I like that. "Allons-y". I should say "allons-y" more often. "Allons-y !" Look sharp, Rose Tyler, allons-y ! And then, it would be really brilliant if I met someone called Alonso. Because then I could say, "Allons-y, Alonso !" Every time !
Le Docteur, Doctor Who – Army of Ghosts (Saison 2, épisode 12)
Quand j'ai pris connaissance du contenu de cet épisode de Smackdown après avoir choisi la date de mon tour de garde, j'étais ravi : un show en Angleterre, avec la présence de Hulk Hogan et les débuts d'une nouvelle superstar, enfin j'allais avoir plein de choses à dire sur le show bleu ! Hélas, contrairement au vaisseau du plus anglais des extraterrestres que je cite en introduction, ce Smackdown s'est révélé plus petit à l'intérieur que ce que la WWE nous avait promis vu de l'extérieur.
Comme le Docteur, Bray Wyatt s'est régénéré. Pas de bol, il a toujours une tête de con.
Nalyse de Smackdown du 23 mai
I like that. "Allons-y". I should say "allons-y" more often. "Allons-y !" Look sharp, Rose Tyler, allons-y ! And then, it would be really brilliant if I met someone called Alonso. Because then I could say, "Allons-y, Alonso !" Every time !
Le Docteur, Doctor Who – Army of Ghosts (Saison 2, épisode 12)
Quand j'ai pris connaissance du contenu de cet épisode de Smackdown après avoir choisi la date de mon tour de garde, j'étais ravi : un show en Angleterre, avec la présence de Hulk Hogan et les débuts d'une nouvelle superstar, enfin j'allais avoir plein de choses à dire sur le show bleu ! Hélas, contrairement au vaisseau du plus anglais des extraterrestres que je cite en introduction, ce Smackdown s'est révélé plus petit à l'intérieur que ce que la WWE nous avait promis vu de l'extérieur.
Comme le Docteur, Bray Wyatt s'est régénéré. Pas de bol, il a toujours une tête de con.
Nalyse de Smackdown du 23 mai
On avait beau être en Angleterre cette semaine, cet épisode avait effectivement tout de la douche écossaise. Prenez l'annonce de la présence de Hulk Hogan par exemple. L'arrivée d'une telle légende dans un show hebdomadaire à l'étranger était l'occasion de faire quelque chose d'exceptionnel, histoire de rendre ce Smackdown incontournable. Quand en plus on se rend compte que l'Immortal est présenté au public londonien par une autre légende, Jimmy "The Mouth of the South" Hart, on s'attend à un segment d'anthologie… Au final, tout ce qu'on a eu, c'est une promo publicitaire sur le show de télé-réalité Legend's House où s'illustre entre autres Hart, ainsi que l'annonce de l'arrivée prochaine au Royaume-Uni du WWE Network. Tout ça pour ça, donc, malheureusement.
Et n'oubliez pas : chez Prix-Bas, les prix sont bas !
Cette déception passée, attaquons-nous à présent au cœur de Smackdown, et donc au catch proprement dit. Commençons par les Divas si vous le voulez bien. Même s'il n'y a pas grand-chose à dire sur le match féminin de la soirée bleue, il me pose quelques problèmes que j'aimerais évoquer ici. Le combat proposé n'implique malheureusement pas la championne anglaise Paige, déjà aperçue par le public londonien à Raw cette semaine, mais était dédié à Total Divas, l'autre succès de télé-réalité de la WWE. Nikki Bella et Eva Marie furent opposées aux Funkadactyls dans un match arbitré par la revenante Summer Rae, qui vient apparemment de terminer de tourner The Marine 4 où elle partage l'affiche avec le Miz qui reprend le rôle précédemment tenu par John Cena et Ted DiBiase. Le combat fut remporté par Cameron sur un roll-up et un compte ultra-rapide de l'arbitre spéciale, point final d'un match d'assez bonne facture jusqu'à l'arrivée d'Eva Marie sur le ring, comme vous pouvez vous en douter.
– Bon, Eva, t'es trop nulle, il faut faire quelque chose là, c'est plus possible !
– T'as raison, je vais me marier avec Dolph Ziggler, comme ça les smarts m'aimeront !
– C'est complètement con, comme plan !
