L’année 2013 en mots : De Wrestlemania à Money in the Bank

Baby… Daddy’s coming home !

Mark Henry, annonçant sa retraite à Raw, le 17 juin, avant d’encastrer John Cena dans le ring et d’exiger un match pour le titre WWE.

 

Le retour sur le deuxième trimestre 2013 de la WWE nous raconte beaucoup de belles histoires, certaines si belles qu’on a du mal à y croire aujourd’hui.

 

 

En ce temps-là, un type qui allait jobber pour Fandango en pré-show du dernier ppv de l’année était champion du monde poids lourds et sortait avec AJ Lee. Oh oui, c’était il y a fort longtemps, dans un monde enchanté.

 

 

Retour sur l’année 2013 : Deuxième trimestre

 

Baby… Daddy’s coming home !

Mark Henry, annonçant sa retraite à Raw, le 17 juin, avant d’encastrer John Cena dans le ring et d’exiger un match pour le titre WWE.

 

Le retour sur le deuxième trimestre 2013 de la WWE nous raconte beaucoup de belles histoires, certaines si belles qu’on a du mal à y croire aujourd’hui.

 

 

En ce temps-là, un type qui allait jobber pour Fandango en pré-show du dernier ppv de l’année était champion du monde poids lourds et sortait avec AJ Lee. Oh oui, c’était il y a fort longtemps, dans un monde enchanté.

 

 

Retour sur l’année 2013 : Deuxième trimestre

 

 

 

De Wrestlemania à Extreme Rules

 

 

Comme d'hab, le Raw post-Wrestlemania aura été riche en émotions. On se souviendra principalement de ce cash-in de Dolph Ziggler sur un Del Rio affaibli par un long match contre Jack Swagger, sous une pop que n'aurait pas reniée CM Punk à Money in the Bank 2011, ou de l'entrée de Fandango, accueilli par des chants qui auront finalement fait long feu. À côté, la perte du titre Intercontinental du Miz un jour après l'avoir gagné face à Wade Barrett et contre le même adversaire, ou le match entre Randy Orton et Sheamus (complètement boudé par un public du New Jersey assez surréaliste) font pâle figure. Comme le heel turn de Ryback en main event, d'ailleurs. Fini « Feed Me More », place au « Ryback Rules », et on ne peut pas dire qu'on y gagne vraiment au change. Un Shell-Shock sur Cena par ci, une attaque du Shield pendant laquelle le nouveau challenger au titre ne réagit pas par là, et l'affaire est emballée pour un Last Man Standing à Extreme Rules.

 

 

 

Le moment où la foule rugit de joie en voyant un heel venir jouer les charognards autour d’un face héroïque.

 

 

Quant au nouveau champion WHC, Dolph Ziggler, après quelques matchs convaincants contre Chris Jericho et une rivalité à trois avec Swagger et Del Rio (chacun des trois hommes accompagné de son manager respectif), il se blesse au pire moment et doit laisser la place aux deux challengers lors du PPV, dans un I Quit Match, après une commotion crânienne subie des mains du Real American. Ziggler sera donc absent à Extreme Rules, tout comme CM Punk, qui profite de cette période un peu plus calme pour prendre du repos après son règne de plus d'un an et son échec à mettre fin à la Streak.

 

Comme souvent en ce début d'année, le salut est à chercher du côté de Hell No et du Shield, et prend forme lorsque le clan attaque l'Undertaker, une semaine après Wrestlemania. Le Deadman ne doit son salut qu'aux champions tag-team et un énorme match trois contre trois est finalement booké la semaine suivante à Londres. Celui-ci sera finalement fatal aux gentils, et le vendredi suivant, après un un contre un perdu par Ambrose, le clan attaque le Taker. Triple Powerbomb à travers la table, on se revoit l'an prochain. Toujours invaincu en trois contre trois, le Shield vise rien de moins que les titres tag-team ET US, cette dernière ceinture étant désormais détenue par Kofi Kingston après sa victoire face à Antonio Cesaro (et un rematch particulièrement savoureux à Main Event). Le Bouclier est sur une grosse série, et affronte d'ailleurs deux fois Hell No et John Cena, dans des matchs aussi longs que bons.

