Rien à signaler

Quand une situation est au pire, il faut qu'elle cesse ou qu'elle se relève.
William Shakespeare

 

Comme un avion sans aile : trois heures durant le spectateur de No Surrender aura attendu que ce PPV décolle, mais non, rien à faire, aucune explosion de folie n’est venu animer ce triste dimanche soir à l’Impact Zone. La TNA continue à gâcher son potentiel et c’est bien dommage.

 

 

Messieurs les bookers, bonsoir !

 


Nalyse de No Surrender du 11 septembre
(et d’Impact Wrestling du 8 septembre)

 

Quand une situation est au pire, il faut qu'elle cesse ou qu'elle se relève.
William Shakespeare

 

Comme un avion sans aile : trois heures durant le spectateur de No Surrender aura attendu que ce PPV décolle, mais non, rien à faire, aucune explosion de folie n’est venu animer ce triste dimanche soir à l’Impact Zone. La TNA continue à gâcher son potentiel et c’est bien dommage.

 

 

Messieurs les bookers, bonsoir !

 


Nalyse de No Surrender du 11 septembre
(et d’Impact Wrestling du 8 septembre)

 


L’ennui, c’est hélas le sentiment qui a dominé tout au long de cette soirée. On a vu des shows pires que celui-là, des bookings à la con, des matchs affligeants ; non, ici c’est bien l’ennui qui a prévalu devant les matchs peu excitants qui se succédaient. Y a-t-il eu une intoxication alimentaire générale ? À moins que ce ne soit le roster qui parvienne de plus en plus mal à cacher sa démotivation devant la rechute du malade TNA cet été ? Toujours est-il que les matchs semblaient tous bien lents, sans jamais atteindre le rythme de croisière souhaité pour un tel événement. C’est d’autant plus regrettable que des bonnes idées il y en avait et que la construction du show en amont avait été réussie sur plusieurs points.

 

Évacuons en préalable la question de la date. Oui ce show avait lieu le 11 septembre, et on pouvait craindre des manifestations excessives de ce patriotisme pas toujours subtil que le catch met parfois en scène. La question fut au contraire traitée avec une certaine sobriété. Il y eut un moment de recueillement au début de la soirée, les couleurs du drapeau étaient plus présentes que d’habitude, rien de trop envahissant. Il y eut aussi une interview de Thea Trinidad, alias Rosita : son père, un catcheur d’ailleurs, est mort dans une des tours de New-York le 11 septembre (elle avait 10 ans). Fin du préalable.

 

 


Tiens ils prennent des punks dans la marine maintenant ?

 


Venons-en au show et commençons par la X Division puisque c’est elle qui a ouvert la soirée. Mieux encore, il y avait deux matchs de la X Div ce soir ! Sans prétendre au main event cette division historique de la TNA se réinstalle tranquillement dans le paysage, c’est à peu près la seule bonne nouvelle de l’été à Orlando. Deux matchs donc, l’un pour désigner le prochain challenger, l’autre pour désigner le champion.

 

L’opener de la soirée opposa Kid Kash à Jesse Sorensen et donna le ton de la soirée : boring. Les deux hommes s’étaient déjà affrontés à Impact, et avaient livré de meilleurs matchs que celui-ci. La rencontre commença par un échange de prises ultra-rapide salué par le public, mais ensuite on resta bien loin des standards de la X Division, pas de surprise, pas de spectaculaire. La victoire est allée à Sorensen, c’est bien tout ce qu’on retiendra.

 


Et maintenant, je rentre chez moi ou quoi ?

 


Plus tard dans la soirée, juste avant le double main event en fait (le dernier match des Series et le championnat du monde), on eut donc un match pour le titre de la X Division, entre Brian Kendrick et son challenger Austin Aries. J’ai toujours trouvé bizarre d’organiser le même soir un match pour la place de challenger et un match de championnat avec à chaque fois une opposition face/heel : le résultat du premier match donne forcément une indication sur celui du second. Ceci dit Aries était déjà nettement favori avant ce match, et en effet, c’est lui qui l’a emporté et qui est le nouveau champion X Division.