– Ça a bien marché pour ta sœur…
Ce qui me pose problème dans cette histoire, c'est le positionnement de Summer Rae. Lundi, en revenant comme une furie se venger du mal que lui a fait Fandango en la laissant tomber comme une vieille chaussette pour Layla, et en s'attaquant avec violence à la belle brune, la danseuse avait lancé les bases d'un Face-turn des plus classiques, démarrant une histoire certes un peu bateau mais qui a le mérite d'exister dans une scène féminine délaissée habituellement par les bookers. Mais vendredi, en refusant de compter le tombé pour l'équipe de Nikki et d'Eva Marie, sous prétexte que Summer Rae ne s'entend pas avec la fille aux cheveux rouges lorsque les bookers leur avaient demandé de faire équipe dans Total Divas, et en accordant ainsi une victoire illégitime aux Funkadactyls, l'ex de Fandango s'est comportée comme la première heel venue, ce qui brouille un peu les pistes pour le suiveur régulier.
Quoique… Faire des misères à Eva Marie, huée à chacune de ses apparitions, est-ce vraiment une attitude de heel ?
Et c'est je pense le problème avec Total Divas : le point positif de ce show est qu'il permet aux filles qui participent à cette émission d'avoir de vraies rivalités, ce qui manque cruellement aux Divas de la WWE depuis toujours. Mais on se retrouve avec des filles qui changent d'alignement encore plus souvent que le Big Show et Kane réunis au gré des histoires racontées sur E!. Natalya est Face tout le temps, sauf quand on se moque de ses piètres talents de peintre, mais Brie redevient sa meilleure copine dès le lendemain de son match contre madame Bryan, comme si de rien n'était. Summer Rae est Face contre Layla le lundi, mais pas contre Eva Marie le vendredi… On peut y voir des mini-rivalités, mais quand elles s'accompagnent de turns occasionnels aussi fréquents, ça finit par devenir à mon sens contre-productif car je n'arrive pas à m'impliquer dans toutes ces histoires finalement sans aucune conséquence. Car en présentant toutes les héroïnes de Total Divas comme des babyfaces par défaut dans les émissions régulières de la WWE, on ne sait finalement jamais qui on doit encourager et qui on doit huer dans un match entre deux filles du show concurrent de The Walking Dead ou Game of Thrones tant qu'on n'a pas eu de vidéo expliquant la situation, et du coup, on finit par n'en avoir rien à faire. Alors, c'est bien d'avoir des rivalités féminines à la WWE car on en a bien besoin, aussi basiques et risibles soient-elles, mais ce qu'il manque pour que je puisse considérer Total Divas comme un vrai plus pour les filles de la WWE, c'est un peu plus de solidité et de cohérence, et surtout des alignements plus fermement définis, afin que l'on puisse trouver un réel intérêt dans leurs histoires.
De belles histoires, c'est d'ailleurs globalement ce qui a manqué pour rendre ce Smackdown intéressant. Avec Daniel Bryan absent et le Shield qui n'était pas dans le show bleu cette semaine, la seule chose en rapport avec ce qui rend la WWE passionnante en ce moment réside dans la présence de Batista, venu se confronter à Dolph Ziggler dans le premier match de la soirée, et sans disqualification s'il vous plaît. Le combat était une revanche de la semaine précédente, où le Show Off a remporté la victoire au prix d'un gros coup de l'Animal dans les parties génitales du blondinet, aussi Dolph était décidé à se venger du futur Drax le Destructeur. Ce duel valait le coup d'œil, l'action était intense et a surtout eu lieu hors du ring, le pauvre Michael Cole se retrouvant dans la mêlée après que Ziggler ait été envoyé à travers la table des commentateurs ! Cela donna d'ailleurs lieu à une excellente intervention de JBL au micro, sommant son collègue d'arrêter de faire la chochotte et de faire son boulot alors que le pauvre Cole était littéralement enseveli par le poids des deux catcheurs qui continuaient joyeusement de se foutre sur la gueule…
Il faut quand même mettre au crédit de Cole qu'il s'est relevé bien plus vite que n'importe quel arbitre dans la même situation !