 

 

Bonjour.

 

 

Au revoir.

 

 

Les rivalités entre Fandango et Jericho, Orton et le Big Show, et la nouvelle feud entre Sheamus et Mark Henry (menant à d'impressionnants concours de force, comme lorsque Mark Henry tire un camion à Smackdown) continuent tranquillement, tout comme les échanges entre Triple H et Brock Lesnar, qui manquent cruellement de saveur. On assistera d'ailleurs lors du Go-Home à une séquence un peu bizarre pendant laquelle le Game, à l'issue d'un brawl brutal/badass/habituel éjecte son adversaire de la cage, donnant ainsi le ton pour la stipulation prévue lors du troisième affrontement (!) entre les deux. Quel champion ! AJ Lee, quant à elle, n'est, malgré sa victoire lors d'une Bataille Royale pour devenir challenger n°1 au titre des Divas (pendant laquelle les Bellas sont disqualifiées…), pas sur la carte du PPV.

 

Le PPV est habituellement  propice à voir du spectacle et des conclusions de rivalité. Ni l'un ni l'autre cette année, et  « Extreme » Rules ne méritera pas vraiment son nom. Passons rapidement sur le pré-show qui voit le Miz disposer de Cody Rhodes. Malgré un bon match contre Randy Orton à Raw, le partenaire de Damien Sandow vivote bien loin des honneurs, et connaît jusque là sa pire année.

 

Sheamus et Orton disposent respectivement des mastodontes Mark Henry (strap match) et le Big Show (Extreme Rules Match), dans des matchs très oubliables, qui auront le mérite de les voir passer à autre chose. Idem pour l'opener qui voit Y2J battre Fandango dans une revanche de leur affrontement à Wrestlemania, pas à la hauteur de l'original. Le danseur de salon, malgré un certain succès public, n'a pas encore vraiment réussi à s'imposer à la fédération, et ce malgré un adversaire habitué à mettre brillamment en avant les jeunes.

 

Les matchs de main event sont un peu meilleurs, mais à peine. Alberto Del Rio bat Jack Swagger dans un match recommencé après un replay montrant très clairement Zeb Colter jeter la serviette de Ricardo Rodriguez pour donner la victoire à son poulain. Dans un I Quit Match. Bon. Quant à l'affrontement pour le WWE Championship, il se termine sans vainqueur : après un spot voyant Ryback Spearer John Cena à travers le titantron, le challenger repart sur ses pieds mais ne remporte pas l'affrontement, qui est un no contest, l'arbitre (Charles Robinson, pourtant toujours impeccable d'habitude) n'ayant pas compté les deux hommes. Dans un Last Man Standing Match. Mouais.

 

Le Main Event, opposant Lesnar à Triple H dans une cage, est polarisant. Certains loueront la brutalité et le sens du selling de Brock Lesnar, d'autres reprocheront un booking à la serpe et un rythme inexistant. Le protégé de Paul Heyman remporte finalement le match, clôturant une rivalité qui n'aura pas vraiment fait de bien à l'un ou à l'autre. Heureusement, et ça devient redondant, le Shield vole le show, et remporte les deux titres sur lesquels il avait jeté son dévolu. Les deux meilleurs matchs de la soirée, probablement, mais également les plus courts. On retiendra surtout le match entre Hell No et l'équipe formée par Reigns et Rollins, inédite mais très prometteuse. Le clan a un avenir doré devant lui, et ça fait du bien.

 

 

Brock Lesnar est toujours content de retourner dans son environnement naturel.

 

 

 

D'Extreme Rules à Payback

 

 

Le prochain PPV, l'inédit Payback, aura lieu à Chicago ! Et quoi de mieux pour hyper le PPV que de promouvoir le retour de l'enfant du coin, CM Punk, face à Y2J de surcroît ? Difficile de booker un affrontement quand l'un des protagonistes est absent, et force est de constater que la mission n'a pas été entièrement remplie : le segment le plus mémorable voit Paul Heyman signer le contrat avant de se faire traiter de morse par le Canadien. Dès lors, les spéculations les plus folles vont bon train : Punk sera-t-il bien présent le jour J ? Ou sera-t-il finalement remplacé par un autre Heyman Guy ?

