CDC Awards 2012 : meilleure catcheuse

Pffff, Mpffff, PROUT!

Le cul de Natalya

 

Cette année encore, ce sont les filles qui ouvrent le bal de notre édition des Awards 2012, et cette année encore, le constat est cruel : les Divas de Stamford demeurent la cinquième roue du carrosse tuné de la WWE. Pour le plus grand désespoir de l’auteure de ces quelques lignes qui doit son amour du catch à de jeunes femmes nommées Trish, Lita et Stephanie McMahon.

 

 

Art vivant: Kaytlin et Eve reproduisent la statuette des Slammy Awards.

 

 

CDC Award : meilleure catcheuse

 

Pffff, Mpffff, PROUT!

Le cul de Natalya

 

Cette année encore, ce sont les filles qui ouvrent le bal de notre édition des Awards 2012, et cette année encore, le constat est cruel : les Divas de Stamford demeurent la cinquième roue du carrosse tuné de la WWE. Pour le plus grand désespoir de l’auteure de ces quelques lignes qui doit son amour du catch à de jeunes femmes nommées Trish, Lita et Stephanie McMahon.

 

 

Art vivant: Kaytlin et Eve reproduisent la statuette des Slammy Awards.

 

 

CDC Award : meilleure catcheuse

 

 

Avant de nous lancer dans un rapide bilan de l’année – calamiteuse – des éléments féminins de notre fédération favorite de sport-divertissement, quelques mots sur la méthode que nous avons retenue cette année pour vous présenter notre série de récompenses prestigieuses et convoitées.

 

Alors que l’an dernier chaque membre de la rédac’ des Cahiers du Catch y allait de son petit paragraphe pour expliquer ses choix, nous avons cette fois-ci opté pour une voie plus sobre et surtout plus souple, moins lourde, au regard du nombre de rédacteurs participant à ce grand barnum annuel. Ainsi nous contenterons-nous de balayer la saison des Divas avant de vous dévoiler les résultats de notre vote. Quinze personnes ont participé au vote et ont proposé une liste de cinq candidates. La première classée se voit attribuée cinq points, la deuxième en bénéficie de quatre et ainsi de suite. TDS, si à ce stade tu ne sais toujours pas combien de points reçoivent les trois dernières de chaque liste, envoie-moi un email. À la fin, nous additionnons tout simplement les scores, manipulons les résultats, bourrons les urnes si besoin, et le tour est joué : celle dont je souhaite la victoire est élue Reine de l’année. Simple, et dans le respect de la tradition des votes internes du beau pays qui est le nôtre, de la rue de Solferino à celle de la Boétie (équilibre du temps de parole, check).

 

 

Rassurez-vous, Patrice Gélard, Président que la Cocoe (dans les narines, ah ah) a recompté tous les bulletins.

 

 

Mais avant de commencer, et pour mémoire, voilà ce qui était le palmarès en 2011 :

 

 

  1. 1. Beth Phoenix, 29 points sur 30 possibles
  2. 2. Natalya, 12
  3. 3. Kharma, 12
  4. 4. Les Bellas Twins, 10
  5. 5. Kelly Kelly, 7
  6. 6. Eve Torres, 6
  7. 7. AJ Lee, 5
  8. 8. Alicia Fox, 4
  9. 9. Michelle McCool, 2
  10. 10. Kaitlyn, Snooki, 1

 

 

Division féminine de la WWE, allégorie.

 

 

Karrément à Kôté de la plaKe, Katastrophique, Kataclysmique… ce sont les Kalificatifs qui nous viennent Katégoriquement à l’esprit au moment d’évoKer la triste année 2012 de nos Kopines les Divas. À tel point que le défi qui s’offrait aux rédacteurs planchant sur les Awards était de taille : trouver cinq candidates crédibles au titre de meilleure catcheuse. Car à force de subir des saignées répétées, le vestiaire féminin ressemble désormais à une sorte de désert où de vrais, mais rares talents côtoient des calamités comme Aksana, symbole de l’océan de médiocrité dans lequel les Amazones de Stamford pataugent et se noient lentement. Un simple coup d’œil à notre précédent palmarès suffit pour comprendre qu’on ne perd pas impunément ses éléments les plus valeureux. Ainsi notre podium de l’an dernier a-t-il sombré corps et âme : Beth Phoenix a fait ses valises, Natalya pète au bras de Khali et Kharma n’est plus qu’un lointain et fugace souvenir. Kelly Kelly a disparu disparu, les Bella Twins sont jumelées à d’autres fédés et Michelle McCool prépare des cookies au formol à son croque-mort de mari. Avant elles, Melina avait déjà pris la poudre d’escampette, tout comme Jillian Hall. Quant à Gail Kim et Mickie James, elles font aujourd’hui le bonheur des fans de l’iMPACT Zone. Ne reste aujourd’hui qu’une petite poignée de combattantes qui tournent en rond.

