I hate everything about you
Everything about you
Everything about you!
Ugly Kid Joe, Everything about you
En 2011 comme chaque année, on s’est cordialement haï à la WWE, et on s’est copieusement cogné dessus pour bien le montrer. Et c'est ça qu'est bien.
– Heu… C’est pas cool, la haine… Rise above hate, tout ça…
– John…
– Oui?
– FERME TA GUEULE !
CDC Awards, feud de l’année
I hate everything about you
Everything about you
Everything about you!
Ugly Kid Joe, Everything about you
En 2011 comme chaque année, on s’est cordialement haï à la WWE, et on s’est copieusement cogné dessus pour bien le montrer. Et c'est ça qu'est bien.
– Heu… C’est pas cool, la haine… Rise above hate, tout ça…
– John…
– Oui?
– FERME TA GUEULE !
CDC Awards, feud de l’année
C’est probablement le classement le plus compliqué à réaliser, tout simplement parce qu’il est souvent malaisé de dissocier clairement les feuds les unes des autres. Si certaines sont nettes, et opposent deux catcheurs pendant un certain laps de temps avant de prendre fin d’une façon indiscutable, d’autres ont des frontières floues, concernent au fil du temps plusieurs catcheurs différents, empiètent sur d’autres rivalités auxquelles elles finissent par se mêler, etc.
C’est pourquoi nous avons choisi de considérer, pour le classement général, que les réponses « Punk vs Cena », « Punk vs WWE » ou encore « Summer of Punk » étaient identiques, même si ces concepts ne recouvrent peut-être pas intégralement les mêmes événements d’un bout à l’autre.
Casse-toi, sale con.
Classement 2010
1) Nexus vs WWE et Cena, 25 points sur 25 possibles
2) Cena vs Batista, SES vs Rey Mysterio, 12
4) Bryan vs Miz et Cole, 10
5) Sheamus vs John Morrison, 6
6) Undertaker vs HBK, Triple H vs Sheamus, 4
8) Hornswogle vs Soaring Eagle, Hart vs VKM, 1
Classement 2009
1) CM Punk / Jeff Hardy, 30 points sur 35 possibles
2) Chris Jericho / Rey Mysterio, 23
3) Triple H / Randy Orton, 17
4) John Cena / Randy Orton, 8
5) Chris Jericho / Hall of Famers, 7
6) Matt Hardy / Jeff Hardy, DX / Priceless, Rey Mysterio / Dolph Ziggler, Shawn Michaels / JBL, 3
10) Christian / William Regal, CM Punk / Undertaker, Edge / John Cena / Big Show, 2
13) Randy Orton / Kofi Kingston, Sheamus / Goldust, 1
You’re either Nexus, either pas dans la Feud of the Year.
Les votes
Axl
1. Punk contre le monde
1. Bien curieuse feud que la feud de l’année, en vérité ! On ne sait pas trop qui étaient exactement les adversaires ciblés par Punk, et on peut regretter beaucoup de choses concernant son déroulement, mais ces récriminations sont mineures par rapport à l’impact gigantesque que cette guerre ambiguë livrée par CM Punk à l’hypocrisie a eu sur le business. Que la feud ait été illuminée par deux magnifiques matchs entre Punk et Cena finit d’emporter la décision.
