Deal with it

We, the gods, we, the gods hide well, it's so difficult to find us
Don't ever claim we are dead, we rest here and we guide you
You need to be controlled, so yes, we will direct you

Septic Flesh, We the gods

 

 

Où l'on fera une nalyse sans parler de politique et sans évoquer le retour aux affaires d'un rédacteur qui n'intéresse personne (le retour hein, pas le rédacteur), l'on se demandera si CM Punk n'a pas entendu des voix dans sa tête qui lui disent "dégage et va te laver !", l'on fera des pâtés de chaises avec Brock Lesnar (et pas Jean-Pierre Lénare) sympathique margoulin rigolard qui connait certainement tout de San Antonio et des Béruriers Noirs, l'on nettoiera la barbe de Daniel Bryan et l'on se dira que finalement, la fin du Rumble est peut-être à chier mais le Raw qui a suivi n'était pas si mal.

 

 

Deal with it bande d'abrutis.

 

 

Nalyse de Raw du 27 janvier

 

We, the gods, we, the gods hide well, it's so difficult to find us
Don't ever claim we are dead, we rest here and we guide you
You need to be controlled, so yes, we will direct you

Septic Flesh, We the gods

 

 

Où l'on fera une nalyse sans parler de politique et sans évoquer le retour aux affaires d'un rédacteur qui n'intéresse personne (le retour hein, pas le rédacteur), l'on se demandera si CM Punk n'a pas entendu des voix dans sa tête qui lui disent "dégage et va te laver !", l'on fera des pâtés de chaises avec Brock Lesnar (et pas Jean-Pierre Lénare) sympathique margoulin rigolard qui connait certainement tout de San Antonio et des Béruriers Noirs, l'on nettoiera la barbe de Daniel Bryan et l'on se dira que finalement, la fin du Rumble est peut-être à chier mais le Raw qui a suivi n'était pas si mal.

 

 

Deal with it bande d'abrutis.

 

 

Nalyse de Raw du 27 janvier

 

 

Comme le disent si bien les saltimbanques de Septic Flesh, les dieux sont cachés, et quoi que vous fassiez, ils vous contrôlent et font de vous ce qu'ils veulent. Et c'est exactement ce que ce diable de Vincent Kennedy McMahon et ses sbires font.

 

=> La carte du show

 

Tag Team match

The Real Americans (Antonio Cesaro et Jack Swagger) battent

Rey Mysterio et Sin Cara

 

Petite dispute entre Jack Swagger et Zeb Colter. Y'a de l'eau dans le gaz comme dirait l'autre. Peut-être que l'association entre les deux hommes touche à sa fin, ce qui pourrait causer la libération d'Antonio Cesaro qui pourrait ainsi rêver d'un avenir meilleur (mais pourquoi ont-ils renvoyé Chris Hero :boohoo : ?).

 

Du côté des hommes masqués, la défection de Mistico aura au moins servi à Hunico qui reprend du service. Et ce n'est pas pour nous déplaire, bizarrement.

 

Single match

R-Truth bat Fandango (w/ Summer Rae)

 

Xavier Woods était aux commentaires et a rejoint R-Truth sur le ring après le match.

 

 

Une présence qui ne fut pas sans conséquence (ha ha joke inside).

 

 

Battle of Cleveland

Dolph Ziggler bat The Miz

 

Ce match était un remake de l'épisode des Simpson qui voit la Springfield University d'Homer Simpson affronter l'université de Springfield A&M de Carl Carslon et Lenny Leonard dans LE match de foot US de l'année. Chacun des deux belligérants défendait les couleurs d'une équipe de Cleveland.

 

À noter que ce match fut d'abord annoncé par Wade Barrett dont les segments restent quand même drôles. Surtout quand il s'en prend au Miz. Cependant on peut légitimement se demander où est passé celui qui terrorisa Raw au point de provoquer des sueurs froides au plus insensible des marins.

 

Grâce à sa victoire, Dolph Ziggler conserve le peu d'honneur qui lui reste. Mais il est bien loin le temps où il paradait avec la ceinture de champion du monde entouré de la douce AJ Lee et du sympathique Big E Langston.

 

Et mine de rien, entre le Miz, Wade Barrett et Dolph Ziggler, on atteint des sommets en terme de nanardise. À quand un match contre les 3MB ?

 

 

Remarquez, il a de l'avenir en tant que comissaire priseur vu comme il se sert de son maillet (no joke inside).

 

 

Tag Team match

The Usos (Jimmy et Jey Uso) battent Curtis Axel et Ryback

 

C'est la soirée des matchs tag team. À croire que Teddy Long a fait main basse sur le booking de la soirée. Au moins la division se porte bien. Ce qui n'est pas forcément le cas d'Axel et de Ryback. D'ailleurs en apprenant qu'il avait reçu la ceinture de plomb, Ryback se serait mis à pleurer comme une madeleine.

