C’est de la merde !

Je suis le premier fan de Marco Merdier

Jean-Pierre Coffe

 

Son interview a fait du bruit, le landerneau en tremble encore. Et le voilà de retour sur nos pages pour vous livrer en exclusivité sa nalyse de SmackDown. Un document que le web entier nous envie et sur lequel notre avocat planche déjà. Au cas où, voyez-vous ?

 

 

Aux États-Unis, ça serait difficile, mais en France, on compte sur la clémence de François Hollande pour que les Cahiers du Catch ne soient pas condamnés pour les propos de l’auteur de la nalyse. On est en train de chercher des traces kosovares dans l’arbre généalogique des administrateurs du site.

 

 

Nalyse de SmackDown du 18 octobre

 

Je suis le premier fan de Marco Merdier

Jean-Pierre Coffe

 

Son interview a fait du bruit, le landerneau en tremble encore. Et le voilà de retour sur nos pages pour vous livrer en exclusivité sa nalyse de SmackDown. Un document que le web entier nous envie et sur lequel notre avocat planche déjà. Au cas où, voyez-vous ?

 

 

Aux États-Unis, ça serait difficile, mais en France, on compte sur la clémence de François Hollande pour que les Cahiers du Catch ne soient pas condamnés pour les propos de l’auteur de la nalyse. On est en train de chercher des traces kosovares dans l’arbre généalogique des administrateurs du site.

 

 

Nalyse de SmackDown du 18 octobre

 

 

 

Je le revois encore d’ici, mon petit reporter pas plus haut que trois pommes. Il se tortillait sur place, l’air gêné. Il donnait l’impression de s’être mis son stylo dans le cul, ce con.

 

– Qu’est-ce qu’il y a Passepartout, t’as oublié de me poser une question, ma couille ?

– Monsieur Merdier… Si j’osais… 

– Ose, c’est à ça qu’on nous reconnaît, fiston !

– Eh bien voilà : si vous êtes d’accord, avec mes potes bobos, on aimerait bien que vous vous chargiez de la prochaine nalyse de SmackDown. Avoir l’avis d’une légende mondiale comme vous, ce serait un honneur pour les Cahiers du Catch, balbutia-t-il timidement.

 

Je n’ai pas réfléchi très longtemps avant d’accepter. D’abord parce que j’ai horreur de ça et que ce nain m’est sympathique. Et puis parce que les fans de catch sont vraiment des merdes qui n’y entravent que dalle au sport-divertissement. Y-a-qu’à les voir avaler des heures de programmes TV débiles sans rien comprendre des enjeux du milieu, ou se branler sur un clochard barbu qui atteint difficilement les 1,60 m avec ses talonnettes… Il était temps que quelqu’un contre-braque ces enfoirés de Ricains. Mon pote Sarkozy hors-jeu, Marine Le Pen encore un peu tendre, j’étais le seul à pouvoir relever le défi.

 

– Ok, ça roule ma poule. Je vais te le faire, ton compte-rendu de MacDone. Mais je te préviens, ça fait longtemps que je ne regarde plus la WWF. Tiens, je vais te dire un truc : ça me fait plaisir de revoir Macho Man et Chris Benoit sur un ring. Ces mecs-là ont vraiment la classe ! Ça passe sur quelle chaîne ?

 

 

Non Marco, pas sur celle-là.

 

 