2. Orton contre Christian
2. En début d’année, Randy Orton avait fourni à CM Punk une feud très correcte dans le ring, constellée de plusieurs affrontements en un contre un. Celle-ci fut encore meilleure : les matchs ont été merveilleux, et l’histoire racontée parfaite. Au départ, les deux hommes sont face. Puis Christian se rend compte qu’Orton est plus fort, qu’il ne peut pas le battre à la loyale. Il turne, car il est prêt à tout pour récupérer ce titre acquis de très haute lutte. Orton est poussé dans ses derniers retranchements, mais parvient à vaincre malgré tous les efforts de Christian. Qui finit par obtenir une stipulation ultra-favorable (il gagnerait le titre même sur DQ) dont il parvient à profiter, mettant en évidence sa supériorité de cérébral froid sur l’impétueux Orton. Encore un match : les deux hommes se connaissent parfaitement, ils ne contrent plus seulement leurs prises respectives, ils contrent leurs contres ! Orton gagne, il redevient champion. Et un dernier pour la route, toujours aussi bon (je raconte tout ça de mémoire, hésitez pas à me corriger en cas d’erreurs), et qui institue définitivement la primauté de la Vipère. La feud a été splendide dans le ring, et très solide dans son histoire, simple mais très efficace. Vivement que les deux hommes reviennent de blessure, je serais plus que ravi de les voir se livrer one more match !
3. The Rock contre Cena
Pas le moindre match ici, mais l’importance de cette feud est vertigineuse. La guerre symbolique inter-générationnelle qu’elle a déclenchée est fondamentale. Les promos des deux hommes ont généralement tapé juste (même s’ils auraient pu éviter les vannes homophobes de CP). La star d’hier contre celle d’aujourd’hui, c’est un peu la feud de rêve sur le papier, et elle mérite bien le podium (mais pas plus haut étant donné la faible présence du Rock).
4. Mark Henry contre le Big Show
Comme dans le cas Orton-Christian, plus encore même car ici il n’y a pas eu de turn : une feud simple, où les deux hommes ont des motivations parfaitement claires et jouent très bien leur rôle. Henry s’était décidé à enfin devenir le monstre qu’il aurait toujours dû être, et pour cela, il avait détruit les plus puissants des adversaires que la WWE pouvait lui offrir. Une fois les monstres à l’hosto, il avait écrabouillé Randy Orton en personne, parfaitement clean, pour devenir champion du monde. Sauf que le Big Show revenait de blessure, ivre de colère, assoiffé de vengeance, et se disait que lui aussi ça faisait un bail qu’il faisait le clown, alors que son gabarit aurait dû lui garantir un palmarès à faire baver d’envie Triple H. Le clash des titans était inévitable et, cette fois, il était bien amené, à l’inverse de leurs affrontements passés. J’ai notamment adoré leur match à Vengeance, où le spectaculaire spot lesnarien final avait été superbement amené. J’aurais d’ailleurs aimé que les deux mastodontes finissent par comprendre tout ce qu’ils ont en commun et passent une alliance concrétisée par une tag team heel surpuissante et durable, ce qui serait une façon élégante de les remercier pour leurs efforts et de les sortir de la title picture. Qui sait, ça pourrait encore arriver… En tout cas, j’ai aimé cette feud, il y a quelque chose d’indiscutablement envoûtant quand deux telles forces de la nature entrent en collision.
5. R-Truth (et le Miz) contre la conspiration
Ce qui partait comme une aimable plaisanterie a tourné au fil rouge de l’année, Truth finissant par attirer Miz dans son délire, pour une tag team que j’ai adorée, et qui mine de rien a laissé son empreinte sur l’année 2011. Truth a été proprement brillant, Miz a été aussi awesome que toujours, et même si on a eu du mal à croire qu’ils représentaient une menace suffisante pour justifier le risible walkout, les deux hommes en ont bien fait baver à la conspiration – vous savez, ce truc que font les conspirateurs quand ils se retrouvent autour d’une table de conspiration dans leurs locaux de conspirateurs !
– Kchh… Punk… Ce n’est pas très poli de mettre tes pieds sur la table… Kchhh…
– Ca va hein, si on doit attendre que votre champion apprenne à faire une croix sur la feuille, autant que je me mette à l’aise.
Julius Ostermark
1. Summer of Punk
Disons, de la promo inaugurale jusqu'au retour de Punk avant Summerslam. Un petit sentiment d'inachevé, même si les graines qui ont été semées n'ont pas encore toutes été récoltées. Mais bon sang, quel pied !