 

 

Au moins à Orlando, ce qui compte, ce sont les qualités techniques. Pas le physique des Knockouts.

 

 

Entendons-bien, ce ne sont pas les qualités intrinsèques de ces demoiselles court-vêtues qui sont en cause. À part la peste brune lettonne, toutes sont de remarquables athlètes ou détiennent des capacités techniques ou physiques susceptibles de les faire évoluer. Elles ne sont finalement que les victimes d’un booking désastreux couplé à un désintérêt presque total des décideurs de la hiérarchie de Stamford. Il suffit d’ailleurs de les voir évoluer en house show pour comprendre de quoi elles sont capables lorsqu’elles disposent d’une petite dizaine de minutes pour s’exprimer.

 

Un léger mieux est certes notable ces dernières semaines. Depuis l’arrivée de Sara Del Rey aux commandes de l’entrainement des filles, la WWE semble en effet avoir quelque peu changé son fusil d’épaule et paraît enfin convaincue de la nécessité d’offrir à ses guerrières des rings une exposition à la mesure de leur potentiel. Les progrès sont timides, mais indéniables : le temps d’antenne consacré aux affrontements augmente, de même que la qualité technique d’ensemble. Mieux, de jeunes pousses telles que Paige, formidable combattante du haut de ses vingt ans, devraient apporter un vent de fraicheur considérable à la division féminine de la fédération du Connecticut. Cette gamine brune au tempérament de feu, aux courbes agréables et au joli minois, devrait en étonner plus d’un lorsque les équipes de NXT la propulseront dans le grand bain des shows télévisés. Songez seulement que pour certains de ses pairs, elle est la meilleure Diva de la WWE, roster principal inclus. N’en doutez pas : si les petits cochons ne la dévorent pas, elle trônera bientôt à la première place de nos Awards au féminin.

 

 

Bonjour, je m'appelle Paige. Sara Del Rey veut que je reste un peu à NXT. Elle m'a dit que Eve, Kaitlyn, Natalya et AJ n'étaient pas encore prêtes à m'affronter et avait besoin de s'entrainer dur.

 

 

En attendant ce renouveau espéré et entrevu, 2012 aura ressemblé à une annus horribilis pour ces jeunes filles au sex appeal prononcé et à la poitrine généreuse. Les règnes se sont succédé dans l’indifférence quasi totale (Layla a par exemple détenu la ceinture de Championne pendant 140 jours sans briller) et les storylines les plus calamiteuses se sont enchainées, plongeant dans la consternation les suiveurs que nous sommes. Il n’est d’ailleurs pas anodin de constater que celle qui aura le plus marqué l’année n’a quasiment pas combattu lors des douze mois qui viennent de s’écouler : AJ est certes incontournable au moment de dresser notre prestigieux bilan, mais ce n’est pas par ses qualités techniques (pourtant formidables) qu’elle s’est distinguée, mais bien grâce à son personnage déjanté et sa capacité à interpréter une folledingue bipolaire.

 

Mais venons-en à l’essentiel.

