Il faut faire quelque chose de nouveau pour voir du nouveau.
Georg Christoph Lichtenberg, Aphorismes
Dans le monde merveilleux du catch, tout peut arriver. Et dans le monde non moins merveilleux des Cahiers du Catch aussi, puisque me voilà à chroniquer deux épisodes d'iMPACT, moi qui n'ai quasiment regardé aucun épisode de la TNA, à part celui du 4 janvier 2010! Mais Showtime étant indisponible pour l'instant, il a fallu que quelqu'un se dévoue pour couvrir les deux derniers épisodes du mois de février. Aussi ai-je décidé de relever le défi. Sans plus attendre, voici la double nalyse d'iMPACT, vue de l'œil neuf de celui qui découvre les aventures de la TNA!
Regarder la TNA à jeûn?! Quelle idée!
Double iMPACT! Nalyse des shows du 17 et du 24 février
Il faut faire quelque chose de nouveau pour voir du nouveau.
Georg Christoph Lichtenberg, Aphorismes
Dans le monde merveilleux du catch, tout peut arriver. Et dans le monde non moins merveilleux des Cahiers du Catch aussi, puisque me voilà à chroniquer deux épisodes d'iMPACT, moi qui n'ai quasiment regardé aucun épisode de la TNA, à part celui du 4 janvier 2010! Mais Showtime étant indisponible pour l'instant, il a fallu que quelqu'un se dévoue pour couvrir les deux derniers épisodes du mois de février. Aussi ai-je décidé de relever le défi. Sans plus attendre, voici la double nalyse d'iMPACT, vue de l'œil neuf de celui qui découvre les aventures de la TNA!
Regarder la TNA à jeûn?! Quelle idée!
Double iMPACT! Nalyse des shows du 17 et du 24 février
Autant être franc, c'est presque à reculons que je me suis attelé à cet article. Je ne regarde d'habitude que les shows de la WWE, et les échos que je peux lire sur le forum sur le booking chaotique de la fédération d'Orlando ne sont pas très engageants pour moi. Mais j'ai quand même accepté d'écrire ce papier par curiosité, et bien m'en a pris car j'ai globalement passé un bon moment en regardant ces deux épisodes d'iMPACT. Pour cette nalyse, je vais vous proposer un format proche de celui que Showtime a utilisé pour son compte-rendu du PPV qui s'est tenu la semaine précédant les épisodes que je vais couvrir, en passant en revue les différentes storylines des deux shows. Et comme un bon spectacle, on commence par les choses les plus dispensables, avant de terminer avec les main-eventers!
On démarre donc avec les moments qui selon moi, en tant que nouveau venu, n'ont servi à rien et/ou n'ont provoqué aucun intérêt à mes yeux. Et en tête de liste de ces moments, je pense au segment du show du 17 février opposant D'Angelo Dinero et Samoa Joe. Le Pope s'est invité sur le ring avec un buffet samoan et un cochon grillé censé représenter son rival du moment, Samoa Joe. Ce dernier a mal pris la plaisanterie, comme on peut l'imaginer, et a fait traverser la table du buffet à Dinero. Aucune nouvelle de cette feud lors du show suivant, ce qui fait que je ne sais pas qui est le Face et qui est le Heel (logiquement, je dirais que Dinero est le Heel vu que c'est lui qui s'est moqué de son adversaire, mais je pensais qu'il était Face: il a dû turner sans que je le sache, ce qui est très possible je l'admets), pourquoi les deux se mettent sur la tronche… Bon, tant pis comme dirait José (un point à celui qui comprend cette vanne et son origine).