2. Christian vs Randall Orton
Quatre fois de suite le même match 1vs1 en PPV, et pourtant pas de lassitude tant chaque protagoniste tenait bien son rôle. L'excellente alchimie entre ces deux-là dans un ring y est bien sûr pour beaucoup.
3. Edge & Christian vs Alberto Del Rio
J'ai beaucoup de mal à choisir les feuds de l'année : la WWE découpe beaucoup ses histoires, il y a des interventions d'une tierce personne, des interruptions dans l'histoire qui reprend plus tard… Pas facile d'identifier des arcs narratifs très précis finalement. Cette feud aura quand même été assez marquante, par la qualité des participants d'abord, et puis parce qu'il y a eu, un temps, de l'incertitude sur le rôle de Christian, avant de le voir prendre le relais d'Edge… Compliqué, mais bien mené.
4. Cody Rhodes vs Rey Mysterio
Une feud intéressante, mais surtout, c'est vrai, pour le développement du personnage de Cody. Elle nous a quand même offert aussi de bons matchs !
5. Truth vs the Conspiracy
Une histoire qui a pris plusieurs formes, mais qui a été agréable à suivre grâce à son héros principal, qui nous a bien amusés avec ce personnage de cinglé paranoïaque.
– T’as bien compris, hombre ? D’abord tu jobbes pour moi, puis tu jobbes pour Christian, et ensuite tu te barres de Smackdown.
– Ouais, et embarque ton gros Brodus avec toi, je suis sûr qu’il va faire un carton à Raw.
Kovax
1. CM Punk / WWE
2. Christian / Randy Orton
3. Zack Ryder / Dolph Ziggler
4. Cody Rhodes / Rey Mysterio
5. John Cena / The Rock
CM Punk contre Vince, puis Cena, puis Triple H et maintenant Laurinaitis est le moment fort de Raw, grâce au talent du straightedge tant sur le ring (où il est génial) qu'au micro (où il est divin). J'aurais aimé que le côté anti-conformiste de Punk soit encore plus poussé, mais ce qu'on a là est déjà formidable. Christian contre Orton est un autre choix logique, puisque cette rivalité a fait les beaux jours de Smackdown, mais je lui donne ces quatre points plus pour la qualité des matchs entre les deux hommes que leur histoire: je suis toujours un traumatisé du règne de deux jours de Christian, d'un Heel-turn qui me reste encore un peu en travers de la gorge (même si j'aime bien le personnage Heel actuel de Captain "One More Match" Charisma) et du Face-turn le plus forcé de la galaxie en la personne d'Orton. La feud Ziggler/Ryder mérite ses trois points car c'est la première qui a lieu essentiellement hors des shows de la WWE: elle est née et s'est développée dans le show YouTube du Long Island Iced Z, et a permis à Ryder d'avoir son push tant désiré, mais aussi (et on l'oublie un peu vite je trouve) de servir de terrain d'entraînement à Dolph, qui s'est grandement amélioré au micro grâce à ce show. Rhodes/Mysterio est une rivalité du début de cette année, mais elle a donné de superbes matchs, tout en contribuant à faire de Cody Rhodes la superstar établie qu'il est maintenant. Quant à la guéguerre entre Cena et le Rock, je lui donne un point pour les promos sympa (le rap de Cena notamment) qu'elle a fournis au début, même si j'avoue ne pas être d'une impatience folle pour ce main-event de Wrestlemania annoncé un an avant l'heure…
Christian-Orton, c’était tellement bon que même les Xuldors, une civilisation super-évoluée résidant dans une galaxie à un milliard d’années-lumière de la Terre, ont ouvert un portail inter intersidéral exprès pour ne pas rater le match.
Lecharentais
1. Summer of Punk
J'y consacrerai bientôt un article, donc je n'y reviens pas, mais difficile, voir impossible, de contester l'aspect culte de cette feud à plusieurs participants.
