Le sas de décompression

La mer est aussi profonde dans le calme que dans la tempête.

John Donne, extrait de Sermons.

 

La disparition des ondes de Dixie Carter, suite au résultat du fameux et fumeux Lethal LockDown, a incontestablement apaisé le déroulé des opérations. Les cartes sont doucement rebattues et les meilleurs jeux pas forcément en possession de ceux que l’on voit le plus venir.

 

 

Bon lui par exemple, personne ne l’a vu venir pour la bonne raison qu’il n’est pas encore réapparu entre quatre cordes. Et euh… qui c’est déjà ?

 

 

Nalyse-Synthèse TNA Impact du 13 au 27 mars 2014

 

La mer est aussi profonde dans le calme que dans la tempête.

John Donne, extrait de Sermons.

 

La disparition des ondes de Dixie Carter, suite au résultat du fameux et fumeux Lethal LockDown, a incontestablement apaisé le déroulé des opérations. Les cartes sont doucement rebattues et les meilleurs jeux pas forcément en possession de ceux que l’on voit le plus venir.

 

 

Bon lui par exemple, personne ne l’a vu venir pour la bonne raison qu’il n’est pas encore réapparu entre quatre cordes. Et euh… qui c’est déjà ?

 

 

Nalyse-Synthèse TNA Impact du 13 au 27 mars 2014

 

 

En premier lieu les résultats rapides des combats disputés à l’antenne lors des trois shows concernés :

 

13 mars

1-Abyss bat Samoa Joe par DQ, suite à intervention d’Eric Young.

2-Brittany bat Gail Kim par tombé.

3-Seiya Sanada & Tigre Uno battent les BroMans © (no-title match) par tombé.

4-Mr Anderson bat Samuel Shaw (no holds barred) par tombé.

5-Rockstar Spud bat Willow par DQ, suite à utilisation de son parapluie par ce dernier.

 

20 mars

1-Ethan Carter III bat Bobby Lashley par DQ, suite à une attaque de Willow.

2-Gail Kim bat Lei’D Tapa par tombé.

3-BroMans © battent The Wolves et Seiya Sanada & Tigre Uno (Tag Team Championship) par tombé.

4-Magnus © bat Samoa Joe (World Heavyweight Championship) par tombé.

 

27 mars

1-The Wolves battent Magnus © & Abyss par soumission.

2-Angelina Love bat Madison Rayne © (no-title match) par tombé.

3-Samoa Joe bat Eric Young par soumission.

4-Gunner bat James Storm (no holds barred) par tombé.

 

Thème par thème, les faits saillants et perspectives :

 

 

En bref

 

Le retour de Kenny King se précise, via de nouveaux clips sous la gimmick du King of The Night, puis une apparition dans le bureau de MVP en dernière semaine. Débordé, le nouveau dirigeant exclusif promet à l’intéressé qu’il lui réservera une place de choix pour l’Impact suivant (épisode du 3 avril donc). Cela ne peut qu’être bon pour la X-Division.

 

Un certain Knux devrait également revenir dans l’équation très bientôt. Deux clips ont été diffusés à son sujet, sans que l’on discerne une gimmick particulière. En l’occurrence, il apparaît dans sa simple humanité, de retour au bercail pour prendre soin de ses proches, trop délaissés ces dernières années. Sa « sœur » (qui a tout d’une knockout potentielle) lui fait constater les dégâts causés par des inondations, notamment dans la salle de jeux qu’elle tenait. Il se sent clairement coupable de ne pas avoir été présent pour les aider. Le « To be continued… » suggère que l’on devrait encore suivre Knux à distance dans les semaines à venir.

Étrange idée pour débuter une storyline, mais la TNA est passée maîtresse en la matière.