 

 

Palmarès 2012

 

 

Promis, aucun vieux débris ne viendra taper l'incruste à nos Awards

 

 

Cinquième : Kaitlyn (avec 17 points sur 75 possibles)

 

Que de chemin parcouru depuis ses timides débuts sur les rings effectués en 2010 ! L’ex-concurrente de NXT, pataude, mal dégrossie et aux compétences plus que frustes entre quatre cordes, a en effet considérablement évolué cette année. Elle se hisse certes à cette très honorable cinquième place grâce à l’amour aussi aveugle qu’inconditionnel que lui porte notre ami Kovax (elle est le premier choix de son classement), mais on ne peut pas dire pour autant qu’elle fasse tache dans notre cuvée 2012. Cette puissante Diva âgée de seulement 26 ans a énormément progressé et ses nouvelles capacités techniques couplées à un potentiel athlétique qui crève les yeux en font une combattante sur qui il faudra compter à l’avenir. Ce n’est d’ailleurs pas par hasard si cette ancienne bodybuildeuse aux épaules de déménageur et au sourire enjôleur s’est vu offrir ces derniers mois un rôle de challenger officiel de l’actuelle titulaire de la ceinture de Championne, la sculpturale Eve Torres. Je m’avance peut-être un peu, mais je vois bien Kaitlyn remporter l’or mondial en 2013. Si cette prédiction se réalise, préparez-vous : la planète risquerait d’être emportée par un Tsunami de sperme Kovaxien !

 

 

Cleveland Steamer sur son adversaire, Kaitlyn est prête à régner sur la division féminine de la WWE.

 

 

Quatrième : Natalya (18 prouts sur 75 possibles)

 

La pauvre Nattie symbolise à elle seule la déliquescence de la division féminine de la fédération du Connecticut, ce qui n’est pas un mince exploit. Voir se débattre un des meilleurs éléments du vestiaire des Divas dans des storylines faites de pets malodorants, de nain débile et de géant indien à la limite du mongolisme et de la paraplégie, excusez-nous l’expression, mais ça fait mal au cul. Ce gâchis monumental lui vaut certainement l’indulgence de notre jury, car pour être honnête, il est difficile de trouver de quoi magnifier son année, calamiteuse en tout point. Sauvée par son talent naturel, sa technique très au-dessus de la moyenne et sa bonne humeur apparente, elle décroche une quatrième place essentiellement grâce à la miséricorde de Jyskal et d’Henri Death qui la classent tous deux en deuxième position de leur palmarès personnel. Par goût du prout ? Nous ne le saurons jamais, à moins qu’ils ne daignent expliquer ici les raisons objectives de ce choix plutôt surprenant. Certes, elle a délivré le match féminin de l’année contre Beth Phoenix, à SmackDown, mais c’est bien peu pour une Championne de son envergure. Espérons que 2013 sera un meilleur cru pour la Queen of Harts et qu’elle abandonnera définitivement ce rôle de clown en jupons qui ne lui sied guère. Dans le cas contraire, je pense qu’il faudra écarteler le responsable des ressources humaines de Stamford. Ou le livrer en pâture à Hornswoggle et Khali. Le plus paradoxal dans cette affaire, c’est que Natalya est également présente dans notre sélection de la Ceinture de Plomb, ce qui en dit long sur l’état dans lequel se trouve la division des meufs.

 

 

Il lui manque certainement entre deux et trois tailles de soutif'

 

 

Troisième : Beth Phoenix (34 points sur 75 possibles)

 

Après s’être largement imposée l’an dernier, avec 29 points sur 30 possibles, la Glamazone devra se contenter d’une très honorable troisième place en 2012. Pourtant, il est encore une fois difficile de lui reprocher quoi que ce soit sur le ring ou en dehors. Peut-être a-t-elle tout simplement pâti de sa décision de s’accorder une pause, que l’on espère aussi courte que le sexe purulent de Major « Midget » Tom. L’année de Beth avait bien commencé, puisqu’au mois de janvier, la musculeuse catcheuse est encore sertie d’or. Mais déjà, nous sentions l’amertume poindre dans le discours d’une Championne qui n’hésitait pas à déclarer qu’elle resterait propriétaire de la ceinture des Divas à vie, faute d’opposition digne de ce nom. C’était mal connaître Vince, qui la priva de son titre en avril, au bénéfice d’une des deux Bellas. Il s’agissait bien entendu de propos purement kayfabe, mais qui n’auraient pas détonné dans une interview shoot. Dépossédée de son bien, elle échoua dans son opération de reconquête à deux reprises, d’abord à No Way Out puis à Over The Limit, avant d’entamer une surprenante série de défaites qui laissaient présager du pire. Et effectivement, à la fin du mois de septembre, la plus talentueuse athlète du roster féminin annonçait son intention de s’octroyer une pause afin de passer un peu plus de temps auprès de son compagnon retiré des rings. Beau joueur, Vince a accordé à Beth un départ en beauté, ce qui n’est pas toujours le cas avec celles et ceux qui décident de faire leurs valises, et ce n’est pas Lita qui nous contredira : le 28 septembre, la Glam était l’auteure d’un match époustouflant contre Natalya, qu’elle remporta devant son public de Buffalo. Espérons qu’elle se lassera vite de boire du thé au coin du feu en devisant de philosophie avec Edge et qu’elle reviendra rapidement. Sa troisième place prouve qu’elle nous manque déjà.