 

Il faut dire que le roster du manager s'agrandit, avec l'arrivée de l'ex Michael McGuiliguili, désormais appelé Curtis Axel – un nom pris en hommage à son papa et à son grand-père. Une victoire en main event par count out contre Triple H (qui fait un malaise en ringside mais, comme le warrior qu'il est, tient quand même à combattre et s'oppose à son beau-père sur ce point dans l'un des arcs narratifs les plus étranges de l'année), puis la semaine suivante face à Cena de la même manière. Sept jours plus tard, nouvelle victoire par décompte à l'extérieur face au champion WWE, et lors du go-home, forfait forcé de Triple H. Voilà qui lance parfaitement l'année d'un de nos meilleurs candidats à la Ceinture de Plomb.

 

 

Yes ! Stephen Hawking n’a pas atteint le ring à temps ! Encore une victoire par countout !

 

 

Je vous vois venir, vous qui n'avez suivi l'année que d'un œil : « Quoi, John Cena perd ? Et deux semaines de suite ? » Il faut dire que le Marine doit toujours affronter Ryback, et que la brute aime bien intervenir durant les matchs de sa Némésis. L’ex-Skip Sheffield peine d'ailleurs toujours autant à convaincre (même s’il envoie Kofi Kingston en repos forcé après l'avoir passé à travers une table), et n'a pas gagné un seul match sur ses sept derniers affrontements de PPV ! Qu'importe, la WWE va jusqu'au bout, et à Payback, les deux hommes s'affronteront dans un Three Stages of Hell : Lumberjack Match, Tables Match, Ambulance Match.

 

Ryback est un bully, mais Sheamus aussi. L'Irlandais est de plus en plus en voie de Cena-isation, et sa rivalité contre Damien Sandow y est pour beaucoup. Le heel encaisse Brogue Kick sur Brogue Kick, par surprise, par derrière, sans raison. Mais après tout, tant qu'on est face, on peut tout se permettre, n'est-ce pas ?

 

Heureusement, certains segments valent le coup d'œil durant cette période, comme celui de la révélation de l'amoureux secret de Kaitlyn, un angle scénaristique durant depuis quelques semaines et voyant la championne féminine recevoir régulièrement des cadeaux backstage. Finalement, celui ci se révèle être… Big E Langston ! Mais tout ceci n'était qu'une ruse menée par AJ Lee avec l'aide de son complice pour jouer avec les nerfs de sa concurrente numéro 1, et la femme presque blonde mais pas tout à fait finit en pleurs au milieu du ring.

 

Pendant ce temps, Big E Langston affronte Alberto Del Rio cinquante fois à Raw et Smackdown. Pas grand chose à dire sur la title picture du WHC, qui se languit du retour de son champion Dolph Ziggler, finalement présent lors du go-home show et qui confirme qu'il défendra bien son titre lors du PPV. Quant au championnat Intercontinental, il semble un temps promis à Fandango, qui se blesse lui aussi, souffrant d'une commotion (c'est une habitude). Un triple threat est finalement annoncé entre le champion Wade Barrett (qui peine à retrouver son niveau de 2010), le Miz et Curtis Axel.

 

Enfin, il y a le Shield. Et Hell No. Un match incroyable au lendemain d'Extreme Rules en 3 contre 3 avec Kofi Kingston complétant l'équation, puis un autre la semaine suivante pour le rematch autour du titre tag-team. Ce n'est que le début de la série : la semaine suivante, les gentils trouvent un allié inattendu en la personne de… Randy Orton ! Grand match à trois contre trois le 3 juin, grand match Bryan/Rollins le 10. Pas mal d'autres combinaisons en tag team ou solo sont testées, et le petit barbu semble de plus en plus déterminé à prouver qu'il n'est pas le maillon faible de l'équipe formée avec Kane, et dispose même seul (et spectaculairement!) du clan en main event de Smackdown ! La série glorieuse culmine lors du go-home Smackdown, où Bryan, Kane et Orton défont pour la première fois le Shield, clean, en 3 contre 3 ! Un admirable feel-good moment conclu d'un Yes Lock sur Rollins, et qui annonce les matchs Kane/Ambrose et Bryan & Orton/Rollins & Reigns pour Payback !