2. Orton vs Christian
Un tweener psychopathe et un heel vicieux, deux lutteurs remarquables ayant tous les deux un sens du timing irréprochable et une exécution impeccable: certes, la feud a été (trop) longue, mais que de moments épiques! Coups de vice, spots spectaculaires (remember le RKO sur les marches), pas un botch à se mettre sous la dent, n'en jetez plus!
3. Barrett vs Orton
A bien y réfléchir, les deux feuds ont des points communs, car même si Barrett a quelques caractéristiques de powerhouse, il reste un catcheur au moveset sans limite, extrêmement précis, et ses rencontres avec Orton ont largement égayé la fin d'année de Smackdown. Barrett a déjà les attitudes et le talent d'un Ring General, et il semble promis à un très brillant avenir, car tout le monde n'a pas été aussi efficace face à Orton ou Cena…
4. Ziggler vs Ryder
La feud, en elle-même, n'a pas été exceptionnelle. Ziggler est bourré de talent, mais Ryder est ce que l'on pourrait appeler en football "un bon joueur de L1". Reste que cette feud est fort intéressante par ses implications, puisqu'on a un catcheur assez limité qui a fini, grâce à la pression du public, par atteindre le upper-midcard en remportant au passage un titre qui compte aux yeux du public. Cette feud, c'est un peu le symbole McMahon contre Internet, peut-être aussi le symbole, par extension, de la prise en compte de plus en plus importante de l'avis des internautes par la WWE, ce qui pourrait augurer de grands bouleversements en 2012…
5. The Rock contre Cena
Il en faut bien une cinquième, alors faute de mieux et étant un grand fan de The Rock, je me fais un petit plaisir coupable en nommant cette feud, qui par ailleurs n'a pas eu grand intérêt, je l'admets bien volontiers.
You can’t see me, you can’t see… hey, mais j’ai une super ligne de vie, moi ! Et ma ligne de chance, énorme ! Et ma ligne d’amour alors !
Silvernights
1. Christian-Orton
Quatre mois de rivalité, cinq matchs de pure anthologie, de régal des smarts avec une psychologie qui évoluait en fonction des circonstances, un moveset de Christian qui a changé au fur et à mesure de son turn (moins de moves de highfly réussis qui font hurler la foule, un jeu totalement différent), des combinaisons de coups construites à chaque fois différemment comme une méta-histoire entourant la feud, deux catcheurs de génie qui se découvrent une alchimie qui tutoie la perfection, le WHC pour enjeu, des oh my god moment à la pelle dans le ring, une gestion du tempo digne des tout meilleurs, pas mal de surprises et un build très cohérent qui a su évoluer, enfin quelques moments absolument lolesques (la promo Riley/Randy/Jimmy, le "i deserve one more match"), je veux un truc de cette qualité chaque année!!! Jason, Randy, merci!
2. Cena-Punk
Le match de l'année (voire, les deux matchs de l'année…), les pops de l'année, les fantasmes de l'année. Dommage que ça n'ait duré qu'un gros mois, sinon il y avait de quoi faire la feud de la décennie sur plusieurs mois. J'exige cette feud en 2012!!!!!!!!!!
3. Cena-Miz
Derrière les deux blockbusters, il est plus dur de trouver les feuds qui ont vraiment porté cette année. La rivalité qui a mené à Mania et au delà entre Cena et Miz était vraiment chouette (dommage que le match crucial et central de cette période ait été un échec…). Les incursions du Rock et de Morrison chacun à leurs façons, dans cette rivalité, auront vraiment apporté un cachet. Bref, même si c'est loin, j'ai aimé.