J’ai pas vraiment compris la réponse du Gnome. Mais ce que j’ai compris, c’est que ces couillons d’Américains ont encore plus de problèmes de diffusion que nous ! Je veux dire, en France, leurs émissions passent à la TV. En différé, à des heures pas possibles et sur des chaînes de merde, mais au moins, elles passent ! Paraît qu’on peut même voir la TNA commentée par un mec dont le trip sexuel est de laper le lait de gonzesses aux mamelles géantes… C’est dire toute la daube que le PAF nous refourgue. Quand je pense que ces connards ont snobé la revanche White Storm vs Laurent Turiani à Massy-Palaiseau le mois dernier, ça me rend dingue. Bref, figurez-vous que si on veut voir la WWWF sur une chaîne américaine, on est obligés de télécharger le gala sur Internet ! Quand je vous dis que le catch est mort. Même en Amérique, ça ne passe plus à la télé ! Et mine de rien, c’est vachement compliqué à télécharger. Bon, moi, je m’en fous, mon fils est polytechnicien. Mais comment ils font, les fans, ceux qui sont cons comme une armée de balais à chiotte ? Et ceux qui vivent dans le nord de la France ? Je veux dire, quand dans ton arbre généalogique, le frère de ta mère est aussi ton père, on me fera pas croire que t’es capable de mettre la main sur un épisode de Smaque Daune ! J’avais déjà noté ça à la page « défauts » de mon calepin quand mon fils polytechnicien a lancé la vidéo, le Kirikou blanc assis à côté de moi, prêt à me résumer les épisodes précédents et à m’expliquer le rôle de chacun des personnages. Je m’en serais sorti tout seul, mais il est sympa Tom Pouce. Et il explique bien.

 

 

Quand je pense qu’au creux de la vague, j’ai combattu chez Booster… Avec mes conneries, je pense que je me suis coupé pour toujours des rings de la FFCP.

 

 

Faut reconnaître un truc : les génériques, ils savent faire. Ça pète dans tous les sens, c’est rythmé et y a des feux d’artifice. J’aime bien les feux d’artifice, c’est classieux. On avait les mêmes que la WWF pendant la tournée des arènes cet été. Et il faut admettre qu’ils remplissent leurs salles, ces empaffés de bouffeurs de burgers. J’avais pas vu autant de monde à un spectacle de catch depuis l’Ange Blanc contre le Bourreau de Béthune au Vel’ d’Hiv’ ! La suite m’a par contre vachement déçu. Non mais franchement, c’est ça les patrons de la WCW ? Un puceau qui pèse 50 kg tout mouillé, flanqué d’une grosse Mexicaine aussi grasse qu’un burrito géant de Del Taco et qui s’excuse tout le temps ? Et quel public de merde ! Ils sifflaient tout le temps, on n’entendait rien. Croyez-moi, quand un patron comme moi s’exprimait devant le public de la tournée des arènes, on n’entendait pas une mouche voler. Ça s’appelle le respect de l’autorité, un truc que les socialos sont en train de foutre en l’air en France. Je vais vous dire un truc, toutes ces merdes… Le PS est le premier parti fasciste de France. Vous avez vu tout ce bordel autour de Leonarda ? Hollande est vraiment un crétin. Vous croyez pas qu’y a assez de tromblons en France pour qu’on fasse revenir une Rom qui parle la langue de Molière avec l’accent du Doubs ? Et vous pensez vraiment que quand on s’appelle Leonarda, on a une chance de s’intégrer en France au 21e siècle ? Enfin, on aura au moins permis aux lycéens bobos parisiens d’exprimer leur compassion à peu de frais avant de partir en vacances avec papa-maman dans un Riyad à Marrakech. Maintenant, faudra quand même faire gaffe à ce que Leonardo en profite pas pour revenir en douce au PSG…

 

 

Un jour, je reviendrai en France. Et je ferai ma loi à la FFF.

 

 

On en était où ? Ah oui. Vickie Guerrero, une dondon tellement laide que même cette merde de Flesh Gordon n’en voudrait pas comme comptable à la Wrestling Stars, et Brad Maddox, belle gueule mais à peu près aussi expressif que Jean-Marc Ayrault, les deux figures « d’autorité » de Ce maque donne ont juré leurs grands dieux que ce n’est pas ici que le Big Show viendra foutre sa merde comme il l’a fait à Rôt. Je veux bien que le mec soit un géant, mais encore heureux que la sécurité soit capable d’empêcher un type de perturber un match ! Ça me rappelle ce pochtron qui a voulu monter sur le ring pendant mon match contre l’Équarisseur de Trifouillis les Deux-Couilles en 82. On lui en a mis plein la gueule.