 

Et en signe de protestation devant tant d'injustice, Curtis Axel aurait refusé de participer au Rumble match (et quand il s'aperçut que son absence passait quasi-inaperçue, à la différence de Bryan, il bouda encore plus). Du coup pour le remplacer les officiels n'avaient pas d'autres choix que de rappeler Kevin Nash. En conséquence Axel et Ryback ont décidé de jobber contre les Uso. C'est à se demander où vont ces deux-là.

 

Single match

Alberto del Rio bat Kofi Kingston

 

Que dire ici à part que Bébert en veut toujours à Batista mais il est descendu tellement bas dans la hiérarchie que ça serait comme si Yamcha décidait d'affronter C-19 (oui oui, le gros avec un chapeau pointu).

 

Tag Team match pour le titre par équipe

Cody Rhodes et Goldust battent ©The New Age Outlaws (Road Dogg Jesse James et Billy Gunn) par DQ

 

La DQ est causée par Brock Lesnar qui s'en prend violemment aux Rhodes. Et les New Age Outlaws apparaissent bien vieux et bien faibles. Surtout si on les compare à Goldust qui est de leur génération.

 

 

La narcolepsie c'est mal, m'voyez.

 

 

8 women tag team match

Les Funckadactyles (Naomie et Cameron) alliées aux sœurs Bella (Nickie et Brie) battent AJ Lee, Tamina Snuka, Alicia Fox et Aksana

 

Joli petit match avec une mega suplex à la fin en guise de conclusion.

 

Six man tag team match qualificatif pour l'Elimination Chamber

Daniel Bryan, John Cena et Sheamus battent The Shield (Dean Ambrose, Roman Reigns et Seth Rollins) par DQ

 

La DQ est provoquée par l'intervention de la famille Wyatt qui s'en est pris à John Cena. En conséquence les trois faces l'emportent et sont qualifiés pour l'Elimination Chamber.

 

Ah et sans oublier la nomination de Jacques "Le Serpent" Robert pour le Temple de la Renomée 2014. Quid de Damien en revanche ?

 

=> Le Brosky

 

 

Hello ! Is anybody out there ?

 

 

Avant le Royal Rumble, Brock Lesnar était réapparu afin de faire part de sa volonté de conquérir la ceinture de champion du monde. Paul Heyman avait clairement annoncé que la Bête n'était pas revenue pour assouvir une quelconque vengeance mais bien pour redevenir le numéro un. L'ancien champion UFC s'était même autoproclamé first contender tout en prenant soin de laisser la porte ouverte à d'éventuelles réclamations. Mark Henry et le Big Show tentèrent bien de raisonner l'irraisonnable mais cela leur coûta leur dignité. Du coup il n'y eut plus de réclamations.

 

Néanmoins suite à la victoire de Batista lors du Rumble Match, un problème se pose. Car il y a maintenant un challenger officiel pour le titre mondial et ça n'est pas le Brosky. Que faire alors ? Quelle misère !

 

Heureusement Paul Heyman et Brock Lesnar sont des gens bien qui tiennent à éviter de causer des soucis. C'est pourquoi, profitant que Brad Maddox, qui est toujours le manager général de Raw, introduisait auprès du public le toujours champion Randy Orton (et visiblement le rôle du GM se réduit à cette fonction aujourd'hui. Rendez-nous Eric Bischoff), profitant également que Batista venait faire un petit coucou à son copain Randy, Paul Heyman et son client proposèrent une solution à cet épineux problème. Soit Lesnar allait affronter Orton dès ce soir à Raw, soit c'était le challenger officiel Batista qui allait avoir cet insigne honneur.

 

 

Vois-tu mon petit Brad, je vais te faire une offre que tu ne pourras pas refuser.

 

 

En proposant ainsi que Lesnar affronte Batista, Heyman et son client reconnaissaient implicitement à ce dernier le droit de défier le champion du monde. Ce qui illustre leur volonté de ne pas compliquer les choses. Heyman précisa également que le choix revenait à Stéphanie McMahon-Levesque et à son époux. Mais il fallait qu'ils se décident vite.

 

Or de décision il n'y eut point. C'est pourquoi Lesnar fut quelque peu chagriné par un tel manque d'attention. Alors il décida de s'en prendre aux frères Rhodes au cours de leur rematch pour les ceintures par équipes. Inutile de dire que Goldust et Cody Rhodes ne pesèrent guère lourd face à la bête.

