Y a de ces tares dans Superstars!

Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.

Beaumarchais, Le Mariage de Figaro

 

Vous avez bien fait de vous prendre une pause CITB, la seule pause qui vous sort de la dépression! Et pour son retour, comment faire pour rattraper cinq nalyses de Superstars en une seule? C'est une très bonne question et c'est même le défi qui m'est proposé. Mes collègues nalysant la navrante NXT me proposant de reviewer le show jaune pisse, je leur rétorque que Superstars s'approche pas loin de la qualité du show-qui-n'en-finit-pas-alors-qu'il-devrait-être-fini-depuis-une-bonne-quinzaine-de-shows-sortez-moi-de-là-je-suis-un-nalyseur!

 

 

– "Sortez-moi de là, je suis un nalyseur." Putain, faut leur racheter les droits!

– Superbe idée, Patrick!

– Un show où des nalyseurs enfermés dans un loft doivent commenter un show pourri. Avec des bonnasses à gros nibards!

 

 

Nalyse 5 en 1 des Superstars du 26 septembre au 27 octobre

 

Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.

Beaumarchais, Le Mariage de Figaro

 

Vous avez bien fait de vous prendre une pause CITB, la seule pause qui vous sort de la dépression! Et pour son retour, comment faire pour rattraper cinq nalyses de Superstars en une seule? C'est une très bonne question et c'est même le défi qui m'est proposé. Mes collègues nalysant la navrante NXT me proposant de reviewer le show jaune pisse, je leur rétorque que Superstars s'approche pas loin de la qualité du show-qui-n'en-finit-pas-alors-qu'il-devrait-être-fini-depuis-une-bonne-quinzaine-de-shows-sortez-moi-de-là-je-suis-un-nalyseur!

 

 

– "Sortez-moi de là, je suis un nalyseur." Putain, faut leur racheter les droits!

– Superbe idée, Patrick!

– Un show où des nalyseurs enfermés dans un loft doivent commenter un show pourri. Avec des bonnasses à gros nibards!

 

 

Nalyse 5 en 1 des Superstars du 26 septembre au 27 octobre

 

 

Vous allez me dire "zut de flûte, ce gaillard n'en touche pas une pendant un mois, et il revient la marguerite au gland." Et vous n'avez pas tort, pour cause de tracas de la vie IRL, j'ai pris un peu de repos, les mauvaises langues assurant que ça, c'est à force de regarder Superstars, ça a fini par faire fondre les derniers plombs. C'est pas faux. Mais le besoin de vous narrer les aventures des Tyson Kidd, des Alex Riley, des Brodus Clay et autres Santino Marella a été plus fort que tout.

 

Comment procéder pour ce numéro un peu spécial? Je vous propose un abécédaire où chaque lettre correspondrait à une initia… Ah, on me signale que Kovax l'a déjà fait? Et bien, un poème en vers? Ah bon, lecharentais l'a déjà fait aussi? Une review en images? Un 24h dans la peau de? Une comparaison show avec une série? Un fantasy booking? Une nalyse où j'inviterais quelques membres éminents des CdC? Une nalyse dont on est le héros? Une review sauce 411wrestling.org? Déjà fait?!

 

Bon! Ben puisque c'est comme ça, je vais faire comme à RAW : je vais inviter des marionnettes!

 

 

Les pauses CITB, what else?

 

 

Et aussi donner mon avis sur tous les catcheurs qui ont eu un match à Superstars depuis le 29 septembre, et zut!

 

Commençons ce classement avec…

 

Les mecs qu'on croyait morts

 

Trent Barreta : dans la série "je sais pas si je suis face ou heel, bon peu importe, pourvu que j'ai du temps d'antenne", je demande le cousin raté! Ayant un cruel besoin de temps d'antenne pour éviter le licenciement, et sachant qu'il est apprécié de la foule, Trent n'a eu qu'un match pour montrer tout son talent. Le 29 septembre, il l'a bien montré quand il a servi de testeur de prises de soumission face à Daniel Bryan.