 

 

C’est sympa de vous être bien alignés comme ça. Roman va maintenant tous vous spearer d’un seul coup.

 

 

Lors du PPV, la WWE hausse son jeu. Le storytelling est une valeur sûre, comme le prouve l'affrontement entre AJ Lee et Kaitlyn, remporté par la petite geekette dans ce qui a été à coup sûr le tout meilleur match féminin de l'année à la fédération. Oh, tout n'est pas parfait, et d'ailleurs la conservation du titre d'Ambrose par décompte à l'extérieur face à Kingston a conclu un match qu'on ne peut pas qualifier de marquant, mais voyons le bon côté des choses : la rivalité Cena/Ryback est terminée (victoire du Marine dans un match tout juste correct),  l'opener pour le titre IC a finalement été plutôt réussi (victoire d'Axel dix ans après la mort de Mr Perfect), et tous les autres matchs ont tenu leurs promesses.

 

Bien sûr, on n'en attendait pas moins du retour de CM Punk à domicile, avec un nouveau look de Wolverine, et une victoire dans un match à la hauteur de ses précédentes confrontations avec Chris Jericho. De la même façon, la victoire du Shield en tag team après une mésentente Bryan/Orton qui a conclu un très bon échange n'est pas non plus surprenante. Mais qui attendait une victoire de Del Rio pour le titre WHC à l'issue d'un double turn des deux hommes ? L'angle de la commotion de Dolph Ziggler a été parfaitement exploité dans un match où le Mexicain, face, s'est acharné sur la tête du champion, heel mais soutenu par le public tout le long du match. On pense alors que le feelgood moment n'est que retardé  pour le blondinet qui vient à la fois de perdre son titre et prendre part au meilleur match du PPV, et que son retour au sommet n'en sera que plus éclatant…

 

 

Qui peut encore dire que Cena ne plane pas au-dessus de la mêlée ?

 

 

 

De Payback à Money in the Bank

 

Les échelles arrivent, et ont rarement été aussi attendues. Il faut dire que le line-up du match pour la mallette rouge a de quoi faire rêver : CM Punk, Sheamus, Daniel Bryan, Christian, Kane, Randy Orton et… RVD, de retour de la TNA ! Le favori du match est l'homme à la face de chèvre, qui marche sur l'eau lors de cette période : après une première défaite par arrêt de l'arbitre le lendemain de Payback face à Randy Orton, il prend sa revanche de fort belle manière en main event la semaine suivante, lors d'un Street Fight où il fait abandonner la vipère, avant d'enchaîner finalement avec une victoire face à Sheamus. Les deux gros noms désormais ajoutés à son palmarès de chasse, celui-ci sera le plus pronostiqué ici pour la victoire finale, et se paye même le luxe de décrocher le graal lors du Go-home Raw !

 

 

Randy Orton, jobber to the stars.

 

 

CM Punk, de retour à plein temps veut également faire valoir ses droits, mais peine à se séparer de son manager, Paul Heyman, qui a juré d'être dans son coin lors du PPV pour l'aider à grimper à l'échelle de la gloire. Punk gagne quand même contre Alberto Del Rio par décompte à l'extérieur, puis bat Darren Young (dans un match franchement bon) avant de vaincre à son tour Randy Orton clean. Mais un passage éclair de Lesnar, qui lui colle un F5, offre une indication claire sur son avenir… Quant à Christian, il fait équipe un temps avec les Usos, avant de se reconcentrer lui aussi sur son objectif.