 

Lesnar est donc déterminé à redevenir champion du monde de la WWE. Son implication et son rôle ne sont donc plus les mêmes depuis son retour. Il n'est plus un simple outil attractif, un monstre de foire qu'on sortait pour faire plaisir aux gens. Et heureusement car cette utilisation tendait à lasser. C'est bien beau de voir Brock Lesnar démolir Cena ou HHH, mais si c'est sans véritable but derrière ça ne sert pas à grand chose. C'est une des raisons pour laquelle la feud contre CM Punk était intéressante, car Brock servait les desseins de son avocat qui souhaitait se venger de celui qui lui avait craché à la figure. Surtout il voulait montrer qui du straightedge ou de lui était le meilleur (rappelez-vous le « Best is the Beast » d'Heyman).

 

L'intérêt pour Lesnar se retrouve ainsi ravivé. Reste à préciser sa position dans la title picture. Car pour l'instant il représente une menace éventuelle qui pèse sur le champion mais aucun match n'a été défini. Il aurait pu éventuellement faire partie de l'Elimination Chamber mais on ne semble pas se diriger vers cette solution. Ce qui est fort dommage car contrairement à Goldberg, Kevin Nash, Vladimir Koslov ou R-Truth en leur temps, Lesnar ne s'est jamais retrouvé dans une chambre éliminatoire. Ce qui est fort regrettable étant donné le profil de l'individu sus-nommé.

 

=> Les états d'âmes de CM Punk

 

 

Personne n'a encore compris que tout ce que veut CM Punk c'est pouvoir dormir et faire une bonne grasse matinée !

 

 

En dehors de l'absence de Daniel Bryan lors du Rumble match, le fait scandaleux de la soirée reste l'élimination de CM Punk par un type éliminé trois quarts d'heure auparavant. Certes, comme l'a noté le noble Henri Death, Kane semble affûté comme jamais mais la perspective d'un match entre les deux bonshommes est aussi attrayante qu'une soirée en tête à tête avec votre belle-mère.

 

Cette situation était pourtant à craindre étant donné les petits accrochages au cours des jours précédant le PPV. Et malheureusement il a fallu que ça coûte la victoire finale à Punk alors qu'il était en train de réaliser un Coast to Coast qui l'aurait placé au même niveau que Shawn Michaels et Chris Benoit.

 

Mais le plus étrange dans cette affaire est que l'élimination de Punk paraît anecdotique par rapport à la non-présence de Bryan dans le match final. Peut-être que cette étrangeté illustre le statut pris par Bryan depuis Summerslam auprès des fans.

 

 

Laissez-moi vous expliquer. En fait Punk est juste jaloux de Daniel Bryan du coup il a senti un besoin pressant d'aller égorger une chèvre.

 

 

Bien qu'il y eut au cours de ce show une évolution concernant Bryan, Punk fut, pour sa part, étrangement absent. D'après certaine rumeur il aurait abandonné le navire suite à plusieurs mécontentements (retour en grâce des anciens au détriment des jeunes, match contre HHH prévu à Mania et finalement annulé, toujours pas de glaces à son effigies, besoin pressant d'aller se faire couler un bain…).

 

Certains affirmeraient qu'il aurait définitivement claqué la porte de la WWE. Parmi les raisons évoquées, sa déception par rapport au fait qu'il ne participerait pas au main event de Wrestlemania alors que son contrat expire en juillet. Du coup il aurait peur de ne jamais pouvoir main eventer Wrestlemania et préférerait défier Rockstar Spudd pour le titre TV à Bound for Glory.

 

Alors c'est toujours marrant de voir des gens courir se précipiter sur leur clavier afin d'exprimer leur colère devant de telles rumeurs qu'ils prennent au sérieux. Mais ça devient lassant au final. Avant de beugler comme un chimpanzé en rut, il faut vérifier lesdites rumeurs qui sont toujours suivies d'un démenti. C'est tellement facile d'interpréter tout et n'importe quoi à partir de rien.

 

Un peu comme Leopold Stoch qui annonce à ses petits camarades que les maternelles préparent un spectacle d'enfer pour Thanksgiving avec des fusées et même un cheval (comprenne qui pourra).

 

=> La Bryan Mania

 

 

Le traitement de Daniel Bryan par la WWE. Allégorie.

 

 

Ce qu'on retiendra de ce Royal Rumble 2014 c'est donc la non-présence de Daniel Bryan, certainement le catcheur le plus populaire à l'heure actuelle, dans le rumble match. Cette absence laisse le champ à diverses interprétations qui ont brillamment été présentées et résumées par le noble Henri Death.

 

Le véritable problème c'est qu'il est facile de taper sur la fédération de Stamford en affirmant qu'ils ne connaissent rien au catch et qu'ils s'entêtent à vouloir pusher les vieux tout en ignorant les récriminations de leur public. Mais c'est tout aussi facile de dire l'inverse ! À savoir qu'il est possible que la WWE ait voulu prendre le risque de se priver de son catcheur le plus en vue lors du match le plus important de ce début d'année (car n'oublions pas que Bryan était présent lors du PPV), dans le but de relancer la frustration qui l'entoure depuis le cash-in de Randy Orton, et donc de renforcer la hype de Bryan en vue de sa véritable prise de titre dans un éventuel match à Mania.