 

À noter que durant les enregistrements des épisodes nous amenant jusqu’à Sacrifice (PPV du 27 avril) nous ne verrons pas Kurt Angle, Chris Sabin, Christopher Daniels et Kazarian. La blessure se confirme comme véridique pour le premier, une histoire de contrat ou un simple problème de booking semble entourer le duo Bad Influence. Mystère en ce qui concerne Sabin et l’Alpha Female, son accompagnatrice du moment. N’envoyons pas tout de suite ces talents à la WWE, quand bien même ils le mériteraient infiniment (je pense surtout à Daniels).

 

 

Le succès de la série Treme aux USA a-t-il inspiré les pontes d’Orlando ?

 

 

La vie sans Dixie

 

Chose promise chose due, la patronne hirsute a disparu des écrans de la fédération au lendemain de la défaite de sa team à LockDown.

Il y a un nouveau shérif dans la ville et il se nomme MVP. En bon politicien, le nouveau boss jure que dans sa manière de fonctionner, il n’y a pas de place pour le clientélisme ou un groupe de petits protégés. Ainsi ne se soucie-t-il pas de devoir la victoire de son équipe à Bully Ray. Il considère celui-ci comme un candidat sur la ligne de départ comme les autres et se moque de ses motifs. Son code se résume par le triptyque « Motiver, Valider, Participer ». En gros, il donnera à qui en veut le plus. Ses décisions notables ont presque exclusivement concerné le titre de Champion poids lourds. Il accorde d’autorité un rematch à Samoa Joe pour l’édition du 20 mars, finit par lui-même s’enchaîner à Abyss pour empêcher une intervention de l’assurance vie de Magnus. Malgré cela, le Monster fera de nouveau la différence en faveur de son nouveau mentor. Or quelles explications avons-nous eues sur ce curieux choix de ralliement par Abyss ? Juste une histoire d’argent, rien à voir avec la bestialité qui le caractérisait autrefois : « Un peu court jeune homme » aurait répliqué un célèbre personnage au nez long et pointu. Le plus souvent, MVP laisse les catcheurs s’organiser leurs combats entre eux, ou se laisse influencer par qui l’ouvre un peu mieux que les autres (voir le cas d’Eric Young en dernier point de cette nalyse-synthèse). Pas un Teddy Long non plus, mais certainement pas un GM omnipotent. Signalons au passage le discours d’adieu à Dixie, largement perturbé par les « boring ! boring ! » du public, mené par ses fidèles serviteurs Rockstar Spud et EC3 lors du premier show suivant LockDown. Les deux sbires demeurent la touche de drôlerie manquant souvent au catch moderne. On les retrouvera plus tard dans une expédition pour trouver le repère de Willow (aka Jeff Hardy). MVP a interrompu le segment hommage pour rappeler les deux comparses à leurs obligations de catcheurs. D’où les rôles à jouer respectivement par Willow et Bobby Lashley en nouveaux opposants parachutés. Bonnes petites feuds de midcard en perspective. Ne boudons pas notre plaisir.

 

 

Malgré les apparences MVP n’a pas tellement agité le cocotier.

 

 

Shaw, Anderson et Christy

 

On croyait Samuel Shaw en plein push vu son succès de LockDown, mais l’effet a été annulé dès l’Impact suivant où Anderson prenait une revanche implacable. Ne posant pas pour autant le mot fin sur cette rivalité, la fédération a accentué le côté psychopathe du heel. Il s’amène désormais au ring avec une moitié de poupée présentant des attributs proches de ceux de Christy Hemme. Et la couve, un peu comme Al Snow avec sa Head dans le temps. On le surprend même à lui taper la discussion en coulisse, tel Norman Bates avec sa mère empaillée. C’est par excès de protection envers son mannequin qu’il s’incline en tout juste quatre minutes. Pas un réel dépush, puisque voilà Shaw reparti pour son harcèlement de Christy (en chair et en os cette fois) deux semaines plus tard. Il parvient à l’isoler dans un coin peu couru du vestiaire et lui coupe une mèche de cheveux, affirmant que c’est la seule chose dont il avait besoin. Ce psycho a incontestablement quelque chose, ne serait-ce que sa trogne, son allure mi-nonchalante mi-agressive, sa musique d’entrée proche d’un des fameux thèmes du film Drive. On a peu vu Anderson dans tout ça, mais sa courte présence déclenche toujours autant de réactions de soutien. Sans doute un des meilleurs pour capter une foule, aussi réduite soit-elle, dans l’Impact Zone.