 

Ezekiel Jackson : dans le dictionnaire, quand vous cherchez le mot "chiant", il n'y a pas son nom, il y a sa photo. Face à Jinder Mahal et Heath Slater, Ezek' nous a montré à quel point il pouvait être pataud, gracieux comme un éléphant le long d'une falaise abrupte, et a montré sa capacité à faire monter le suspens et la qualité d'un match qui l'oppose à un kid-next-door (Slater) ou à un mec sans aucun talent (Jinder Mahal). 16 minutes en un mois, c'est encore trop pour lui. On retiendra juste qu'il essaie de varier un peu les façons dont il applique son Torture Rack.

 

Heath Slater : il a servi de punching-ball à Ezekiel Jackson le 13 octobre (pas très original comme match, qui a déjà été programmé début septembre pour le même show), et de jobber comique à Santino Marella. Un mois d'octobre comme un autre pour le rouquin non irlandais.

 

Primo Colon : il a apporté son dynamisme au match AirBoom-JTG&Primo. C'est tout.

 

Jinder Mahal : il a de la chance que Ted DiBiase livre un joli combat contre lui, moins quand Ezekiel Jackson est booké comme d'hab : domination totale, micro-chance pour l'adversaire, victoire quand même. Bref, il n'a pas fait grand-chose. Ah, si! Sa prise de finition s'appelle the Sands of Time, ça vous fait penser à Prince of Persia, mais ce n'est qu'un ridicule Full Nelson Slam. Pathétique de voir des prises "communes" considérés comme finishers pour des catcheurs sans talent (Ezekiel Jackson, Mason Ryan entre autres).

 

 

Toufe des feignaffes, fes mecs-là!

 

 

Les  futurs virés habitués ou anciens de NXT, qui pensent qu'aller à Superstars, c'est un push majeur dans leurs carrières.

 

Michael McGillicutty : sans aucune raison avancée, si ce n'est le doctorat en justice internationale de Otunga, la team OtunGillicutty s'est séparé. Une chance quand on sait qu'elle a failli feuder contre Jerry Lawler. The A-Lister étant parti vers un avenir plus radieux, MMG fut plongé dans les profondeurs du show violet. Et malheureusement, il ne risque pas de remonter la pente. Son manque de charisme, de personnalité, de présence dans le ring, appelez-ça comme bon vous semble, mais il n'en a pas une once! C'est creux comme un tronc d'arbre pourri. Autant face à AirBoom avec McIntyre que tout seul face à Percy Watson, il a été rasoir à regarder.

 

Percy Watson : un peu comme avec le fils de Mr. Perfect, je constate son charisme d'hareng vidé, chose que je reproche, tiens donc, à bon nombre d'ex-NXT (Titus, Darren, Riley, Slater j'en passe et des moins bons). Le match entre les deux a été une purge, et être forcé à le regarder devrait constituer un crime contre l'Humanité.

 

Tyson Kidd : plus enclin à catcher dans le show qui n'en finit pas, le Canadien a fait le boulot face à Ted DiBiase le 6 octobre. Ni plus, ni moins.

 

JTG : le copain du récent licencié Darren Young squatte NXT, mais ça ne l'empêche pas de servir de cabri-looser à SuperStars. Ce fut le cas face à Alex Riley ou contre Santino Marella, dans un registre plus comique. Les deux matches sont bookés de la même manière, à une semaine d'intervalle : le gentil domine le méchant, le ridiculise, fait le tombé, fin du combat. Et dire qu'il y a des mecs qui sont payés pour booker ça! Contre AirBoom, en association avec Primo Colon, le rappeur montra un catch plus enlevé, plus rapide. Je reste ceci écrit moins enthousiaste que certains, et trouve à JTG un manque certain de tout ce qui fait un bon catcheur.

 

 

Au contraire, je dirais qu'autant sur un plan taquetique que tequenique, ces catcheurs ont la personnalité d'une peau de saucisson mâchée par André-Pierre Gignac.

