La revanche du bulletin

I don't sip on brew, so this Bud's for you
Speak when spoken to whenever you come through
My vibes fill you, Internal your Revenue
You rhyme prostitute for little or no loot

Jurassic 5, The Influence

 

Alors que Extreme Rules 2013 aura été très loin de faire l’unanimité auprès de votre Rédaction favorite, confirmant la pente inquiétante que prennent les PPVs depuis le début de l’année,  le bulletin de notes est de retour avec la première édition de Payback ! Et le moins que l’on puisse dire, c’est que si l’été ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices chez Meteo France, du côté de Stamford c’est une tout autre histoire.

 

 

Ouais. Y'a du soleil comme ça chez eux.

 

 

Bulletin de notes de Payback 2013

 

I don't sip on brew, so this Bud's for you
Speak when spoken to whenever you come through
My vibes fill you, Internal your Revenue
You rhyme prostitute for little or no loot

Jurassic 5, The Influence

 

Alors que Extreme Rules 2013 aura été très loin de faire l’unanimité auprès de votre Rédaction favorite, confirmant la pente inquiétante que prennent les PPVs depuis le début de l’année,  le bulletin de notes est de retour avec la première édition de Payback ! Et le moins que l’on puisse dire, c’est que si l’été ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices chez Meteo France, du côté de Stamford c’est une tout autre histoire.

 

 

Ouais. Y'a du soleil comme ça chez eux.

 

 

Bulletin de notes de Payback 2013

 

 

Historique ! Enfin à l’échelle de la jeune histoire de ce bulletin, Payback est historique et frappe un grand coup pour son tout premier cru avec une note globale de 14,7, ce qui correspond tout simplement à la deuxième meilleure marque depuis les lancements du module lors du Royal Rumble 2012 (c’est-à-dire 17 pay-per-views). On est bien évidemment loin de l’intouchable TLC 2012 et de son étoudissant 15,6 de moyenne, mais la deuxième marche du podium est enfin mouvementée, détenue jusqu’ici par le 14,3 d’Extreme Rules 2012 vieux de plus d’un an. Un beau pied de nez quand on sait la déception qu’a représenté l’opus de cette année il y a maintenant un mois.

 

Mais au-delà de cette excellente moyenne générale, un autre fait d’armes étonnant est à mettre à l’actif de Payback 2013. En seulement sept matchs sur la carte principale (huit en comptant le « kick-off »), tous les titres de la fédération ont été défendus ! En effet, les six ceintures ont été mises en jeu, chose dont ne peuvent par exemple pas se targuer les deux dernières éditions de WrestleMania (seulement quatre à chaque fois). C’était arrivé deux fois en fin d’année dernière avec bien évidemment Night of Champions, mais également Hell in a Cell.

 

Sauf que là où Payback fait encore plus fort, c’est que sur ces six matchs pour un titre, trois ont vu le champion perdre son bien au profit du challenger ! Un prodige inédit sur ces deux dernières années.

 

 

– Él es el nuevo campeón de peso pesado de la WWE ! 

– Vas y encore, encore.

– Es la esencia de la excelencia !

– Ok maintenant crie mon nom.

– Él es… Ricardooooooooooooooooooooooooooooooooooo ROOOOOOOOOODRIIIIIIIIIGUEEEEEEEZ !!!!

 

 

Mais ce n’est pas fini ! Payback, c’est aussi la meilleure moyenne de notes des matchs avec 13,1 (***1/4), moyenne impressionnante au regard d’une carte bien fournie de huit combats. Comprendre ici que le show a été solide de bout en bout et n’a été nullement parasité par un squash sans intérêt, d’un match sanctionné d’un gimmick infame ou d’un preshow faiblard.

 

Puisque nous parlons du preshow, alors que la WWE nous avait habitués à une moyenne de six minutes, elle nous a offert sur ce créneau dix minutes d’action entre les deux rivaux, ce qui représente ici encore un record.

 

 

Damien aurait déclaré avant le match qu'il avait choisi cette couleur de slip parce que, je cite, Sheamus a une face de cul. Et de bite. Ce sont ses termes exacts.