Au final, c'est Batista qui remporta la victoire, même si Ziggler parvint à venger ses bijoux de famille en rendant la politesse à l'Animal. Mais cela ne fit qu'augmenter la rage de Batista qui d'un Spear disposa du Show Off, qui se vit offrir en bonus une Batista Bomb histoire de faire bonne mesure. Victoire logique du membre d'Evolution, qui doit conserver son rang de mâle alpha alors que le match entre son clan et le Shield approche, mais on notera que malgré ses récentes défaites contre Batista et Mark Henry, Ziggler est loin de démériter et se retrouve à chaque fois à deux doigts de gagner contre des catcheurs bien plus imposants que lui physiquement. On peut donc être rassuré de voir qu'avec ce booking, Dolph conserve sa place dans la midcard de la WWE et ne semble pas en passe de descendre, ce qui ne peut que me réjouir personnellement.
Et une olivette en prime, ça t'apprendra !
D'autres, pendant ce temps, s'installent petit à petit dans le paysage, à l'image d'Adam Rose, qui nous a fait le plaisir de faire débarquer l'Exotic Express à Samckdown cette semaine. C'est en fait Vickie Guerrero, qui en tant que manager général du show bleu (car oui, cette fonction existe toujours bizarrement, d'ailleurs je pense à faire un papier sur ce poste mystérieux qui semble tomber en désuétude) a invité le fêtard pour lui souhaiter la bienvenue à Smackdown. Adam Rose demanda aux londoniens si d'après eux, Vickie était un bouton de rose ou un citron, et bien entendu le public choisit la seconde option. Vickie hurla de colère avant d'être kidnappé par l'Exotic Express, pour en faire Dieu sait quoi, sous les yeux d'un Adam Rose goguenard. Ce dernier me fait bien rire en tout cas, j'adore son personnage complètement décalé et sa musique très entraînante… J'ai quand même hâte de le voir combattre pour de bon, histoire d'être sûr qu'on a bien là un bon midcarder comique ou seulement un effet de mode passager. En attendant, je suis mort de rire à chacune de ses apparitions : d'ailleurs, à la maison de la Kovax Family, vous pourriez assister à la même ambiance qu'à la table des commentateurs, avec moi dans le rôle de Michael Cole et mon frère dans celui de JBL, assez hermétique à la folie de Rose…
En fait, j'ai discuté avec Zeby, et finalement on est d'accord sur pas mal de choses : par exemple, lui non plus n'aime pas les faces de citron !
Mais il y a un sujet sur lequel mon frère et moi sommes en phase, et il s'agit de la famille Rotunda. Alors que nous détestons de tout notre cœur Bray Wyatt et son clan de bouseux qui puent (ou plutôt, pour rester dans le thème anglais de cette semaine, disons qu'il n'est pas du tout notre tasse de thé), imaginez l'état dans lequel nous avons pu être en apprenant que son petit frère, je parle bien sûr de Bo Dallas, allait débarquer à Smackdown cette semaine… Bon, pour être parfaitement honnête, nous avons bien ri les semaines précédentes en regardant les vignettes "Bolieve", à la fois grandiloquentes et totalement absurdes, ainsi qu'en apercevant la tête d'ahuri de Bo. Mais de là à vouloir le voir sur un ring, il y avait un pas que nous n'avons jamais franchi. Voilà donc le petit frère de Bray qui débarque sur scène, dans une entrée dans le même esprit que ses vignettes, mais surtout dans un silence de cathédrale… Bo prit ensuite le micro pour faire un discours digne des gourous de l'auto-motivation qu'on peut voir un peu partout aux États-Unis. Et là, une chose m'a frappé : avec son côté illuminé persuadé d'être une figure d'inspiration qui grâce à son charisme serait capable de donner aux gens la possibilité de réaliser leurs rêves, Bo Dallas est la version "lumineuse" de son frère Bray Wyatt, qui lui est persuadé d'incarner le Mal absolu capable de plonger tous les individus qui barrent sa route dans un désespoir infini !
Être ou ne pas être… N'ai-je donc tant vécu que pour tant d'infamie ?