 

En clair soit on se range du côté des trolls haineux qui ne voient que le mauvais côté des choses, soit on se transforme en bisounours jyskalien et on vit dans un monde de guimauve tout rose avec de la barbapapa tout autour. Mais cette explication semble un poil trop manichéenne. Réexaminons alors les éléments dont nous disposons.

 

Suite au Royal Rumble, différentes personnalités (Mick Foley en tête) ont exprimé leur désarroi quant aux événements. Daniel Bryan y est également allé de son petit commentaire après avoir parlé météo. Et lors du RAW qui a suivi le PPV, le dragon américain s'est confronté à Stéphanie McMahon-Levesque ainsi que son doux mari en les mettant face à leurs erreurs et leurs contradictions.

 

 

Comme Corbier en son temps.

 

 

Il s'étonna ainsi que la fille de Vincent Kennedy McMahon et son diable d'époux justifient son absence en invoquant des précautions par rapport à sa santé. Il faut rappeler que Bryan avait eu une commotion cérébrale il y a quelques jours si bien que des doutes planaient sur son match contre Wyatt au Rumble. Devant ce qui semblait être de l'hypocrisie manifeste, Bryan rétorqua que ça ne posait de problème à personne lorsqu'il devait se coltiner deux, voire trois adversaires dans la même soirée.

 

Pour toute réponse le sémillant compagnon de Stéphanie McMahon-Levesque envoya le Shield s'occuper de l'impertinent. Heureusement Sheamus et Cena surgirent afin de venir en aide à la chèvre égarée. Par la suite, nous apprîmes de la bouche de Michael Cole que les six hommes avaient rendez-vous en fin de soirée dans un match par équipe avec pour enjeu une place dans l'Elimination Chamber pour les vainqueurs.

 

Très bonne idée mais pourquoi ne pas l'avoir annoncé lors du segment d'avant la pub après l'irruption de Sheamus et Cena ? C'est quand même important nan ? Ça aurait été largement plus clinquant si l'homme qui partage la vie de Stéphanie McMahon-Levesque ou Brad Maddox, qui rappelons-le est toujours le GM de Raw, l'avaient annoncé plutot que de le sortir comme ça au débotté après la coupure pub.

 

Toujours-est il que le match fut agréable, l'histoire racontée fut très belle et Bryan joua les faces en péril à merveille (avec une importante mise en valeur pendant le match, ses deux comparses ne servant finalement qu'à faire le coup de poing lors des moments difficiles). Quant à Roman Reigns il devient chaque jour de plus en plus crédible en tant que redoutable adversaire. La preuve en est qu'après avoir éliminé douze adversaires lors du rumble match, il était en train de briser le STF de Cena lorsque la famille Wyatt éteignit la lumière pour s'en prendre au marin.

 

 

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Cette intervention causa logiquement la disqualification du Shield et donc, par ricochet, la perte de leur chance de participer à la chambre éliminatoire. À toute chose malheur est bon puisqu'au moins le Shield va certainement vouloir se venger des allumés du bayou ce qui écarte provisoirement tout risque d'éclatement de la stable après les diverses fêlures apparues ces derniers temps (dont la double élimination d'Ambrose et de Rollins par Reigns).

 

Alors que dimanche soir les gens pestaient contre l'absence de Daniel Bryan pendant le rumble match, celui-ci sera bien présent pour la chambre éliminatoire. Le voici donc de nouveau catapulté dans la title picture et ce n'est sans doute pas une compensation suite aux événements de la veille mais bien un élément de booking prévu avant dimanche soir.

 

Y'a pas à dire, la WWE aime jouer avec nos nerfs. Mais ne perdons pas de vue que nous sommes en pleine route vers Mania. Cette route doit comporter des éléments imprévisibles si elle veut se montrer attrayante. Or tout le monde voyait une victoire de Bryan au Rumble suite aux événements de SummerSlam et Night of Champions. Du coup tout le monde se pose la question sur les raisons de son absence. Tout le monde ne parle que de ça, tout le monde ne parle que de la WWE. Et surtout, tout le monde regardera attentivement ce qui va se passer lors des prochains jours. C'est donc une totale réussite pour la WWE. Ces gens-là sont des génies.

 

Après, le choix du vainqueur du rumble match n'était peut-être pas le meilleur. Mais ça aura au moins profité à Brock Lesnar qui a récolté pas mal de pop lorsqu'il est venu interrompre Orton et Batista. Un autre coup de génie au passage.

 

 

Exclusivité CDC, on a retrouvé le push de Daniel Bryan (une nuit d'amour avec un hanneton pour qui trouve le nom de la personne qui fait face à Shawn Michaels).

 

 


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