 

 

Autre record, qui tiendra particulièrement à cœur à bon nombre d’entre vous, Payback a été le théatre de la meilleure prestation féminine de l’histoire du bulletin, mais surtout depuis des années à la WWE. Le championnat des Divas entre Kaitlyn et AJ Lee a récolté la note incroyable de ***3/4, écrasant le précédent record de *** détenue depuis Survivor Series 2012 par Beth Phoenix et…. Kaitlyn !

 

 

– Eh ouais connasse c'est moi la reu-sta en fait !

– Tu pu trop 2 la bouche Kait lol c cho 😡

– Mais…

 

 

Les deux rivales ont tout donné pendant presque dix minutes, ce qui est également un record, la moyenne pour les filles un dimanche soir se situant plutôt aux alentours des six minutes. Gageons pour tous les fans de catch féminin que ce pay-per-view marque un réel tournant pour cette division en perdition.

 

Enfin, pour finir sur les médailles à décerner à ce PPV hors du commun, sachez qu’avec 1h52 de catch, Payback détient le record de durée d’action entre les cordes (hors WrestleMania qui tutoie les deux heures mais avec une heure de show effectif en plus). Bref vous l’aurez compris, la WWE nous a gâtés !

 

 

Ah donc plus c'est long, plus c'est bon, on est d'accord finalement.

 

 

Rentrons maintenant un peu plus dans le cœur du show avec les matchs et les prix individuels, quand bien même le match féminin a déjà été abordé. Comme tout n’a pas non plus été parfait, il convient dans un premier temps de souligner que Payback fait malheureusement perdurer la série des matchs sous la marque des **** en 2013. Mis à part CM Punk contre l’Undertaker à WrestleMania, cela fait 38 matchs sur 39 qui ne passent pas la barre symbolique des ****, alors qu’à la même époque l’année dernière (en 39 matchs et 5 PPV), nous étions déjà à huit matchs primés « must-see ». La liste 2012 est d’ailleurs toujours consultable ici.

 

Le meilleur match de la soirée n’a pourtant pas à rougir de son ***3/4 . Si Alberto Del Rio et Dolph Ziggler ne passent pas la barre des quatre étoiles, ils le doivent sans doute au style peu conventionnel de leur match qui n’aura pas ravi tous les suiveurs au point d’aller taper dans le haut de la grille. Néanmoins c’est une excellente note qui vient récompenser un travail de fond de la WWE et des deux acteurs sur ce match, qui nous ont proposé, comme avec les filles, une leçon de storytelling. Si vous aviez encore des doutes sur le fait qu’un match de catch puisse raconter une vraie histoire, une de celles qui vous saisissent au corps et vous scotchent à l’écran, tant le récit qui se joue à coups de poings et de pieds vous transporte, alors allez revoir ce modèle du genre.

 

 

– Hey un billet de 10 boules, trop cool !

– AH CARAMBA ! Encore raté !

 

 

Le moins bon match est un concept bien relatif ici, car s'il doit être décerné mathématiquement au preshow pour le **3/4 récolté par Sandow et Sheamus (égalité sur l’arrondi avec Ambrose et Kane mais d’une courte tête derrière à 10,83 contre 10,90), il est pourtant tout sauf un vote sanction. Et cela est également valable pour la joute entre Kane et Ambrose pour la ceinture US. Ces matchs ne nous ont peut-être pas emballés au point de glaner trois étoiles, mais ils réussissent à se maintenir au-dessus de la moyenne car ils ont su parfaitement remplir leur rôle dans la carte.

 

Le Celtic Warrior et le sauveur barbu avaient pour objectif de préparer la foule pour le show principal. Difficile de leur retirer ce mérite avec une jolie passe d’armes de dix minutes ponctuée par un Brogue Kick toujours aussi efficace pour enflammer le public, aussi smart soit-il dans la banlieue de Chicago.

 

Dean Ambrose et Kane s’imbriquaient entre deux matchs forts en émotion (Kaitlyn/AJ et Del Rio/Ziggler) et devaient fatalement faire redescendre la pression en imposant un rythme plus lent, moins sollicitant pour le public. Ils ont pu profiter du temps imparti (presque dix minutes également), pour continuer à installer le personnage d’Ambrose et en protégeant l’aura de Kane. Ces arguments n’ont pas touché Major Tom (**) qui « ne considère pas que permettre aux spectateurs d'aller aux chiottes entre deux matchs intéressants soit un intérêt ». Pour autant, loin de lui l’idée de sanctionner, il considérait juste que ce match « ne mérite pas plus ».