 

 

En voilà un qui a dû devenir fin fou à la mort de son tamagotchi.

 

 

Ça s’en va et ça revient chez les knockouts

 

Perd-on au change ? Suite à une intervention loupée, Lei’D Tapa a été challengée par sa propre mentore, Gail Kim. La belle Asiatique a vaincu son ancienne aide de camp, ce qui conformément à une stipulation décrétée par elle-même oblige Tapa à quitter la compagnie. D’après des sources externes à la diffusion télévisuelle, ce ne sera que partie remise pour la géante, repartie en formation. Dans l’affaire, Brittany, nouvelle à la gimmick de fan de Madison Rayne, a eu droit à un beau push de départ.

Parallèlement, Angelina Love réalise un retour particulièrement inattendu. Dès sa première promo, elle précise son but : reformer les Beautiful People avec Velvet Sky. Les deux copines ont un échange au centre du ring au sujet des bons et mauvais moments de l’histoire du clan de poseuses sexy. Sky a laissé passer une petite semaine avant de valider l’idée de reformation. Love a alors invité Madison Rayne à s’associer à son tour au groupe. L’actuelle Championne ne l’a pas entendu de cette oreille, car dans la façon dont les choses lui étaient présentées, elle ne serait qu’un élément annexe et non à valeur égale avec ses anciennes copines. Love a fait mine de comprendre sa décision, puis a manifesté sa rancœur en l’agressant dans les vestiaires. Derniers rebondissements en date du 27 mars : Sky joue l’incompréhension face à l’attitude violente de Love envers Rayne la semaine précédente… pour mieux l’aider à vaincre la Championne par la suite. Pas de titre en jeu pour l’heure, mais voilà que l’on gagne deux heels pour le prix d’une. Le tout a un goût de réchauffé, plutôt bon néanmoins, un peu comme ces plats meilleurs le lendemain.

Sans doute un match pour le titre knockouts entre Rayne et Love à Sacrifice voire un triple threat, qui sait ?

 

 

Le temps des ratings reviendra-t-il en même temps que les roulages de pelles ?

 

 

Gunner et Storm toujours plus loin dans la haine

 

Voici encore une fois le gros point positif d’Impact en ce moment. Les deux frères ennemis ont passé un nouveau cap. Après un break post-LockDown, les barbus en ont remis une couche dans la bestialité en semaine 2. Enfin surtout Storm, bien sûr. L’ancien Beer Money nous a sorti un grand classique : frapper le supposé père de son rival. Idéal pour interrompre une énième promo à base de fierté patriotique et militaire du bon vieux soldat. Les speechs n’étant plus nécessaires dans cette feud étalée sur de nombreux mois, les deux se retrouvent dans un remake de leur street fight du PPV. Cet affrontement ultime (a priori) a été très bien vendu par l’Impact du 27 avec plusieurs vidéos récapitulatives de leur historique calées entre les segments. Pour aboutir à un duel légèrement moins développé qu’à LockDown. La double victoire de Gunner, et surtout ses prestations enflammées, devraient lui apporter de nouveaux fans. Perso j’en suis.

 

 

La feud de la maturité pour Gunner ?

 

 

À quand l’éclaircie pour la division tag team ?