 

 

Les Divas, ben les Divas quoi….

 

 

Ispices di counasses!

 

 

Bella Twins : LOL. Si Standard & Poor's, au lieu d'emmerder le monde avec leurs notes aussi crédibles qu'un poney donné gagnant au Grand Prix de l'Arc de Triomphe, notaient les divas, ils auraient inventé la note Z. Deux matches (victoire face à KaitLee et défaite face à Eve&Kelly), deux matches de trop. Un bon point par contre avec leurs mouvements de tag team au dernier Superstars (sinon ça aurait été Z-).

 

Tamina : à part un Camel Clutch qui a duré bien longtemps dans son match face à AJ Lee, Tamina ne nous a pas pondu autre chose.

 

Eve & Kelly Kelly : opposées aux Bella lors du dernier Superstars, elles ont réussi à être moins bonnes qu'elles, c'est dire. Dans ce main-event, je n'ai jamais vu un booking aussi navrant. Les Bella, en combi moulante en cuir, affrontent donc les filles chéries de l'Amérique, et les quatre n'ont rien de mieux à faire en huit minutes que de dandiner leurs fesses, se donner des fessées ou faire des stinkfaces. Très franchement, si j'avais envie de regarder ce genre de matches, j'aurais tapé sur Google "lesbians in leather spanking and playing with their big ass".

 

 

Des lesbiennes qui se fessent, 6 x 7= 42?

 

 

AJ Lee : la petite bouée de sauvetage qui permet, avec le hors-bord de secours Divas of Doom, à la division féminine de ne pas connaitre une fin tragique, douloureuse et moribonde dans le grand océan de la nullité. Que ce soit en solo (victoire face à Tamina), ou en équipe (défaite avec Kaitlyn face aux Bella), Ajili donne un tant soit peu d'éclat aux matches de divas. Finalement, le choix logique pour affronter Beth Phoenix, selon moi. Le choix logique, après Eve, Kelly², Alicia Fox, Natalya, Tamina, un retour de Maryse, Santina Marella… Kaitlyn, un retour de Kharma, Nikkie Bella, un retour de Melina… Doink the Clown, Mark Henry, Vickie Guerrero, un retour de Gail Kim, et Mae Young selon la WWE. Mais avant Maxine.

 

 

– Quoi?! Pas Giulia dans ta liste?! Qu'est-ce t'as, t'es pas content de ma fille?

– Calme-toi, mon amoureux. C'est de l'humour, c'est humide, c'est un humérus!

 

 

Kaitlyn : en équipe avec AJ Lee, sa b3sta4ahh''''' forever <33 TMTC (oui, les pauses CITB essaient de dialoguer avec les moins de 15 ans), la gagnante de NXT 3 a semblé un cran en dessous de la petite geekette. Néanmoins, son catch est largement supérieure à celui de nombreuses poulettes à grandes jambes du vestiaire de la WWE.

 

Brodus Clay et ses lutteurs locaux, une partie qui concerne…

 

Brodus Clay… : ou comment ne pas chercher à s'enquiquiner pour booker un mec super fort? Simple : 1 lutteur local chaque jeudi pendant 9 semaines, une vidéo-promo qui fait peur à tartiner votre slibard (oui, j'ai décidé d'être élégant cet automne), et hop! Clay a arrêté de squasher des inconnus le 29 septembre, le RAW du 31 octobre est passé, Brodus Clay ne catche pas pendant plus d'un mois alors qu'on le booke fort, EST-CE QUE QUELQU'UN TROUVE ÇA NORMAL?! À part quelques jolis moves, on ne peut rien trouver d'intéressant dans son catch, surtout face à des jobbers. Attendons de voir son talent face à un salarié de la WWE.

 

…et des lutteurs locaux : Pour vous dire à quel point je regarde les fédés indys, j'ai confondu lors de la dernière review de SuperStars, Chris Hero avec Johnny Gargarino. Autant vous dire que j'ai reçu bon nombre de colis piégés à mon domicile, je remercie d'ailleurs mes fans, ce sont ces petites attentions qui font que j'aime mon job. Le dernier squashé, le 29 septembre, fut un dénommé Brian Thomas, qui ressemble étrangement à Robert Roode, l'ex-partie financière de Beer Money. Toujours bizarre, ces rapprochements entre la WWE et la TNA.