 

 

Qu'il commence déjà par gérer son problème de pellicules avant de donner des leçons !

 

 

Alors que pour Kane & Barbu (***) ce match peut même prendre de la valeur avec le recul, n’hésitant pas à dire qu’il l’a trouvé « sous-évalué dans les analyses, probablement à cause du finish qui laisse un peu tout le monde sur sa faim ». Mais pour lui « C’était très solide, pas si lent (tu as un mec de 45 ans qui fait 2m10 dans l'équation quoi) il y a eu de bons moments de storytelling ». Il lui reconnait néanmoins des défauts comme  « l'absence d'enjeu, de build », mais n’hésite pas à lui donner *** alors qu’à chaud, cela aurait été plus **1/2 ou moins.

 

Ces deux points de vue nous montrent encore tout l’intérêt de notre approche qui rassemble tellement de sensibilités différentes qu’un match garde toutes ses chances s’il propose des qualités à mettre face à certains défauts criants. Et vous, qu’en pensez-vous cher CDC Universe ? (ça veut dire, allez commenter bande de mécréants).

 

 

Si comme Dean Ambrose, toi aussi tu penses que les comprimés Doliprane 1G sont impossibles à avaler sans les casser, viens partager ta douleur dans les commentaires.

 

 

Mais ce match trainera tout de même une casserole de plus, celle d’avoir mis en scène le GR8-K-LI de la session… Avec trois votes sur onze (dont trois abstentions, témoignant de la qualité et de l’homogénéité de ce PPV), Dean Ambrose est notre mini ceinture de plomb sur ce PPV, payant sans doute son supposé potentiel que certaines peinent à voir percer, sans doute à juste titre, depuis de nombreuses semaines. Kovax n’hésite d’ailleurs pas à dire que Dean ne l’a « pas marqué, alors que depuis des mois ses potes enchainent les meilleurs notes ». Silvernights abonde dans son sens en assénant que « depuis le début tout le monde se tripote la nouille sur lui, ses 30 min à nXt contre Punk ont fait bander les suiveurs marks, mais il ne confirme pas malgré des promesses évidentes ». Bref, une nomination qui sonne comme une mise en garde pour le supposé leader du Shield qui peine à faire l’unanimité quant à ses aptitudes de combattant solo.

 

Pour être parfaitement complet, sachez que John Cena a récolté le vote de lecharentais car « parce que le match était complètement nul et sans intérêt, et les stipulations mal exploitées ». Dieu merci Triple H ne combattait pas dimanche dernier ! Julius évite de faire un amalgame injuste impliquant mon héros et mon leader (/brandit les bras en l’air, casquette et armbands bien en place) et a voté pour la stipulation Three Stages of Hell (vote non retenu pour des critères évidents !) qu’il juge « ridicule et tue-l’ambiance ».

 

On notera enfin que parmi les seconds choix des rédacteurs (choix utilisés en cas d’égalité), Sin Cara qui a été nommé deux fois, par Kovax et Latrell, pour son incroyable passivité sur le crossbody de Cena sur l’intégralité des lumberjacks. Je n’ai pas de clip du moment précis mais n’importe quel résumé du match devrait vous permettre de revoir ce moment pour le moins… curieux.

 

 

 

Z'êtes prêts les gars ? A trois, on s'écarte tous et on en entendra plus jamais parler. 1, 2, ….

 

 

Le M-V-P maintenant ! Enfin, LA M-V-P devrais-je dire. Il va falloir commencer à décliner cette récompense au féminin maintenant car avec ce match incroyable, les filles sont revenues sur le devant de la scène, et nous n’espérons pas juste l’espace d’une soirée : la grande gagnante est AJ Lee !

 

Avec cinq votes sur onze, c’est un véritable plébiscite. Pas encore au niveau du triomphe de Chris Jericho pour son retour au Rumble (sept votes sur onze), c’est une victoire néanmoins plus  franche que tous les précédents lauréats que furent Mark Henry, Brock Lesnar ou encore The Undertaker, excusez du peu.