 

 

Elle a pourtant mis toutes les chances de son côté pour triompher à la WWE.

 

 

Deuxième : Eve (avec 56 points sur 75 possibles)

 

Classée sixième en 2011, la ravissante et pulpeuse chiennasse latino a cette année explosé le plafond de verre qui la séparait des cimes de la fédération de Stamford. Elle aurait même fait une très respectable lauréate de notre trophée jalousé si une Dingo Volante Non Identifiée n’avait pas marqué la WWE de son empreinte de siphonnée du bocal. Jugez plutôt : Championne depuis 104 jours à l’heure où sont écrites ces quelques lignes, Eve est devenue cette année la première gadji à remporter par trois fois la ceinture des Divas. Le titre est certes récent, mais la performance est d’autant plus notable qu’elle totalise déjà, à 28 ans, 244 jours de règne cumulés. Seule Maryse a fait mieux avant elle (265 jours, deux titres) et là, vous me direz fort justement que ce n’est pas une référence. Ce à quoi je vous répondrai que c’est malheureusement le propre de la division féminine : honorer des cruches nullissimes pour mieux brouiller les pistes.

 

 

CDC Award du sourire le plus naze de 2012.

 

 

Ne faisons pas la fine bouche, Eve est une Championne bien plus crédible que la Canadienne siliconée au talent plus qu’incertain. En 2012, elle a été de tous les bons coups (à défaut d’en être un, ah ah) : omniprésente en début d’année, aux côtés de John Cena et de Zack Ryder, elle a habilement su jouer de son heel turn pour imposer son personnage de pétasse fourbe et machiavélique attirée par le lustre du pouvoir. Tour à tour conseillère très spéciale de John Laurinaitis à Raw et assistante de Booker T à SmackDown, Torride Torres s’est révélée experte en tirage de ficelles en coulisse, jusqu’à s’installer au sommet de la hiérarchie de sa catégorie. Ajoutez à cela qu’elle dispose d’une technique tout à fait honnête quoiqu’un peu brouillonne, et vous comprendrez pourquoi la hoeski préférée des enfants se pavane à la deuxième place de notre sélection. Et quand vers elle vos désirs partent en caravane, ses yeux sont les citernes où boivent vos ennuis, bitches. Baudelaire l’aurait kiffée, cette garce calculatrice.

 

 

And the Winner is…

 

 

Première place : AJ Lee (avec 58 points, sur 75 possibles, doit-on vous le rappeler ?)

 

Vince soit loué, la Crazy Chick s’impose comme Diva de l’année, ce qui m’évite de truquer les résultats du vote tel un improbable croisement entre Tartine au Brie et Jean-Filou Co-Pet. Il s’en est certes fallu de peu, la faute à des hérétiques comme taiji77, qui ne lui accorde aucun point (que dix générations de taiji brulent en enfer), ou Jyskal qui ne lui en octroie qu’un (qu’on le pende avec les tripes de Monseigneur Vingt-Trois le jour de la Révolution verte et rouge), mais AJ triomphe finalement avec deux petits points de plus que sa concurrente Eve Torres. Cette victoire est paradoxale : après tout, la déglinguée du cerveau n’a pas catché de l’année ou presque. Mais celle qui a emballé une bonne moitié du vestiaire masculin aura tant marqué l’année de son aura, aura tant influé sur le cours de l’Histoire de la WWE en 2012, qu’elle méritait amplement cette récompense planétaire.

