Les récompenses de l’action non-stop et totale, crû 2012 (part2)

Cause you’re hot then you’re cold!

You’re yes then you’re no!

You’re in then you’re out!

You’re up then you’re down!

Katy Perry, Hot n Cold

 

Deuxième partie des awards 2012 de la TNA, et on va aborder aujourd’hui ce qui fait de la TNA une des plus efficaces montagnes russes de l’histoire : ses meilleurs moments et ses pires fails.  De Claire Lynch  aux shows en Angleterre, des voix de Jeff Hardy à la prise de titre d’Austin Aries, de la feud des Bischoff au mariage d’Eric Young et ODB, retour sur les moments saillants de l’année à Orlando, et ce toujours avec Wrestlingwithtext.

 

 

Non Velvet, tu ne sauras rien tant que tu n’auras pas cliqué !

 

 

TNA Awards part 2: meilleur moment et pire fail de l’année 2012

 

Cause you’re hot then you’re cold!

You’re yes then you’re no!

You’re in then you’re out!

You’re up then you’re down!

Katy Perry, Hot n Cold

 

Deuxième partie des awards 2012 de la TNA, et on va aborder aujourd’hui ce qui fait de la TNA une des plus efficaces montagnes russes de l’histoire : ses meilleurs moments et ses pires fails.  De Claire Lynch  aux shows en Angleterre, des voix de Jeff Hardy à la prise de titre d’Austin Aries, de la feud des Bischoff au mariage d’Eric Young et ODB, retour sur les moments saillants de l’année à Orlando, et ce toujours avec Wrestlingwithtext.

 

 

Non Velvet, tu ne sauras rien tant que tu n’auras pas cliqué !

 

 

TNA Awards part 2: meilleur moment et pire fail de l’année 2012

 

Pire fail :

 

Six votants pour cet award (Taiji, Major, Kakuma, Show, Totoboy et Papy) qui nous a demandé de nous rappeler le pire de ce que la fédération a produit cette année, ce qui demande un certain sens du masochisme. En effet malgré l’amélioration de la qualité du « produit » TNA à partir de l’après-lockdown, nous avons eu droit à de mauvais segments, des prestations indignes, et à des promos…. indéfinissables. On aurait ainsi aimé se passer du souvenir du Gutcheck  de Kris Lewie, de l’année pourrie d’AJ Styles, de la promo manquée d’Aries entérinant son heel turn juste avant BFG, des ratings médiocres alors que la qualité d’Impact s’améliorait et même selon Papy du départ baclé de Crimson (1 point ;). Un peu plus agaçant selon nos votants, Hogan massacrant à lui seul Aces and Eights, l’Impact Zone et son agaçant public, Storm qui remet bêtement son title shot en jeu face à Roode ont été sanctionnés en récoltant chacun deux points. A trois points, on ne retrouve que le concept de Championship Thursday qui n’a pas plus à Totoboy, et selon Showtime, les moqueries adressées à la TNA par Flair lors de sa deuxième intronisation au HOF. Mais c’est à partir de là que les fails commencent à réunir les voix de plusieurs personnes simultanément.

 

 

Epic fail: illustration.

 

 

Numéro 5, avec  4 points sur 35 maximum: Botchamania, by Robbie E

 

Ah ce Robbie E, qui mériterait quatre exemplaires de la ceinture de plomb à lui tout seul. En réalité il semble que ce soit l’ensemble de son année qui mérite cette place, mais il fut retenu le botch du rip-off de Zack Ryder à Hardcore Justice, ici en images.

 

 

Et c’est toujours impressionnant six mois après.

 

 

Voila, le type a saboté le seul truc qu’il avait à faire, et s’avère à peu près inutile à tout. Si jamais les ET débarquent à Orlando, qu’ils ne se gênent pas pour le prendre afin de faire des expériences et de poser des sondes anales, pas de souci. D’ailleurs y’en a d’autres qu’il pourraient emmener avec eux….

 

Numéro 4 ex-aequo, avec 7 points sur 30 maximum: La guerre des Bischoff/ les vieux prennent toutes les ceintures de la fédé

 

Ex-aequo entre deux terribles moments, la guerre des Bischoff opposant le père surexposé au gosse présenté comme le « futur » de la lutte mais pas vraiment doué et encore moins charismatique. On retiendra d’ailleurs le départ de Bischoff père qui déploie le même champ lexical que celui de Cena il y a quelques semaines… la merde un vecteur véritablement universel dans le catch.

 

Eh oui, aussi à la TNA on a des vieux et on les aime… pas. Non sincèrement la prise de pouvoir de Chavo, Hardy et surtout RVD (qui cumule les 7 votes contre lui) en a énervé plus d’un surtout vu la mollesse de la fédération depuis. Si Hardy s’avère il est vrai digne de son rang, RVD lui ferait mieux d’aller voir ailleurs si nous n’y sommes pas.

 

 

La réaction du CDC universe devant la prise de pouvoir de RVD.

 

 

Numéro 3, avec 9 points sur 30 maximum: I Hear Voices in my head…. Et j’en fait profiter tout le monde.

 

Enfin si Hardy assure dans le ring, niveau promos ça s’empire, puisque désormais nous entendons son monologue intérieur. Déjà qu’extérieur c’était pas glorieux mais là… Jeff Hardy, stoppe ça tout de suite, personne ne veut t’entendre parler et encore moins te croire suffisamment important pour partager tes pensées les plus intimes. Tu n’es pas le héros de la majorité d’entre nous. Enfin ces segments à la con auront au moins permis à Aries de s’en moquer, c’est déjà ça.

 

Numéro 2, avec 10 points sur 30 maximum: Robert Roode ne perd jamais… même au prix de finishers pourris.