 

L’affrontement avait été bien préparé à Impact, avec une confrontation verbale intéressante entre les deux adversaires. Bon, globalement il s’agissait pour chacun d’expliquer qu’il allait gagner, évidemment, mais le style de l’échange fut original et donna un positionnement attendu puisque Aries pouvait presque passer pour le face et Kendrick pour le heel. De fait des chants en faveur d’Aries se firent entendre dimanche soir. Quoi qu’il en soit ce match fut le meilleur de la soirée… mais ne fut pas inoubliable pour autant. Pas mal de beaux spots, une belle intensité, mais certainement pas un match qui marquera l’histoire de la X Divison, et pas non plus un spectacle suffisant pour nous réveiller enfin de notre torpeur. Ne nous plaignons pas, la X Division a désormais un beau champion, excellent dans le ring comme au micro et charismatique à souhait : un bel atout pour la TNA, pour peu qu’elle sache le mettre en valeur bien sûr.

 

 


– Je suis super content, j'ai confiance dans l'avenir et je sens que je vais avoir un booking d'enfer.

– Austin, au fait, y a Joe qui veux te parler d'un truc.

 


Passons maintenant à ce qui fut en quelque sorte le fil rouge de la soirée, la fin des Bound For Glory Series. Ce long tournoi destiné à déterminer le challenger au titre mondial à Bound For Glory représente bien la TNA de cet été : une très bonne idée au départ, menée tant bien que mal avec des événements imprévisibles mais d’autres mal gérés, et un final très moyen gâché par une gestion incompréhensible. Car aussi incroyable que ça paraisse, la TNA n’a pas cru bon de nous expliquer clairement comment aller se terminer ce tournoi !

 

Depuis peu il était question d’un Final Four pour No Surrender, et en effet à Impact les quatre élus (Bully Ray, Gunner, Bobby Roode et James Storm) s’affrontèrent en deux temps, au micro puis dans un match. L’échange verbal fut intéressant. Il fut dominé par Ray, qui expliqua que Beer Money avait beau être une grande équipe, maintenant ce sont les ego qui allaient parler ; que des spécialistes du tag se demandent forcément à un moment ce qu’ils valent seuls, un argument de poids dans la bouche de Ray. Ce dernier se sentait en position de force, considérant Gunner comme à son service en tant qu’Immortal, mais lors du match à quatre c’est pourtant Gunner qui s’imposa, en faisant le tombé sur Ray ! Des enjeux bien posés et une incertitude générale, tout ça était bien mené.

 


– Gunner, je t’explique, à Immortal y a Hogan, Bischoff, après  y a moi, et toi loin derrière, alors tu vas m’aider à gagner et c’est tout, ok ?
– Ok.
– Bien.
– Enfin, sauf si j’ai une chance de l’emporter hein.
– Bordel, Gunner, je t’explique, …

 


Hélas, à No Surrender… On apprit qu’il y avait deux matchs au programme, et que ces matchs continueraient de donner des points au classement, et que le challenger serait le leader de ce classement après ces deux matchs. Ok, admettons. Ray était en tête avec 49 points, Roode et Gunner suivaient avec 42, puis Storm avec 40. Le premier match, qui fut le deuxième de la soirée, opposa Storm à Ray. Pour Storm la situation était donc simple : il devait gagner par soumission pour empocher les dix points nécessaires pour doubler Ray au classement.

 

Ce match ne fut malheureusement pas à la hauteur de l’enjeu. Il commença péniblement avec Ray refusant l’affrontement et sortant régulièrement du ring pendant plusieurs minutes, puis le rythme n’accéléra guère avec plusieurs prises de soumission tentées par Storm, de longs temps morts… Et un final chaotique comme la TNA les aime trop : Storm, en visant Ray, cracha par erreur de la bière sur l’arbitre, aveuglé, il réussit dans la foulée une soumission sur Ray mais quand l’arbitre fit sonner la cloche ce fut pour disqualifier Storm, et donc donner à Bully Ray les trois points d’une victoire par disqualification.