 

 

– Ce n’est pas le Big Show qui risque de pointer le bout de son groin ici. Et on va le répéter avec tellement d’insistance que nous n’en croirez pas un traitre mot et que vous serez prêts à applaudir à tout rompre dès son arrivée, inéluctable. Ça s’appelle « construire un scénario intelligible pour les gros débiles qui composent le WWE Universe ».

– Je ne l'aurais pas dit comme ça, Vickie.

 

 

Ces deux merdes arboraient un air de ravi de la crèche quand une version de la Chevauchée des Walkyries de Mozart a retenti dans l’arène pour annoncer l’entrée en scène de la nouvelle « coqueluche » du catch mondial, un mec à peine plus grand que mon interviewer des Cahiers du Catch et qui a deux mots à son vocabulaire : « oui » et « non ». Et là, excusez-moi, mais c’est pas possible. Je comprends vraiment pas comment le public peut soutenir un mec qui ressemble comme deux gouttes d’eau au SDF qui se nourrit dans les poubelles de mon quartier. C’est pas à la FFCP que vous verrez un Daniel Bryan combattre : les barbes pouilleuses et les coupes de cheveux de beatnik, c’est pas le genre de la maison. Et ce t-shirt rose ! Il s’est cru à une manif du mariage pédé ou quoi ? À mon époque, ces gens-là ne catchaient pas, on avait trop peur qu’ils en profitent pour nous mettre un doigt dans le cul pendant une prise d’immobilisation. Mais à la WWWE, on leur donne même un micro. Va comprendre.

 

 

Daniel, c’est vrai ce que dit monsieur Merdier ? Tu te fais examiner la prostate à grands coups de bite ?

 

 

En deux minutes, l’idole des merdes a eu le temps de dire qu’il battrait Randy Orton, un vrai bon mec dont j’ai bien connu le père à l’époque où il catchait pour le mien au Madison Square Garden, a laissé planer la menace de la présence du Big Show dans la salle, au cas où des débiles n’auraient pas encore compris, et a introduit les tout nouveaux Champions par équipe de la compagnie : un travelo maquillé comme Bulla Punk mais avec vingt bons kilos de moins et un beau gosse presque aussi bien foutu que moi au même âge, mais qui m’a l’air d’être aussi à voile et à vapeur. Paie ton assemblage de bras cassés qu’il vaut mieux pas croiser sous les douches. Mais la Mexicaine en surpoids a enfin repris les choses en main en déclarant que ces trois-là affronteraient les mecs du Shield en clou du spectacle. Un trois contre trois, tu parles d’une menace ! De mon temps, on pétait la tronche des grandes gueules à dix contre un.

 

 

Ne fais pas trop le malin Daniel. Si tu continues, c’est un no DQ contre Horsnwoggle qui t’attend. Ah ah ah, le pouvoir est grisant.

 

 

La suite a confirmé que la WWCF a vraiment un problème avec ses mecs : ils sont soit pédés, soit aussi barbus que des clodos alcoolos. Et parfois les deux. Vous avez vu ces loustics de la Wyatt Family ? J’avais l’impression d’être dans un film de Boorman : je m’attendais à tout moment à ce qu’un des échappés du Bayou encule son adversaire sur un air de mandoline ! Je l’imaginais déjà couiner, ce con. Mais non, ils se sont contenté de battre le Miz et Kofi Kingston à l’issue d’un match pas désagréable, j’en conviens volontiers, pendant que Bray se balançait peinard sur son fauteuil à bascule. Par contre, j’ai été un peu surpris de voir un noir sur un ring américain. Vous êtes déjà allés en Amérique ? Là-bas, ils ne rigolent pas avec leurs noirs, pas comme en France. Par exemple, ils n’ont pas le droit de monter dans les mêmes bus que les blancs. J’imagine que les syndicats ont dû céder un peu : pas d’étrangers sur nos rings, mais ok pour les bamboulas bien de chez nous. Après tout, le monde change. Tenez, une preuve supplémentaire, les femmes ont même le droit de catcher. Brie Bella contre AJ Lee, victoire de la première. Techniquement, y a rien à dire : ça manque un peu de poitrine, mais les deux ont un très beau cul. Cela dit, ça vaut pas Shanna qui a un cul aussi parfait que ses meules. Made in Europe.