 

Remember les finishs de Victory Road (Sting s’assommant sur une chaise) et celui de Lockdown (Storm qui expulse son adversaire hors de la cage avec un Last Call) ? Ben voila ce qui a pourri une bonne partie du début de l’année 2012 de la TNA : des finishs pourris et un champion très fortement décrédibilisé. De la TNA traditionnelle en quelque sorte. La fédération semble s’être durablement guérie de ce fléau, mais une vigilance maximale est de rigueur, on est jamais sûr, une rechute est toujours possible.

 

Et le pire du pire de cette année revient donc à :

 

Numéro 1, avec 27 (ou 31 selon le comptage) points sur 30 maximum: La Storyline Claire Lynch

 

 

Coucou !

 

 

Pas beaucoup de surprise, cette feud, la plus horrible de l’année toutes fédérations confondues a eu le mauvais gout de durer beaucoup trop longtemps, et encore on peut « remercier » la demoiselle ayant incarnée Claire d’avoir arrêté, même si cela venait du harcèlement qu’elle avait subi suite à ces prestations. Même si elle ne méritait pas cela, le soulagement à la suite de la fin de cette histoire fut trop énorme pour ne pas être signalé. Un acting digne des pires web-séries françaises actuellement visionnables, du nawak à n’en plus finir malgré Daniels et Kaz, à tel point que Show time a voté deux fois contre Claire, une fois pour son apparition et une fois pour sa réapparition, il a vraiment du la détester. Bon, elle est partie depuis près de six mois alors oublions là, rayons ce funeste angle de notre mémoire et rappelons nous désormais les meilleurs moments de 2012.

 

 

 

Meilleur moment :

 

Toujours les 6 mêmes votants, et une profusion de moments différents qui apparaissent ici. Enfin surtout parce qu’un moment en particulier a retenu l’attention, ce qui a aidé à diluer les résultats, puisque le numéro 1 a, comme prédit par Major, réalisé le perfect. Au rayon soulagement avec 1 point, Papy a apprécié le départ d’Anarquia et Kakuma celui de Claire Lynch. Avec 2 points, l’intronisation de Sting au HOF made in TNA, le retour de Storm après Lockdown, et l’accession de Joe au statut honorifique de Grand Slam champion, que j’ai personnellement kiffé comme un dû bien mérité. A 3 points, c’est l’embouteillage : on retrouve le spot de ninja d’AJ à Hardcore Justice (j’adore les ninjas), le retour (éphémère) des MCMG, le mariage d’EY et d’ODB, et le personnage de Joseph Park, qui émerveille les petits comme les grands.

 

 

Normal il imite très bien le bébé panda (non volant).

 

 

Numéro 5 (triple égalité), avec 4 points sur 30 maximum: Hardy gagne les BFG Series, Joseph Park blackhole slam Abyss et Aries se prend un twist of fate sur une échelle.

 

Une égalité entre trois moments placés numéro 2 par respectivement  Kakuma, Totoboy et Major Tom. Chacun parle ici avec son cœur, l’amour des spots énormes pour Major, celui des mouvements de malades inattendus pour Toto et… le fait d’être mark pour Kakuma.

 

Numéro 4, avec 5 points sur 30 maximum: l’arrivée d’Aces and Eights.

 

Citée par pas moins de trois personnes cette arrivée au milieu de l’année a soulevée beaucoup d’intérêt ne serai-ce que parce que l’angle a été géré un peu différemment de la majorité des stables, au moins au début. Et de temps en temps, voir Sting se prendre un beating, avouons-le ça fait plaisir, surtout qu’on l’aime bien le pépère mais il serait temps qu’il arrête.

 

Numéro 3, avec  6 points sur 30 maximum: Bobby Roode ne perd jamais… mais le plus souvent, c’est cool.

 

Oui je sais, c’est pas logique, logique. Et pourtant en y réfléchissant, on trouve une certaine continuité, car le run de Robert Roode a bien plus à nos suiveurs, tellement que toute scorie trop visible (et donc les finishers pourris à VR et Lockdown) ont été sanctionnés. Mais Roode a été si irréprochable dans son mic-skill, sa présence et a développé un heel si délétère que Showtime et Kakuma se sont sentis obligé de récompenser son squattage du main-event. Le It Factor, ça n’a pas de prix.

 

Numéro 2, avec 13 points sur 30 maximum: Les shows en Angleterre.

 

Aaaah, un VRAI public, de temps en temps, c’est si rafraichissant. Alors quand le public est nombreux, motivé à faire du bruit et à ENFIN nous changer  de la délétère Impact Zone, tout le monde est content. En tout cas, deux tiers des votants en ont parlé (moi, Major, Showtime et Papy), signe que ce move de la TNA était plus que bienvenu. Rien de penser aux quatre shows britanniques qui arrivent, j’en ai des palpitations.

 

Numéro 1, avec 30 points sur 30 maximum: Austin Aries devient champion du monde à BFG.

 

Aucun suspense, le meilleur feel-good moment de 2012 (la aussi toutes fédérations confondues comme le fail, la TNA a bien joué son rôle de montagne russe) a logiquement fait l’unanimité, et se place dans la continuité de l’année dernière ou c’était la prise de titre des deux ex de Beer Money qui l’avait emporté. Le CDC Univers, c’est officiel, aime les histoires qui se finissent bien et surtout les champions qui méritent justement leur couronnement. Espérons que 2013 permette encore à des outsiders très méritants (hmmm, Daniels au hasard) de découvrir le même bonheur.

 

 

Le Nirvana,même!

 

 

Voila pour ce deuxième volet, on vous laisse pour aujourd’hui. Demain on clôture avec la crème de la crème, la meilleure catcheuse et le meilleur catcheur. D’ici là,

 

 

contrairement à Ken, n’hésitez pas trop.


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