 

Axl, fan absolu de la geekette, était en extase devant sa prestation. Pour lui « on sait que c'est la meilleure actrice de la WWE, elle nous a rappelé qu'elle était aussi la meilleure catcheuse du roster ». Même son de cloche au sujet de la domination d’AJ sur les Divas chez BBM : « c'est elle qui porte la division des nanas depuis des mois, et elle a participé au meilleur match de divas depuis des lustres ». Kane & Barbu n’hésite d’ailleurs pas à rendre hommage à l’ensemble de l’œuvre de la Crazy Chick tout au long du PPV. Car si elle a participé au « meilleur match de Divas depuis un sacré petit bout de temps », elle a également pris part au match faisant étalage du « meilleur storytelling depuis très longtemps aussi », faisant référence à sa contribution non négligeable autour du ring lors du chef d’œuvre qu’a été Ziggler/Del Rio. Une prestation cinq étoiles !

 

 

Et par souci du détail j'ai même mis un short te permettant de savoir sur quelle fesse délicatement taper quand tu seras prise dans mon Black Widow!

 

 

Mais comme beaucoup l’ont souligné, ce triomphe est la résultante d’un match qui restera dans les annales à n’en pas douter. Et pour un bon match, il faut bien être deux, d’où une mention bien méritée à la douce Kaitlyn, qui aura tout de même été citée deux fois, par moi-même et Kovax bien évidemment. Pour ce dernier, même si « AJ n’a pas été étrangère à la qualité du match féminin », le choix du cœur a tranché mais pas seulement, car les doutes sur ce match avant le PPV la (Kaitlyn) concernaient elle et pas AJ ». En effet, Kovax souligne ici à juste titre que s'il y a bien une révélation à sortir de ce match, c’est que l’ex-championne n’est plus à prendre à la légère désormais et qu’avec du temps, une bonne histoire et une superbe adversaire, elle « sait se montrer au niveau de l’événement. ».

 

 

D'ailleurs, Kaitlyn aussi a participé à deux matchs, mais ça personne n'en parle comme par hasard !

 

 

Trève de blabla, passons maintenant à votre rubrique !

 

 

La parole est au CDC Universe !!

 

 

Et notre invité mensuel est un membre incroyablement actif du côté du forum depuis une poignée de mois à peine. Dans ce court laps de temps il a su faire son trou grâce à un style bien à lui et un humour à part, le propulsant même au rang de rédacteur du dimanche pour suppléer la Rédac quand tous ses membres étaient trop saouls pour prendre un Smackdown. Pour cette édition, il nous fait même la grace de troquer son clavier lituanien contre un clavier français pour ne pas m’écorcher les yeux de sa prose sans virgule ni accent, je veux bien évidemment parler de Seifer !

 

Comme prévu Jyskal, je te laisse Svetlana et je prends Veronika.

 

 

IC Title – Wade Barrett vs. The Miz vs. Curtis Axel : ***1/2 (Note Rédac : ***1/2)

Un très bon début, avec un Miz au sommet de sa forme. En revanche, Axel fut un véritable diesel, il mit beaucoup trop de temps pour trouver son rythme de croisière. Un match rythmé en général, un final bien préparé, même si Mizou aurait pu réagir plus tot.

Premier match et le gamin est déjà en ligne avec les gros membres de la Rédac. Je vois de grandes choses pour lui dans le futur.

 

Divas Title – Kaitlyn vs. AJ Lee : ***1/2 (Note Rédac : ***3/4)

Ça c'est de la pause pipi! Malgré quelques cafouillages de la part de la championne, il y a une belle alchimie entre les deux divas. Une belle histoire fut racontée dans le ring, j'attends le rematch avec impatience. J'ai peut-être surnoté, mais si je devais comparer aux autre matchs de divas, je mettrais 15 *.

L’enthousiasme autour des filles est partagé en Europe de l’Est aussi. Nul doute que si Aksana s’était invitée pour un Triple Threat, Seifer aurait revu sa copie pour au moins 30 *.

 

US Title – Dean Ambrose vs. Kane : **1/2 (Note Rédac : **3/4)

J'ai trouvé le match très, trop mou. Je pense que le style extravagant d'Ambrose ralentit le rythme. De plus, j'ai trouvé les bonhommes moins inspirés.

Le minot continue d’être peu ou prou sur la ligne de la Rédac, qu’on lui prépare un contrat.

 

 

Papa, ce slip est pour toi!