 

 

Boulard, check.

 

 

Ils sont cons ces Ricains. Il aura suffi à Big Show de se faire offrir un billet par Daniel Bryan pour surgir du public, monter tranquillement sur le ring, faire un long discours et mettre KO le beau gosse patron de Reau et de Seumac dône. Tout ça sans la moindre intervention des mecs du service d’ordre. Quand tu vois ce niveau de sécurité aux États-Unis, tu comprends mieux le 11 septembre, Pearl Harbor et JFK. Bref, le Big Show a remercié le public, a dit qu’il n’avait plus rien à perdre mais qu’il voudrait bien qu’on lui rende son job quand même, a crié YES et a disparu parmi la foule. Mais à la WWWE, tout va très vite. Pas le temps de réfléchir à l’intervention du Géant que le commentateur annonce déjà que CM Punk va rencontrer un certain Big E Langston. D’ailleurs, à ce propos, j’ai un truc marrant à propos des commentateurs : je suis en mesure de révéler que cette merde de Christophe Agius ne commente pas vraiment le catch américain. Il le fait sur écran vert et les mecs rajoutent les images après comme dans Astérix. Et je le sais parce que dans l’émission, on voit bien qu’il n’est pas là du tout, même pas à cuver son Ricard dans un coin.

 

 

La drôle de manière du Big Show d’essayer de récupérer son job

 

 

Revenons-en à CM Punk. Un sacré catcheur, il faut bien l’admettre. À l’époque où je régnais sur le catch mondial, il aurait facilement été dans les dix premiers, peut-être même dans le top five. Mais je sais pas, y a un truc qui me dérange un peu chez cette merde. Déjà, j’ai pas connu son père. Et puis… J’arrive pas vraiment à faire confiance à un type qui picole jamais. L’idée qu’un être humain soit capable de refuser un verre de pinard avec son camembert ou un Ricard quand le thermomètre grimpe, ça me dépasse. Et pour tout dire, je trouve ça un peu malsain. Mais sur le ring, il a des couilles.

 

J’ai pas tout de suite compris qui était son adversaire. Au départ, j’ai cru à une belle négresse musclée avec une paire de seins comme des obus, avant de comprendre que non, c’était bien le dénommé Big E Langston. Mais quel rival, qui a très bien travaillé avec le Best in the World pendant les quelques minutes de leur duel. Les deux gars ont fait un boulot impeccable qui m’a un peu rappelé le combat entre Laurent Vaillant et le Pâtissier de Vincennes cet été, la technique et le courage contre la force brute et la détermination. Chapeau à Big E Langston qui ne sort pas affaibli de sa défaite sur Go to Sleep et mérite d’être revu ; et bravo à CM Punk, fidèle à lui-même et adversaire parfait pour ce néo rookie qui fait forte impression par sa rapidité d’exécution. Cette grosse merde de Ryback pourrait s’en inspirer. Tiens d’ailleurs, justement : après le match, surprise, un gros lard nommé Paul Heyman s’est pointé avec le dénommé Ryback et un autre type encore plus transparent que Casper et dont j’ai aussitôt oublié le blase. La fine équipe a tenté de s’en prendre à CM Punk, mais Big E, encore lui, a fait le ménage sur le ring.

 

 

Il y a désormais un visage à ce sentiment de regret qui nous anime quand on repense aux matchs entre CM Punk et Ryback.