 

 

– Dis-moi, Jean-Louis?

– Oui, Jacques?

– Le mec qui s'occupe de booker Brodus Clay, il est pas un peu toc-toc, nan?

 

 

Les catcheurs à la recherche de leurs passés perdus.

 

Alex Riley: l'ex-protégé du Miz "mérite" de ce fait sa place parmi les dépushés. Je mets le verbe entre guillemets, car pour paraphraser Michel Audiard, faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages. Les deux matchs de Riley face à Drew et JTG sont basés sur une domination sans faille mais botchée du face, et d'un tombé ridiculeusement facile. Bref, je ne vois pas ce qu'on trouve à ce mec-là.

 

 

Aussi chiant qu'un Sochaux-Dijon!

 

 

Drew McIntyre : quand on pense qu'il faisait partie de l'Elimination Chamber à Smackdown en février dernier… McIntyre est parfait dans son rôle d'Écossais bagarreur. Connaissant toutefois une losing streak, il arrive à rendre crédible les attaques de ses adversaires, comme Morrison le 29 septembre, Riley le 13 octobre ou contre AirBoom le 20, associé à McGilicutty. Ça fait 35 minutes et deux main-events pour l'ex-Chosen One, avec des matches qui tiennent bien la route.

 

Santino Marella : ex-champion par équipe, ex-champion intercontinental, le Canado-Américano-Italien a livré, comme désormais à son habitude, deux prestations comiques et centrés sur le Cobra, dont la préparation me fait toujours autant marrer. Face à JTG et Heath Slater, deux heels comiques, ce ne sont peut-être pas des matches techniques, mais au moins, ça fait sourire.

 

John Morrison : à défaut de pas faire partie du gotha de RAW, il nous régale à Superstars. Le 29 septembre, avec sa victoire contre Drew McIntyre (et cet exceptionnel plongeon entre la première et la deuxième corde, depuis le ringside), il nous a livré un match très agréable à voir, qui ferait office de très bon showstealer dans n'importe quel PPV. Je ne pense pas que la WWE cherche à le virer : il est très bon, apprécié de la foule, et les bookers ont toujours besoin de lui pour compléter une carte de PPV.

 

Ted DiBiase Jr : un catcheur absolument mesestimé, que j'étais le premier à attaquer quand il était heel, mais que j'adore en face. Il est capable de produire du très bon opposé à un adversaire qu'il connait bien (le match-fin de feud contre Cody Rhodes lors du dernier Superstars, miam!), de produire un bon match qui sentait malheureusement le réchauffé (contre Tyson Kidd, deux semaines après leur excellente partition), et même de rendre un match moins pire qu'il n'y paraissait, face à un catcheur nul à souhait (défaite surprise contre Jinder Mahal, le 20 octobre).

 

 

WWE wish Riley, Morrison, McIntyre, Marella and DiBiase Jr all the best in their future endeavors in Superstars.

 

 

Les porteurs de ceintures/mallettes, qui se demandent bien ce qu'ils foutent là

 

Daniel Bryan : un prétendant au WHC title doit toujours avoir du temps d'antenne, se montrer capable de battre n'importe qui, afin de se présenter au champion comme quelqu'un de crédible. Oui, mais là, Bryan va cash-in sa mallette à Wrestlemania, du coup, ça laisse du temps! Alors, le pauvre Bryan se retrouve à faire abandonner le jobber officiel de Superstars, Trent Barreta… et c'est tout! On le retrouve plus souvent à Smackdown, mais pas pour la feud majeure, faut pas déconner, mais  quelques jolis matches face à des amis lowcarders voltigeurs, quand il n'est pas dans les vestiaires des divas pour séparer une veule attaque des Divas of Doom sur Kelloggs Kelloggs. Oui, c'est très peu, trop peu même, et je m'interroge sur la manière dont les mecs vont faire pour le booker.