4. Edge-Ziggler
Rivalité bien trop courte pour le WHC. L'implication de Vickie donne une profondeur énorme à cette feud, et le contenu in ring et l'histoire racontée est absolument géniale (rappelez vous du Killswitch placé par Edge!). Et quel dommage qu’Edge ait été contraint d'arrêter ensuite…
5. Christian-Sheamus
J'aime Christian, j'aime Sheamus, leur alchimie était vraiment chouette, et pour être franc, j'ai l'impression que hormis des formidables feuds, cette année fut plutôt pauvre en grosses rivalités marquantes. Je n'ai pas du tout accroché aux histoires impliquant HHH, ça joue peut-être.
– Aïe !
– Quoi aïe? Je t'ai pas touché, John!
– Non, mais je me suis cogné au plafond de la vignette !
Spanishannouncetable
1. Randy Orton vs Christian
Une bonne storyline, un feelgood moment avec un Christian babyface qui gagne son premier titre, un turn très bien géré, des matchs tous exceptionnellement bons, rien à redire pour ce qui est incontestablement pour moi la feud de l'année et de très loin.
2. CM Punk vs John Cena
Deux matchs d'anthologie, un angle de départ absolument génial, des segments au micro qui resteront dans l'histoire, tout avait très bien commencé entre les deux stars de RAW. Ce n'est que parce que le Summer Of Punk s'est fini dans une désastreuse queue de poisson qu'il ne peut prétendre à cette récompense.
3. R-Truth vs The Little Jimmies
La "théorie du complot" de R-Truth semblait au départ un petit angle de comédie histoire de donner de la matière à son heel-turn mais avec les circonstances, elle s'est développée et a donné lieu à toutes sortes de variations sur ce thème : des plus saugrenues (le Walkout) aux plus pertinentes (Summer Of Punk). Rendons donc grâce à Truth d'avoir le premier enfoncé avec succès un coin dans le produit kid friendly de la WWE.
4. Triple H vs The Undertaker
La feud fut courte (et vu la forme des deux catcheurs ce n'est pas forcément un mal) mais le match fut bon et les ressorts (même simplistes) qui ont mené à ce match étaient loin d'être mauvais. Ce serait donc une grave erreur de ne pas la comptabiliser dans ce classement.
5. John Cena vs The Rock
C'est difficile de voter pour une histoire alors qu'elle n'en est qu'à mi-chemin mais il y a vraiment quelque chose qui me plaît beaucoup dans ce qui est commencé. C'est bien plus grâce au travail de Cena qui se renouvelle et modifie subtilement son personnage que grâce à celui du Rock via satellite et bandes vidéos enregistrées. Mais bon, tout me semble plutôt bien commencer.
Undertaker! Je te défie!
Mazette ! Fruity Peebles !
Le classement
1. CM Punk – WWE, 28 points sur 30 possibles
2. Randy Orton – Christian,26
3. The Rock – John Cena,6
4. Zack Ryder – Dolph Ziggler, R-Truth – les conspirateurs, 5
6. Cody Rhodes – Rey Mysterio,4
7. Edge & Christian – Alberto Del Rio, John Cena – The Miz, 3
9. Triple H – The Undertaker, Edge – Dolph Ziggler, Mark Henry – Big Show, 2
12. Christian – Sheamus, Randy Orton – Wade Barrett, 1
L’année a été écrasée par deux feuds superbes, celle opposant CM Punk à John Cena, Vince McMahon, Triple H voire John Laurinaitis l’emportant d’une courte tête sur la guerre bien plus classique que se sont livrée un Orton au sommet de son art et un Christian qui a enfin prouvé aux derniers sceptiques qu’il avait sa place tout en haut à la WWE. Sorti de ces deux morceaux bravoure, ce ne fut pas une grande année de feuds, plusieurs projets ayant échoué pour diverses raisons (Corre-Nexus, Sin Cara – Sin Cara, Del Rio – Cena, Triple H – Kevin Nash…). A vous de nous dire si vous êtes d’accord ou non avec nos classements, et si nous nous sommes rendus coupables de quelque oubli impardonnable !
Non.