 

 

WHC Title – Dolph Ziggler vs. Alberto Del Rio : ***** (Note Rédac : ***3/4)

Bon en tant que Dolphin, je devrais être en deuil. Déjà Bebert me fait foirer le perfect aux pronos, et en plus sur mon chouchou, lui volant honteusement son précieux.

Mais je dois dire que l'histoire est subtilement amenée. J'ai toujours été persuadé que Dolph a le style pour être un grand Babyface et assister à ce double turn (je m'en suis rendu compte après le 1er nearfall de Del Rio), WM 17 style, ça me donne envie de voir mon divin petit protégé défoncer cet enfoiré de salaud de connard de latino (et je reste impartial). Et devenir le nouveau top guy.

Bon bah si tu intègres la Rédac un jour tu choisis, ton petit nom sera soit Ecco, soit Flipper.

 

Chris Jericho vs. CM Punk : ***1/4 (Note Rédac : ***1/2)

Une affiche prometteuse, mais le match le fut moins. Peut-être que j'en attendais trop, mais j'ai eu le sentiment que les deux se reposaient sur leurs acquis. Mais je dois reconnaitre que la foule fut excellente.

Difficile de lui en vouloir, le mat wrestling des deux hommes et leur tempo assez lent ne peuvent pas être du goût de tout le monde.

 

 

A Chicago, Punk se paye carrément le luxe de booker la fin de ses matchs avec le public.

 

 

TT Titles : The Shield vs. Team RKNO : **** (Note Rédac : ***1/4)

Le hic de ce match, c'est qu'on a énormément de grands matchs pour comparer. Du coup, j'ai cru voir un weekly de très grande qualité, mais ça n'est pas le meilleur match des 4. 3 des bonhommes (Rollins Reigns et Bryan) firent ce qu'ils savent faire de mieux, nous proposer du grand catch. Mais Orton nous sortit sa traditionnelle mécanique qui m'a blasé en plein match.

Randy Orton est un génie incompris.

 

WWE Title – John Cena vs. Ryback : ***1/2 (Note Rédac : ***)

Dans un ring, Ryback m'ennuie dans le meilleur des cas, et Cena est bien trop bridé face à un adversaire au moveset aussi limité. Le saut de Cena m'a fait rire tellement ça fait too much. Le hic pour le Tables Match, c'est qu'il n'y avait pas de suspense, ce fut presque ma pause pipi. Et l'autre hic c'est que ce match se passa EXACTEMENT comme je l'attendais, bref, le plus mauvais match de la soirée. L’Ambulance fut long au démarrage, mais la partie interactions avec l'ambulance était plaisante.

Trois heures de show consécutives sans pouvoir aller aux chiottes. C’est pas passé loin pour le Tables Match, mais on espère juste maintenant que le gamin n’a pas la même descente que Latrell sinon le PPV a dû être un véritable calvaire pour sa vessie.

 

 

Et c'est l'escalier qui passe… PAR DESSUS LA TROISIEME CORDE !!!!

 

 

Pour les awards, Seifer a choisi de récompenser un duo avec l’énorme travail abattu par Alberto Del Rio et Dolph Ziggler pour nous offrir un chef d’œuvre de narration intra cordes de catch ! En espérant qu’ils ne voient pas d’un mauvais œil le fait de recevoir chacun une demie statuette de M-V-P !.

 

Concernant la catégorie GR8-K-LI, Seifer reconnait la difficulté de la tâche devant la qualité globale du PPV (d’où nos trois abstentions dans l’équipe de la Rédac). Si il devait en choisir un, ce serait Curtis Axel pour son « retard à l’allumage » et le fait qu’il n’ait pas montré grand-chose à côté du Miz et Barrett qui ont vraiment « porté le match » selon lui.

 

Sa note globale est un magnifique 17 qui fait plaisir à voir ! Seifer a souhaité ici récompenser la formidable homogéineité de la carte d'un PPV de haute volée. Et c’est sur cet éclair d’enthousiasme et de bonne humeur que nous nous quittons donc et que je vous remercie tous de suivre cette chronique mensuelle. Croisons à présent tous les doigts (et d’autres parties plus obscures pour les plus souples d’entre vous) afin que la WWE poursuive dans la voie qui semble être la sienne depuis ce PPV et le RAW qui a suivi.

 

A dans un mois !

 

 

Quoi ?! C'est déjà fini ?? Putain non ça me donne envie de chialer…

 

 

NON JE DECONNE !!


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