 


Cette fois c’est décidé j’arrête de boire.

 


Rebelotte donc pour le deuxième match : il allait falloir une victoire par disqualification pour donner à l’un des protagonistes les 10 points qui lui permettraient de revenir à égalité avec Ray. Ensuite de quoi… eh bien, je n’en sais rien, puisque rien ne semblait prévu en cas d’égalité et qu’on nous laissa dans le flou total à ce sujet ! Une vraie faute professionnelle. Ceci dit il y eut bien un indice un peu plus tard : Gunner était interviewé mais fut interrompu par Ray qui lui rappela qu’il devait se mettre à son service mais qui évoqua aussi des « Finals »… Quoi ça ? C’est quoi, un match, plusieurs matchs, ce soir ou plus tard ? Mystère pour le spectateur hélas.

 

Le match entre Gunner et Roode fut le sixième de la soirée (qui compta au final neuf rencontres). Il fut… eh bien, mené sur un rythme bien trop lent au regard de l’enjeu. Au moins eut-il une certaine intensité, Roode encaissant par exemple un DDT spectaculaire sur le haut du crâne qui le laissa un instant en position verticale. Il eut aussi la bonne idée d’offrir un final clair et sans bavure, avec une victoire par soumission de Bobby Roode. Il marquait donc dix points et revenait à hauteur de Ray. Quand soudain… Bischoff fit son apparition. Il complimenta dans un premier temps le vainqueur, avant d’annoncer d’un air machiavélique qu’il allait devoir affronter Ray ce soir pour désigner le vainqueur final. Bon, OK Eric, mais Ray nous avait un peu vendu la mèche tout à l’heure. Vraiment je ne comprends pas, que les créatifs de la TNA se plantent sur certains trucs d’accord, mais il ne s’est vraiment trouvé personne dans la compagnie pour penser que, peut-être, ce serait une bonne idée d’exposer clairement le règlement avant les derniers matchs des Series, pas un mois à l’avance, pas même trois jours à l’avance, mais tout simplement au début du dernier show du tournoi ?

 


Te plains pas, au début on voulait donner le règlement après Bound For Glory.

 


Enfin, toujours est-il que nous avons donc eu un ultime match entre Bully Ray et Bobby Roode, avec une place de challenger pour le vainqueur. Niveau starpower ce n’est pas vraiment ça pour le plus gros show de l’année, mais l’histoire racontée est intéressante : deux spécialistes du tag blindés de titres par équipe, mais qui ont enfin l’opportunité de briller seul et d’aller chercher un titre majeur. Ray a refait le coup du refus de combattre en début de match, mais heureusement moins longtemps que contre Storm. Le public a été pas mal présent pendant ce match (ce ne fut pas le cas pendant toute la soirée, loin de là, mais pour le coup on ne peut pas trop lui en vouloir), avec de gros chants « Beer Money ». Ray sait en outre se faire détester, même si c’est parfois de façon un peu cheap comme en jetant le drapeau américain qui ornait une barrière en ringside.

 

Et au final c’est Roode qui l’a emporté, c’est donc lui le nouveau challenger au titre mondial et il aura son title shot à Philadelphie le 16 octobre pour le plus gros show de l’année. L’histoire racontée dans le match  a bien joué son rôle pour commencer à le mettre en position pour cet événement majeur ; il a été dominé par Ray, mais par moment il s’est laissé faire et en a redemandé, posture classique du catcheur sûr de lui et de son destin. Rien ne pouvait empêcher Roode de remporter le tournoi ce soir et il n’ira pas à Bound For Glory pour faire de la figuration. La TNA a maintenant un mois pour construire ce match de championnat, espérons qu’elle s’y attellera avec application et fera bel et bien de Roode un catcheur important en solo, ce qu’il n’est pas vraiment pour l’instant.

 


Je vais devoir affronter Ric Flair moi aussi ?