 

C’est un choix somme toute naturel, mis à part pour quelques esprits dérangés (dont je tairai le nom par charité) qui souhaitaient qu’elle fasse partie de la liste des prétendantes à la ceinture de plomb au même titre qu’Aksana et Khali. Pauvres fous ! Que n’ont-ils pas compris que sans la petite brunette à l’allure trop infantile pour être honnête, l’année n’aurait pas tout à fait été la même ? À Raw ou en PPV, cette gracieuse jeune fille complètement détraquée a imposé son charisme naturel, a fait et défait les carrières des uns et des autres, sans oublier de briser les projets de vie d’un barbu bien trop sentimental pour être réellement très méchant.

 

 

Daniel who? John What ? Non, je ne vois vraiment pas. L'amour de ma vie, c'est Brolf Chizler.

 

 

Pour un baiser de sa dulcinée, Daniel Bryan a perdu son titre en dix-huit secondes, à peine plus que le temps nécessaire au Charentais pour assouvir ses pulsions sexuelles les plus malsaines. Trompé par la femme enfant au corps fragile et gracile, John Cena en personne a vu ses rêves de mallette bleue se fracasser avec violence sur le tapis d’un ring, à Tables, Ladders & Chairs 2012. Trahi par celle qu’il aimait, l’American Dragon s’est fait planter en beauté au moment où sa promise s’apprêtait à lui hurler YES, lors d’une cérémonie de mariage encore dans toutes les mémoires. Le sombre Kane a été ébranlé à son tour. Et CM Punk lui-même a vacillé quand il fut confronté au charme vénéneux et peut-être bien vénérien de cette invétérée porteuse de Converse. La Crazy Chick a traversé l’année en gambadant nonchalamment jusqu’à la première place de notre podium. Elle lui fait honneur et s’y réinstallera probablement l’an prochain, tant le talent de cette gamine crève l’écran. Merci AJ, grâce à toi, ta fraicheur et ton jeu d’actrice irréprochable, la respectabilité des Divas est sauve. Et j’ai revu en toi un peu de Stephanie McMahon. Rien que pour cela, notre trophée ne pouvait t’échapper. J’aurais tué si nécessaire pour que tu t’imposes.

 

 

There's a lady who's sure all that glitters is gold
And she's buying a stairway to heaven.

 

 

Palmarès 2012 complet

 

  1. 1. AJ Lee, 58 points sur 75 possibles
  2. 2. Eve, 56 points
  3. 3. Beth Phoenix, 34 points
  4. 4. Natalya, 18 points
  5. 5. Kaitlyn, 17 points
  6. 6. Layla, 12 points
  7. 7. Tamina, 5 points
  8. 8. Naomi, 4 points
  9. 9. Kharma, 2 points
  10. 10. Bella Twins, 1 point

 

 

Pour conclure, un dernier mot sur le bas du classement. Il est assez anecdotique : Tamina est le plus souvent aux abonnées absentes, Naomi a bien plus dansé que catché, même si elle ne s’est pas loupée pour ses grands débuts à TLC, Kharma n’a qu’un match dans ses bottes de cuir (le Rumble), tandis que les Bella Twins ne sont plus qu’un lointain et double souvenir. Seule Layla aurait certainement mérité une place sur notre podium à cinq, aux dépens de Natalya, sauvée par sa réputation plus que par son bilan. L’Anglo-Marocaine peut se vanter d’avoir effectué un retour en fanfare (elle est sacrée championne à Extreme Rules) et de détenir le plus long règne de l’année, avec 140 jours parée de la ceinture consacrant les Divas de Stamford. Toujours aussi dynamique in ring et talentueuse en dehors, notamment aux commentaires, elle est désormais une valeur sûre de la WWE. Mais que voulez-vous, mes collègues de la rédaction sont un peu bêtes.

 

 

Le palmarès des années 2009 et 2010 :

 

 

2010

 

1. Michelle McCool, 21 points sur 25 possibles

2. Natalya, 17

3. Layla, 16

4. Alicia Fox, 9

5. Beth Phoenix, Naomi, 3

6. Eve Torres, Melina, 2

7. AJ Lee, Gail Kim, 1

 

 

2009

 

1. Michelle Mc Cool, 30 points sur 35 possibles
2. Melina, 17
3. Mickie James, 14
4. Beth Phoenix, 12
5. Natalya, 10
6. Alicia Fox, 9
7. Maryse, 8
8. Kelly Kelly, 3
9. Jillian Hall, 2

 

 


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