 

L'affrontement pour l'autre mallette est lui bâti a minima, avec seulement des jeunes heels, mais l'affiche n'en reste pas moins très prometteuse : Barrett, Ambrose, Cesaro, Swagger, Fandango, Sandow, Rhodes. Quant aux rivalités AJ Lee/Kaitlyn (et son téton, qu’on aperçoit pendant une micro-seconde à l’écran!) et Ziggler/Del Rio, elles se poursuivent, mais le couple apparaît de moins en moins souvent ensemble depuis le face turn du playboy.

 

Un nouveau clan a fait parler de lui depuis quelques semaines, à travers plusieurs vidéos dérangeantes. La Wyatt Family est là, et s'en prend directement à Kane une semaine avant le PPV, forçant le Big Red Monster au forfait. De quoi faire oublier l'atroce segment du renvoi de Vickie Guerrero le soir même. La cougar est remplacée par Brad Maddox.

 

L'une des pires rivalités de l'année oppose Ryback, qui cherche à rebondir, à Chris Jericho. Le Canadien surnomme bien logiquement son adversaire « Cryback », ce dernier abandonnant le 1er juillet face au… Miz après… un dropkick à la jambe. Oui. Tout ceci n'a ni queue ni tête.

 

Mais le gros morceau de bravoure de cette période, c'est la performance digne d'un Oscar de Mark Henry le lendemain de Payback, qui annonce sa retraite dans un discours rempli d'émotion avant… d'étaler John Cena d'un World Strongest Slam. Un segment à voir et revoir, qui lance une bien belle rivalité entre les deux hommes.

 

 

Je… je suis super ému. Parce que dans quelques instants, je vais exploser la rate à Cena.

 

 

Le PPV est franchement réussi. Tout d'abord, grâce aux deux Money in the Bank Matchs, qui ont su répondre aux attentes. Le Main Event a été particulièrement brutal, et c'est finalement Randy Orton qui est ressorti avec l'attaché-case sous le bras. On notera la trahison de Heyman envers son ancien poulain Punk (de plusieurs coups d'échelle bien sentis), et le retour de Rob Van Dam devant un public de Philadelphie conquis. Mais c'est définitivement l'opener qui a volé le show, avec une performance grandiose de Cody Rhodes, relançant complètement sa carrière d'un faceturn superbe. Damien Sandow a beau l'avoir trahi et être reparti avec la mallette, le grand vainqueur de la soirée, c'est lui. Quant aux autres hommes impliqués dans le match, ils ont tous été à la hauteur, et nous ont offert un très, très bon cru.

 

 

Avec mon intellect supérieur, aucun risque que je rate mon cash-in comme ce gros benêt de Cena l’année dernière !

 

 

L'autre excellente surprise de la soirée, c'est le pré-show. Bon, le Shield était impliqué, donc ce n'est qu'une demi-surprise. Mais ceux qui ont été habitués à des kick-off matchs de quatre minutes se sont régalés lors de cette terrible défense du titre tag-team face aux frères Uso. De quoi regretter de ne pas avoir vu la confrontation sur la carte principale, au détriment par exemple des victoires indigentes de Curtis Axel et Ryback face au Miz et Chris Jericho.

 

Il y a sans doute peu de chose à dire sur l'affrontement pour le titre WWE, gagné par Cena contre Henry, de façon claire et définitive, et par soumission. Reste que le combat fut assez réussi étant donné les forces en présence, même si certains pourront faire part de leur agacement d'avoir vu le champion dans sa partition classique du catcheur dominé parvenant finalement à revenir in extremis au tout dernier moment. Alberto Del Rio, quant à lui, a profité d'une distraction d'AJ Lee (elle-même toujours championne après sa victoire face à Kaitlyn dans un match un bon cran en dessous du précédent) pour conserver son titre face à Dolph Ziggler. Il y a de l'eau dans le gaz entre les tourtereaux, et la rupture est proche ! Le travail des deux hommes a comme à Payback été parfaitement rôdé, la surprise en moins toutefois. La route vers Summerslam est lancée, et le PPV d’août s'annonce explosif !

 

 

C’est à cet instant que le Mal s’empara de Smeagol.

 

 

 

C’est tout pour aujourd’hui, dites-nous en comms ce que ce trimestre évoque pour vous et à demain pour la suite !

 

 


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