’encule, en fait), et qu’il veut venger son compatriote de négritude, voilà qui promet un p’tit fight sympa entre deux gros mastards qui font pas dans la dentelle sauf en privé… ah ouais mais nan, faut les « protéger » en vue de la Bataille royale intercontinentale de Battleground (tain, mais c’est chanmé! On dirait un flipper), et donc personne ne peut perdre, et donc ça donne une baston séparée par les arbitres avant le début du match et donc un no contest. Putain, faut teeeeellement protéger Big E., c’est pas comme si Rusev l’avait sodomisé à sec dimanche dernier avant de s’essuyer le sguègue avec la bannière étoilée! Et Barrett avant lui! Pourquoi ne pas laisser Cesaro se caler profondément dans son uk et lui faire faire un Giant Swing inoubliable, sérieux? Il demande que ça!

 

 

Retenez-moi ou je m’auto-encule!

 

 

Après ça, mon espoiromètre est à zéro, un peu comme quand Latrell ouvre pour la trentième fois de la nuit son frigo alors qu’il sait pertinemment que y a plus de binouse, juste un vieil oignon qui lui rappelle son scrotum. Du coup, je suis même pas surpris quand pour le premier match de la fabuleuse et hautement fappable AJ depuis son retour triomphal lundi elle affronte l’épouvantail humanoïde Eva Marie, qu’a toujours l’air de sortir tout droit d’une vitrine du quartier rouge d’Amsterdam, et dont le catch me rappelle cette vieille blague, que j’ai d’ailleurs utilisée dans mon post culte de blagues made in WWE, sérieux ça me ferait plaisir que vous alliez le relire, il est , ça date de mai 2011, ça remonte, hein, à l’époque tu ne connaissais même pas la fille qui t’a refilé une MST la semaine dernière, lecteur! Cette vieille blague, donc :

 

C'est Stone Cold Steve Austin et Booker T. qui regardent un entraînement entre Jeremiah et Luke à Tough Enough.

– Booker, tu penses quoi du catch de Jeremiah?

– Eh bien Steve, il me rappelle un peu Dostoïevski.

– Mais Dostoïevski n'a jamais fait de catch!

– Précisément.

 

Ben voilà, Eva Marie, c’est pareil, sauf qu’à la différence de Jeremiah, à qui il manquait des dents, elle a des gros nichons et est maquillée comme le Joker à une soirée « concours de çui qui sera le plus maquillé ».

 

 

Bizarre. Ca fait bien dix minutes que personne ne m’a inséré un objet dans un orifice. Ca ne m’était jamais arrivé depuis que je suis à la WWE. J’ai bien l’impression que je suis en plein dépush.

 

 

Donc AJ tire les trois étoiles réglementaires de ce balai, serre la main de Paige qu’avait passé la minute de combat à dormir à la table des commentateurs, et moi je me dis : « Tain, j’ai la dalle, je me ferais bien un sandwich au fromage. »

 

 

– Paige, je suis heureuse de te voir parmi nous, tu es une athlète formidable et une rivale de grand talent, et je…

Arrête de me lécher la chatte connasse, dis-moi juste quand CM Punk va revenir putain!

 

 

Mais pas le temps de me sustenter que voici Damien Sandow déguisé en Bruce Springsteen, ça sent les couilles et les aisselles pas lavées, ça sent l’Amérique des taudis et des rêves piétinés, ça sent le… Oh putain voilà les nichons de Lana, suivis à distance respectable du cul de Lana, avec Lana entre les deux! Soit dit en passant c’est pas un prénom russe Lana, c’est plutôt bulgare, haha. Et oui, effectivement, ça fait Anal en le lisant à l’envers, mais c’est sans doute une coïncidence, comme dit mon pote Luc.

 

 

 

ARRETEZ.

 

 

What did you expect?

 

 

 

Qui dit Anal dit Sevur, et qui dit gros costaud dans un ring dit Damien Sandow se faisant aplatir comme un hérisson sous un quatre-quatre, mais avant même que la Brutlgare (c’est une fusion de « brute bulgare », c’est de moi, c’est génial, si vous l’utilisez vous devrez me payer un demi quand on se verra IRL, et pas au comptoir hein, en terrasse pour que je puisse fumer) ait le temps de l’enculer et de le rendre humble (quoique dans le cas de Sandow, vu ce qu’il prend depuis quelques mois, c’est plus un conduit rectal qu’il a, c’est carrément l’Eurotunnel, et son humilité doit faire passer le Dalaï Lama pour 50 Cent), retentissent des accords patriotiques joués au tambour et voilà nos milices suprématistes blanches qui viennent sauver le Boss, sous les hourras d’une foule enfin invitée à donner libre cours à sa haine viscérale de ces 6 milliards et demi d’enfants de putain qui sont nés ailleurs qu’aux USA!

 

 

– Bande d’enculés, on va vous attacher à une croix et y mettre le feu et après on pissera sur vos cadavres!

USA! USA!

Camarade Alexander, fuyons! Le mal qui brûle dans nos cœurs ne peut rien face à l’ardeur de ce noble peuple!

– Reste là salope, on va d’abord te violer!

– USA! USA!

 

 

Du coup les staliniens reculent, et dans sa tombe, le sénateur McCarthy en éjacule de la poussière de contentement.

 

Là je bouffe enfin mon sandwich et j’ai tout mon temps parce qu’avec ce main event, je sais d’avance ce qui va se passer, un peu comme Cassandre quand elle prédit la chute de Troie ou Basile Boli quand il prédit celle de Troyes : Rollins est aux commentaires pour ce match entre Orton et Ambrose, Reigns est « banni du ringside » — donc Rollins va intervenir, offrant la victoire à Ambrose par DQ, puis les affreux vont taper sur Ambrose ensemble, puis Reigns va arriver malgré son bannissement, tel le Général de Gaulle en 1944, pour nettoyer tout ça et ça va se finir par un nouveau duel de regards à la Lee Van Cleef / Eli Wallach / Clint Eastwood.

 

 

Ah oui et y aura aussi…

 

 

… un concours de grimaces.

 

 

Et c’est très exactement ce qui se passe. Putain de vos races maudites de vos sœurs les chiennes, vous nous prenez pour des trisos sous tranxène! Et vous avez raison, parce qu’on sera encore là la semaine prochaine. Si.

 

Enculés, va!

 

 


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