 


Reprenons maintenant la chronologie de la soirée et revenons donc au troisième match, un match de championnat entre Mickie James et Winter. Lors d’Impact ce match avait été préparé classiquement par un match par équipes, Winter et Angelina Love l’emportant sur Mickie et Velvet Sky. Winter à cette occasion inaugura une nouvelle arme en crachant un genre de faux sang au visage de Mickie et obtenant ainsi la victoire. Le match de championnat fut géré classiquement lui-aussi, avec Mickie devant lutter contre Winter mais aussi contre les perfidies d’Angelina au bord du ring (Mickie elle était seule). Le classique a parfois du bon, mais ici hélas tout cela manquait un peu d’enjeu ; Winter a une première fois gagné le titre cet été, elle l’a vite reperdu contre Mickie, elle tentait de le reprendre… Il serait de bon ton que cette lutte autour de la ceinture se fasse de nouveau autour d’une storyline, comme cela était le cas pas plus tard qu’au printemps (ah, ce printemps de la TNA…).

 

C’est Winter qui a remporté le match, grâce à son crachat rouge bizarre à nouveau. Deuxième titre pour elle, espérons qu’il sera plus intéressant que le premier. Une bonne histoire à raconter impliquerait Velvet Sky bien sûr ; on a insisté, au printemps toujours, sur ces progrès dans le ring qui la rendent crédible pour viser le titre, et il y a son passé avec Angelina qui promet une histoire à trois intéressante. Si elle reperd le titre dans une ou deux semaines en weekly contre Mickie c’est à désespérer…

 


Bon, je gagne une demi-douzaine de titres d’ici Noël et après je retourne à la WWE, ça va le faire.

 


Autre match de championnat, le titre par équipes cette fois. Les champions, Mexican America, affrontaient une nouvelle équipe formée par Devon et Pope. Ça vend du rêve un match comme ça pas vrai… ? Ce fut un festival d’overbooking. Il y eut d’innombrables interventions de Rosita et Sarita, dont Pope s’occupa d’une façon qui dut ravir les ados du public : baiser volé, fessée dans le ring… Passionnant. Au final sur une ultime tricherie pas vue par l’arbitre les tenants du titre l’ont emporté, mais franchement il n’y a pas grand chose à dire de plus.

 


– Oh oui vas-y, décapite-le !
– C’est un peu dur quand même non ?
– Bon, arrache-lui la langue au moins.

 


Plus intéressant fut le match opposant Samoa Joe à Matt Morgan. La feud est en quelque sorte un dérivé des Series : Morgan avait bien commencé dans le tournoi avant de se blesser (pour de vrai), quant à Joe… Que dire de Joe ? Il est bon, populaire, connu au delà des fans de la TNA : on pensait donc que sa série de défaites dans le tournoi allait être suivie d’un retour du feu de dieu à coups de soumissions. Mais non, il n’a gagné aucun match, a commencé à attaquer tout le monde…

 

Le match ne fut pas mauvais mais ne releva guère le niveau de la soirée. En fait il fut bizarrement construit. Le rythme fut assez lent, avec des prises de soumission, des temps de récupération, mais tout se passait comme si on assistait au début d’un match qui s’annonçait long, une vingtaine de minutes. Raté : c’est en onze minutes que Matt Morgan l’emporta, sur un finish certes clean mais amené trop rapidement. Au final donc on n’était pas encore tout à fait rentré dans le match, qu’on devait déjà en sortir…

 


Messieurs, c’est pas tout ça mais il faudrait en finir, la prochaine fois peut-être.

 


Enfin, au moins Joe était présent à ce PPV, ce qui n’était pas le cas d’AJ Styles. On pensait que ce dernier aurait un match contre Daniels, mais non. Est-ce que la TNA a préféré les préserver pour Bound For Glory ? Eh, juste comme ça les gars : on aurait eu un super match entre les deux à No Surrender ET un autre à Bound For Glory, on aurait pris quand même ! Ne pas savoir utiliser ses talents, c’est peut-être ce qu’il y a de plus triste à la TNA finalement.

 

Tant que j’y suis, revenons sur deux événements d’Impact qui n’eurent pas de suite au PPV. Pour le premier c’est logique, c’est le titre TV d’Eric Young. Et miracle, on a eu un match pour la défense du titre, un vrai ! Contre Robbie E, certes, et pas un match mémorable, mais c’est quand même bien de voir Young redevenir un catcheur après avoir passé bien longtemps à affronter Popeye ou Scott Baio.