 

Pressée de pallier la pauvreté de son roster par équipe, la TNA a associé les nouveaux venus que sont Seiya Sanada et Tigre Uno. Traditionnelle facilité américaine de regrouper sans la moindre explication deux catcheurs « exotiques ». À défaut de les sacrer d’entrée, elle leur a offert une victoire clean sur les tenants du titre, puis une défaite façon filouterie devant ces mêmes BroMans. Dans l’affaire, c’est Tigre Uno qui a subi le tombé, le Japonais gardant le leadership au niveau des nouvelles sensations. Lors d’un segment qui mettra le sourire aux lèvres de tous les fans de vieux films d’arts martiaux, nous avons pu voir le Great Muta tenir un discours de motivation à l’égard de son disciple, pour lui signifier notamment son rôle d’ambassadeur du catch japonais sur le sol US. Toujours pas de challenge en vue pour la défense du titre X-Division, il est donc possible de le voir demeurer dans sa formation avec le Mexicain lors des prochaines semaines. Pour leur part, les Wolves ne sont pas plus mis en avant que cela. Suite à un succès-surprise face au duo Magnus/Abyss (équipe de circonstance ou appelée à postuler aux titres plus tard dans l’année ?), match où Edwards a tout de même fait abandonner le Champion en titre (une machine à taper, le mec !), ils ont été encore les dindons de la farce du match avec les ceintures en jeu. Ni battus, ni vainqueurs.

Il manque une certaine tenue à cette division, apparemment le cadet des soucis de la direction. Le retour possible de Bad Influence, à condition de ne pas être de la chair à canon, et la formation de nouveaux tandems compatibles (Spud/EC3 déjà associés, Lashley/Angle possiblement alliés stratégiques) laissent espérer une fin de ce passage à vide longuet.

 

 

Niveau alchimie y’a encore du boulot.

 

 

Willow Hardy s’occupe comme il peut

 

La prestation de Jeff Hardy dans le main event de LockDown n’avait pas spécialement convaincu. Maigre euphémisme tant sa présence était tout à fait dispensable et mal bookée, ce qu’ont confirmé ses agissements depuis. Ses pérégrinations loufoques peinent à justifier son retour précipité. Ceux qui voient en cette gimmick une réponse maladroite de la TNA au personnage de Bray Wyatt ont encore eu du grain à moudre : des promos alambiquées, une errance continuelle dans les couloirs des studios d’Orlando, des actions d’éclat violentes se démarquant du Jeff Hardy originel, une cabane dans les bois en guise de repaire, etc. Il se concentre pour l’instant sur sa vengeance sourde à l’encontre des sbires de Dixie Carter. En première semaine, il s’acharne sur Rockstar Spud sans souci d’être disqualifié. Le show suivant, il coupe court à l’opposition Ethan Carter III/Lashley en s’en prenant brutalement au neveu préféré. Le même soir, il refuse d’ailleurs la proposition de MVP d’être l’homme en charge de contenir Abyss pendant le match de championnat Magnus/Joe, confirmant son statut d’électron libre. Hors de l’Impact zone pour le dernier épisode du mois, il tend un guet-apens à ses deux précédentes victimes, venues le traquer dans son repère. Spud est kidnappé et ligoté, EC3 passé à tabac à coups de parapluie. Le duo de bras cassés excelle dans ce genre de séquences comiques sorties de nulle part. Étrangement, Magnus est le seul à échapper au courroux du revenant. Malgré sa trogne en gros plan sur l’affiche de Sacrifice, Hardy ne prendra pas tout de suite le chemin menant au titre mondial.

 

 

Une gimmick de Mary Poppins dark il fallait y penser.

 

 

Bully Ray choisit une cible prioritaire

 