Sin Cara débarqua peu après cette révélation, et le premier match de Bo Dallas dans le roster principal (si on oublie son passage éclair à Raw au début de l'année dernière) put commencer. J'aimerais pouvoir en profiter pour dire du mal de Bo, mais le match, s'il ne fut pas inoubliable, fut tout à fait regardable, d'autant que pour une fois Sin Cara lutta sans son éclairage à la con. Évidemment, c'est Bo qui remporta la victoire, après un finisher que j'ai bien aimé inspiré de celui de Trish Stratus, ce qui est mal selon Major Tom, qui à l'instar de Jon Snow n'y connaît rien. Dallas célébra sa victoire en faisant un tour d'honneur (l'occasion pour mon frère de se moquer de l'absence d'abdos du vainqueur, qui devrait faire gaffe à ne pas prendre deux desserts à la cantine s'il ne veut pas finir comme son frère) avant de remonter sur le ring et de féliciter son adversaire, lui promettant qu'il pourrait un jour devenir comme lui s'il se mettait à "bolieve", passage très drôle tant l'ironie de la situation était grande. Il est un peu tôt pour avoir un avis définitif sur Bo Dallas, mais tout ce que j'ai pu lire sur lui lors de son règne à NXT sur ces compétences sur le ring m'ont rendu très méfiant à son sujet (ce qui explique certainement pourquoi il a fait sa première apparition à Smackdown, le show enregistré et donc modifiable au cas où tout ne se passerait pas comme prévu, et non pas à Raw). Son personnage m'a bien fait rire, mais est-ce que ça sera toujours le cas dans quelques semaines ? En tout cas, s'il ne m'a pas convaincu cette semaine, il ne m'a pas non plus donné envie de le virer non plus malgré tous mes a priori, ce qui est déjà pas mal. Attendons de voir si son personnage parvient à se faire une place dans le paysage actuel, et surtout s'il est capable de raconter des bonnes histoires tant sur le ring qu'au micro.
Avant de parler du main event, un mot sur une rivalité de milieu de carte qui se déroule tranquillement, celle avec pour enjeu la ceinture de champion des États-Unis. Le tenant du titre, Sheamus, affrontait cette semaine Alberto Del Rio. Mais l'intérêt de ce segment était à la table des commentateurs, puisque Cesaro, accompagné de son manager Paul "mon client Brrrrrrrrock Lesnarrrrrr a conquis la série d'invincibilité de l'Undertaker à Wrestlemania" Heyman, étaient aux côtés de Michael Cole et de JBL pour observer le champion irlandais. Comme souvent dans cette configuration, le match fut sans surprise : Del Rio commença par dominer le combat, puis Sheamus reprit le dessus et fut sur le point de remporter la victoire avant d'être attaqué par Cesaro, qui porta son Neutralizer sur l'albinos. Sheamus gagna donc par disqualification, mais tout le monde s'en fiche, l'important était d'installer la rivalité entre le Celtic Warrior et Cesaro, de souligner l'alignement heel du roi du swing pour ceux qui en doutaient encore avec cette attaque en traître doublée du comportement moqueur du Suisse qui serra la main du champion inconscient, et d'annoncer le futur match pour la ceinture à la bannière étoilée à Payback. Emballez, c'est pesé, rendez-vous au pay-per-view pour la suite de la rivalité, avec une affiche séduisante !
Bravo Antonio, c'était presque aussi impressionnant que la fois où mon client Brrrrrrock Lesnarrrrr a vaincu l'Undertaker à Wrestlemania !
Reste donc à parler du main event de la soirée, le match opposant The Usos aux disciples de Bray Wyatt, Erick Rowan et Luke Harper. Lundi, à Raw, c'est John Cena qui devait affronter Harper, mais évidemment le duel dégénéra entre d'un côté la Wyatt Family et de l'autre Cena et les champions par équipes. Le tout se conclut par un Cena détruit par Bray Wyatt sur la scène, ce qui nous permit à notre grande surprise de se rendre compte que Harper sait compter jusqu'à dix, en prévision du Last Man Standing entre le Marine et le Dévoreur de Mondes à Payback. Bray rappela tout cela au public londonien au milieu du show, dans une promo où comme toujours le frère de Bo Dallas semblait complètement habité par son personnage d'illuminé persuadé d'être l'incarnation du Mal, promo conclue dans un charabia démoniaque plus ridicule que véritablement effrayant. Toujours est-il qu'il prédit un sort funeste aux jumeaux, qui selon lui ne sont que des pions pour John Cena dans cette guerre.
Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn !
Les champions par équipes, quant à eux, firent une promo peu avant le match dans les coulisses, déclarant à Renee Young que les bouseux ne leur faisaient pas peur, d'autant qu'ils auraient le soutien de John Cena aux abords du ring, ce dernier tapant l'incruste lors de cette interview pour nous refaire le coup du beatbox dont nous avons déjà eu droit à Raw. C'était déjà pathétique lundi, autant dire que ça l'était tout autant à Smackdown…
The champs… are there !
Le match, quant à lui, fut de bonne qualité. Les Uso forment vraiment un formidable duo, et c'est toujours un plaisir de les voir combattre. Quant à Harper et Rowan, malgré leur manque de charisme, j'avoue les trouver intéressants sur le ring, car ils sont assez rapides et agiles pour des gaillards de leur gabarit. Le combat fut très intense tant sur qu'en dehors du ring, avec particulièrement un moment très impressionnant, quand Harper envoya valdinguer un des frangins tellement fort que j'ai cru que le pauvre allait se faire décapiter par la deuxième corde ! Néanmoins, ce match se devait de mettre en valeur la rivalité du moment, et bien évidemment Bray Wyatt, voyant les potes de Cena prendre l'avantage, finit par intervenir et vola la victoire des jumeaux en attaquant ces derniers. La famille Wyatt prit donc le dessus physiquement et avait l'air de vainqueurs, et ce même si officiellement la victoire fut accordée aux champions par équipes par disqualification. Mais bon, comme dans le match de Sheamus, le résultat officiel, on s'en fiche. Bien entendu, Cena ne pouvait pas laisser les méchants triompher, aussi lava-t-il l'honneur de ses complices en collant un Attitude Adjustment à Erick Rowan avant de provoquer Bray Wyatt, qui décida que le salut était dans la fuite, histoire de préserver ses forces pour Payback. Les tarés du bayou semblent au fil du temps de moins en moins menaçant pour Cena, ça ne m'étonnerait pas que comme Kane avant lui, Wyatt ne parvienne pas finalement à faire basculer le Marine, qui se soulèvera contre la haine et bottera les grosses fesses de Bray avant de déclarer que rien ne peut battre le cœur pur d'un homme qui ne vit que par la pugnacité, la loyauté et le respect. Rien ne changera, comme d'habitude, et c'est bien dommage, mais le bon côté de la chose est que Bray Wyatt et sa bande vont enfin commencer à retomber dans l'oubli après cette histoire, et on attend ça avec impatience dans la Kovax Family !
– Viens te battre, sale clodo !
– Pauvre fou ! Je suis le Dévoreur de Mondes, le Mal Incarné, l'Apocalypse ! Je suis invincible, je n'ai peur de rien, je SUIS la peur ! Je pourrais totalement t'anéantir en un claquement de doigts si je le voulais ! … Mais pas là, parce que je dois aller acheter de nouvelles piles pour ma lampe à pétrole…
Le visionnage de cet épisode terminé (un épisode un peu spécial d'ailleurs, car j'ai téléchargé la WWE m'a envoyé une version brouillon de Smackdown, avec le son du micro de Michael Cole "off the record" et les moments des matchs normalement réservés exclusivement au WWE Network pendant les coupures publicitaires de la diffusion télévisée), je me suis senti un peu déçu, pour être totalement honnête. On m'avait vendu des débuts exceptionnels et la présence d'une légende, et j'ai un Bo Dallas dans un match sympa mais quelconque et une publicité récitée par Hulk Hogan. Rien n'a avancé, entre les segments qui ne faisaient que confirmer la direction prise à Raw lundi, quand ils n'étaient pas carrément des copies des événements du show rouge (l'interview des champions par équipes par Renee Young est un exemple frappant). Alors oui, les matchs sont toujours cool, mais comme vous pouvez souvent le lire dans les conclusions des nalyses de Smackdown, le show bleu est tout sauf incontournable, pour qui suit déjà Raw en tout cas. Une conclusion récurrente, hélas, pour un show qui est malheureusement devenu totalement secondaire, mais qui continue pourtant à être vendu avec une importance qu'il a perdu depuis longtemps.
Voilà, Smackdown, c'est fini, au revoir à tous ! N'oubliez pas de passer par la boutique des souvenirs avant de rentrer chez vous, on fait -25% sur les t-shirts, alors profitez-en !