 



Ouf, une semaine de plus et c’est moi qui me retrouvais dans le ring.

 


L’autre événement, et c’en fut un puisque ce fut carrément le main event d’Impact, fut le retour de Jeff Hardy. Il s’agissait de sa première apparition depuis qu’il avait ruiné Victory Road en mars. La séquence fut brève et plutôt minimaliste. Jeff reconnut qu’il avait été pathétique et qu’il ne pouvait pas espérer qu’on lui pardonne mais qu’il pouvait quand même demander une autre chance, ce que le public lui offra par des chants « one more shot ». On verra la suite. En tout cas on peut s’interroger sur la logique de la scène : elle eut donc lieu en main event du dernier show avant le PPV, mais nulle trace de Hardy à No Surrender. Drôle de timing. Je ne sais pas dans quel état est Jeff, espérons en tout cas que la TNA ne détruira pas ce qu’il lui reste de crédibilité en faisant revenir un catcheur qui ne serait pas complètement délivré de ses lourdes addictions.

 


Pas de souci, je gère.

 


Il nous reste à parler du main event de ce PPV. Il fut booké lors de l’Impact précédent. Anderson et Sting en avaient fait l’opener (sans aucun Immortal, ça fait du bien) ; Anderson fit jouer sa clause de rematch pour affronter Angle, et Sting s’instaura Special Enforcer du match. Le match de championnat Angle/Anderson eut lieu… en plein milieu de show ! Et ce qui devait arriver arriva, les Immortals sont intervenus, prenant le dessus sur Anderson et Sting et permettant à Angle de gagner le titre. Hogan était ravi, jusqu’à ce que Bischoff lui annonce que le network avait booké le match de championnat de No Surrender : un match à trois, Kurt Angle vs Sting vs Mr Anderson.

 

C’est donc ce match qui clôtura notre show de dimanche. Dès la présentation des combattants on comprit que le PPV avait complètement endormi le public, il y eut quelques cris mais rien qui évoque un championnat du monde d’une fédération majeure. Les enjeux du main event de la TNA en ce moment manquent vraiment de clarté, entre le titre d’un côté, la vendetta de Sting contre Hogan de l’autre… Je suis très mauvais au concours de pronostics mais ici, à un mois de Bound For Glory et après que Roode ait été désigné challenger, on voyait mal comment Angle pouvait ne pas conserver son titre, avec une intervention d’Immortal. Et c’est bien sûr ce qui arriva.

 

 

What did you expect ?

 


Angle commença le match en quittant le ring (histoire de casser le rythme d’entrée…), puis dut subir les assauts conjoints de ses deux adversaires. Angle éjecté du ring Sting et Anderson s’affrontèrent néanmoins ; faces tous les deux ils n’en sont pas moins rivaux, Anderson l’avait d’ailleurs rappelé en interview. Le match suivit son petit bonhomme de chemin, et le final attendu arriva : Angle balança Sting contre une barrière derrière laquelle ô surprise se trouvait Hogan, qui aspergea le visage du Stinger avec un genre de spray. Aveuglé, il commença à porter une prise sur l’arbitre, Angle en profita pour porter un coup bas, tombé, 1, 2, 3, Angle conserve son titre.

 

Voilà voilà… Dans un mois c’est le Wrestlemania de la TNA, le plus gros show de l’année. Y a du boulot ! Je ne sais pas quelles sont les ambitions de la compagnie sur ce show mais il va falloir cravacher pour donner envie au public de se précipiter sur ce show. Il y a des choses à faire pourtant, des pistes, des catcheurs et des rivalités qui ne demandent qu’un peu plus de temps pour s’imposer. Mais pour l’instant l’avenir immédiat de la TNA c’est Sting contre Flair. J’espère au moins qu’ils donneront à AJ Styles et à Joe des bonnes places dans la salle.

 

 


Je sens que je vais craquer !


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