 

Air Boom : un peu écartés de la storyline principale, les deux compères ont squatté fin octobre le show violet pour avoir un peu de temps d'antenne, pour eux et les ceintures. Ils ont livré (et sauvé) deux très bons matches, dignes de leur rang d'upcarders face à deux équipes originales, McIntyre-McGilicutty (je soupçonne les bookers d'avoir formé cette équipe pour les appeler "Team Mac") et JTG-Colon. OK, c'est cool de donner du temps d'antenne toussa, mais pourquoi s'acharner à créer constamment des alliances de mecs qui n'ont jamais fait équipe avant, ou du moins qui n'ont jamais voulu les ceintures? Pourquoi ne pas donner leurs chances à des p'tis gars du style les Usos ou Reks & Hawkins? À ce propos, on parle beaucoup de l'arrivée de Tito Colon, cousin de Primo (et de Carlito), et franchement j'ai hâte! Autant pour voir les qualités techniques des deux Portoricains, que pour faire cette blague pourrie : Primo, Carlito (à la place de deuxio), Tito (à la place de Tertio).

 

 

– Primo, Carlito et Tito. Wahaha les cons! Trop drôle, hein mon Miaou?

– Oui, Pierre.

 

 

Cody Rhodes : la présence d'un tel main-eventer à Superstars est une chance pour le show. Au début du générique, vous voyez plein de têtes d'affiches (Cena, Del Rio, Undertaker, Triple H etc.). Mais au final, vous savez que vous vous retrouverez avec JTG, Riley, Jackson & Co. Alors même si on ne demande pas que tous les jeudis, un gros nom débarque à Superstars (temps d'antenne, toussa), ça fait toujours plaisir. La venue d'un champion crédible est toujours bon signe : vous savez que son match va être de qualité, et de ce fait, vous avez envie de regarder le show. Ce fut le cas face à DiBiase, dont sa victoire (après un moonsault de toute beauté) met un terme à leur mini-feud.

 

Finissions cette nalyse avec deux beaux top 5, une petite nouveauté, au cas où vous ne sauriez pas quoi faire à votre boulot. Ça va vous changer vos pauses CITB…

 

 

Car ceci est une révolution!

 

 

Top 5 des matches que vous ne devez absolument pas regarder! Sinon tous les gosses du quartier vont débarquer vous réclamer des bonbons ou la mort par le chi-chi!

 

5. Brodus Clay vs Brian Thomas, le 29 septembre

4. Eve & Kelly Kelly vs Bella Twins, le 27 octobre
3. Alex Riley vs JTG, le 6 octobre
2. "Showtime" Percy Watson vs Michael McGillicutty, le 6 octobre
1. Ezekiel Jackson vs Jinder Mahal, le 27 octobre

 

Top 5 des matches que vous devez absolument voir, sinon ce sera vous qu'on fourrera pour Thanksgiving.

 

5. Daniel Bryan vs Trent Barreta, 29 septembre

4. Ted DiBiase vs Tyson Kidd, 6 octobre

3. AirBoom vs JTG & Primo le 27 octobre

2. John Morrison vs Drew McIntyre, 29 septembre

1. Cody Rhodes vs Ted DiBiase, 27 octobre

 

 

C'était pas deux putains de top five, ça, mec?!

 

 

C'est la fin de cette pause CITB, je vous retrouve prochainement pour la prochaine session des aventures du show violet. N'hésitez pas à me critiquer ou m'applaudir dans les commentaires, je prends note de toutes vos remarques. En espérant que ça vous a plu…

 

 

Oh oui! Surtout quand vous parliez de l'Ange Blanc contre le Bourreau de Béthune, Commandant Cousteau!

 

 

Merci, Mamie Zinzin. Vous pouvez maintenant fermer cette page, et reprendre une activité normale…

 

 

A'tchao, bonsoir!


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