Comment la TNA allait-elle justifier l’intervention de Bully Ray en faveur des faces dans le match pour déterminer l’avenir de la compagnie ? C’était une des questions les plus taraudantes dans l’esprit des fans. La réponse n’est pas tout à fait dans la veine attendue, mais déjà plus satisfaisante que le simulacre de justification d’Abyss. Ray prétend avoir eu une illumination pendant qu’Anderson le plaçait dans un cercueil, avoir vu sa vie catchesque défiler devant ses yeux et ainsi réaliser qu’il se devait de terminer dans la peau d’un favori de la foule. Aussi nourrit-il une rancœur vis-à-vis de la gestion de Dixie Carter, une personne qui a extrêmement nui au business à son avis. Dans l’après-LockDown immédiat, Bully subit un assaut général de l’équipe victime de son implication. Bien qu’étranglé et matraqué abondamment en milieu de show, il parvient à retrouver ses assaillants en plus petit comité et remporte la seconde manche. Lors d’une de ces séquences backstage, les BroMans et Zema Ion sont encore présentés comme très faibles, incapables de se défendre à trois contre un. Reste que l’option prise par Ray est surtout motivée par son souhait de ne pas voir Bobby Roode dériver en dirigeant égocentrique (rappelons qu’il aurait possédé 10% des parts de la compagnie en cas de succès de sa team), devenir en quelque sorte un Dixie Carter bis. Les deux se confrontent à la fin de l’édition du 13, l’ancien Dudley prend l’avantage en le faisant passer à travers une table. La semaine suivante, Bully se trouve dans les offices de la fédération à Memphis pour obtenir une entrevue avec l’ancienne GM d’Impact Wrestling (qui est donc clairement définie en kayfabe comme une dirigeante de la compagnie malgré tout ?), il règle ses comptes verbalement, mais se rend compte qu’un fauteuil vide lui tournait le dos. Le X-Factor surgit alors pour le matraquer avec des éléments présents dans le bureau. 1-1 balle au centre. Un nouveau brawl éclate lors de l’épisode le plus récent. L’ancien leader des Aces & Eights a disposé toute une série de tables autour du ring et invite son opposant au clash. La situation se retourne contre l’instigateur du défi, victime d’esquives salvatrices de Roode. À noter l’absence d’intervention d’officiels pour mettre fin à un duel pourtant non validé par la direction. Belle feud de brawlers prompte à contenter les amateurs du genre.

 

 

Aucun candidat pour passer à travers une « vraie » table ?

 

 

Le title picture s’épaissit

 

Le règne de Magnus se poursuit, et aucun face de premier ordre n’a émergé des derniers événements. Il fallait donc un rapide push : Gunner sera une option crédible pour les prochains mois, mais pour l’heure la TNA a offert une nouvelle exposition à Eric Young, ressorti de l’imbroglio global Magnus/Samoa Joe/Abyss. À l’origine, un grand classique basé sur la volonté du GM de mettre un grain de sable dans la mécanique de deux heels. MVP décrète ainsi une nouvelle chance au titre pour Joe lors du premier épisode du mois d’avril, rencontre qu’il transforme en triple threat comprenant Abyss, afin de réveiller les ambitions personnelles du Monster. Alors que Joe pointe l’aberration d’une telle décision, aboutissant dans les faits à un match handicap, Young se propose de prendre à sa charge le cas d’Abyss. Il se sent responsable d’avoir réveillé la part sombre de son ancien équipier, s’estime le seul à pouvoir rétablir la donne. Cependant, Joe et MVP rejettent ses intentions sur le principe qu’il n’a rien accompli pour mériter un match de championnat. L’ancien leader de World Elite reprend à son compte le tryptique « Motivate, Validate, Participate », défend alors sa cause au nom des dix ans passés dans la compagnie, de ses multiples incarnations, de la reconnaissance d’un certain public (smart) à son égard, du palmarès fourni qu’il s’est construit, du titre de la X-Division au titre Tag Team… féminin. Devant une telle motivation, le GM transforme finalement le combat en un fatal 4-way.

L’argumentation de Young peut avoir l’air basique, mais je recommande vivement ce segment pour ce qui est sans doute pour l’heure la plus belle promo de l’année à la TNA. Comme toujours, l’intégration d’éléments de réalité contribue à donner l’impression d’un texte moins récité. La révélation du mois, sans la moindre hésitation. Et puis, l’histoire d’Eric Young n’a-t-elle pas un lointain rapport avec celle d’un certain D-Bryan ?

 

 

Un vrai YesMan dans son genre.

 

 


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