 

 

Après ce très bon match, un gars qui se fait passer pour un Mexicain est venu faire son petit discours habituel du Champion du monde qui n’a peur de personne. Je le connais bien ce mec, c’est mon père qui a fait débuter le sien au Madison Square Garden devant 50 000 personnes. Il ne s’appelle pas Alberto Del Rio mais Albert River. C’est un Américain qui joue un rôle de Mexicain, les étrangers sont bannis de la WWEF par les syndicats. C’est comme la petite sirène, Ariel. C’est pas vraiment une sirène, c’est un rôle. Bon ok, c’est un peu con, c’est un dessin animé. Mais prenez par exemple Superman. C’est un Américain qui joue un mec qui vient de Krypton. Ça n’a rien à voir. Bref, le « Mexicain » a prononcé les mots habituels en ce genre de circonstances : John Cena, t’as perdu la tête en me défiant, moi le Champion poids lourds, alors que t’es tout juste convalescent après deux mois d’arrêt. Tu sais ce que je vais faire à ton bras ? Et hop, Albert River a chopé l’interviewer et lui a infligé une clé de bras insoutenable. Un truc que je regrette de pas avoir essayé sur mon nain.

 

 

L’acteur qui interprète le Mexicain a d’ailleurs un peu trop insisté sur le maquillage.

 

 

À propos de nain : on reproche souvent aux Français de ne pas être au niveau de leurs homologues américains en terme de catch, de sens du spectacle, mes couilles. Mais moi, en France, j’ai jamais vu un nain déguisé en petit taureau donner un coup de cornes sur le cul d’un adversaire. On a déjà Peter Fischer, merci bien. Zeb Colter en a fait les frais, juste avant que ses protégés s’inclinent contre les frères Usos. Dommage d’ailleurs, je les aime bien ces Real Americans. Pour leur parler-vrai qui défrise les bobos et toutes ces merdes. Bien vu d’ailleurs de faire croire que Cesaro est d’origine Suisse, ça donne l’impression d’une ouverture sur le monde. C’est à ce genre de petits détails qu’on voit que les syndicats ont aussi leur mot à dire dans les scénarios de la EWW. Mais comme je refuse de commenter un match dont le héros est en nain, passons enfin au clou du spectacle.

 

 

Ne rigolez pas. La feud contre Hornswoggle, ce n’est qu’une question de temps.

 

 

Disons-le sans perdre de temps : c’est un match splendide qui apporte à ce bon épisode de Seumakedone un petit supplément d’âme. Une bonne raison de le voir. Je n’ai pas pu m’empêcher de rigoler quand j’ai vu débarquer le transsexuel avec son vison et sa perruque blonde, mais alors attention, sur le ring ça dépote ! Et puis il y a le petit Bryan… Une barbe de mendiant que même un Rom n’oserait pas porter, mais quel talent ! Quelle capacité à emballer un combat et à se mettre la foule dans sa poche ! Et parlons-en du public. Aux anges, gueulant sa joie d’assister à un grand spectacle de catch. C’est pas chez ces merdes de la ICWA que vous verrez un truc pareil. C’était du niveau de mon match avec le Petit Prince et l’Ange Gris clair, une version torturée et un peu tweener de l’Ange Blanc, contre le Charcutier de la Villette, le Boulanger de Belfast et le Maçon de Lisbonne. Intense. Il faut dire que les trois gars du Shield ont de la repartie entre les cordes. Les trois loustics ont sorti un sacré combat, malgré la défaite sur un coup de genou lancé dévastateur de Daniel Bryan. L’action était constante, partout et sans temps mort. Un petit bijou offert à la dizaine de milliers de fans effervescents et éjaculant de concert lors du décompte de trois favorable à leur idole.

 

 

Darth Maul avec une perruque blonde, ça fait tout de suite beaucoup moins  "côté obscur de la force".

 

 

C’est Triple H qui va être content. Moi, en attendant, j’ai passé un très bon moment devant cet épisode que tout fan de la WWX verra sans s’ennuyer. Hell in a Cell approche, les pièces du puzzle s’assemblent. Et pour tout vous dire, tout ceci ne sent pas mauvais du tout. Du coup, je me ferais bien le prochain PPV. J’en parlerai à mon fils, il est polytechnicien.

 


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