Et si vous avez une storyline, je suis preneur hein…
Même constat pour la feud opposant le champion de la X-Division Kazarian (qui était sous le costume de Suicide si je ne m'abuse) et le dénommé Robbie-E, qui m'a fait l'impression d'un Guile du pauvre au niveau capillaire. Là, j'imagine bien l'histoire de cette rivalité même sans avoir regardé les épisodes précédents: apparemment, on a là une guerre entre deux couples, avec Kaz et une certaine Tracy (ancienne Knockout d'après ce que j'ai compris) d'un côté et donc Robbie et Cookie (Dieu que leurs noms sont nazes…) de l'autre, cette dernière intervenant très régulièrement dans les matchs de son boyfriend apparemment, au grand dam du champion. Classique, pas super emballant mais efficace. Le match entre les deux hommes le 17 février s'est soldé par une victoire par DQ de Kaz grâce à Cookie qui s'est fait attraper par l'arbitre, avant que les deux couples ne quittent l'iMPACT Zone tout en se collant des baffes… En tout cas, malgré ce que Kaz a pu dire lors de sa promo d'avant-match, ce n'est pas ce genre de disputes de cour de collège qui va rendre son prestige à une X-Division qui me semble bien faiblarde…
Une vraie tête de vainqueur…
Pour conclure sur les segments les moins intéressants de ces deux épisodes, je vais évoquer le squash de Crimson (Face?) sur Magnus (Heel?) lors du show du 24 février. Qui sont ces gens? Pourquoi se sont-ils opposés? Aucune idée, aucune explication n'a été donnée à l'écran, du coup, comme tous les squash matchs dont on ignore les protagonistes, je n'en ai rien eu à faire…
Si la X-Division semble dans une période sombre, la division par équipes, dont j'avais aussi entendu le plus grand bien, paraît elle aussi ne pas être très à la fête. L'émission du 24 février a vu un match de challenger pour le titre tag team, opposant Gunner et Murphy au duo composé d'Eric Young et d'Orlando Jordan. Et malgré tout le bien que pense Showtime de Young, quand j'ai vu ce match, je n'ai pas très bien compris les raisons d'une telle adulation. OK, Young a l'air très bon, mais dans ce match, j'ai eu l'impression de voir la version TNA de Santino Marella, alors que Eric passait son temps à traverser le ring, rebondissant sans cesse sur les cordes… Gunner et Murphy finissent par remporter le match commenté par les champions actuels de Beer Money, qu'ils affronteront bientôt pour le titre, et je dois avouer que cette affiche me semble alléchante…
Ça s'arrose alors!
Tant qu'on parle des équipes, j'en profite pour évoquer la guerre entre les deux ex-partenaires Brother Devon et Bully Ray. À Against All Odds, Ray a remporté la victoire dans son match contre son ancien pote en faisant le tombé… sur le fils de Devon préalablement massacré, Brother étant menotté au ring. Victoire accordée de façon totalement illogique donc, mais surtout histoire qui prend un aspect dérangeant puisque mettant en scène les enfants d'un des catcheurs… Lors du show du 17 février, Tazz est revenu sur ces événements, et il a été interrompu par Bully Ray, qui a alors annoncé que ce n'était que le début. Tazz a ensuite chassé le Heel, lui disant qu'il avait "crossed the line", ce qui apparemment ne se fait pas, sauf sur les affiches de la TNA. La semaine suivante, Devon arrive sur le ring et s'excuse auprès de ses enfants pour ne pas avoir pu les protéger et promet de se venger. Ray arrive alors pour le provoquer, une bagarre éclate, à laquelle prend part Tommy Dreamer, venu aider Devon. Du coup, même si je mentirais si je disais que j'étais passionné par cette affaire, l'arrivée surprise de Tommy Dreamer, ce jobber mythique de l'ECW, suffit à m'interroger sur la suite de l'histoire. La seule chose qui me dérange un peu, c'est l'utilisation des enfants de Devon dans cette feud, mais c'est une pratique courante apparemment dans le milieu, et Devon et Ray servent une partition efficace et solide.
En tout cas, c'est une histoire déjà plus prenante que celle qui met en scène Rob Terry et Scott Steiner. Déjà le 17 février, Steiner avait dit lors d'une interview backstage tout le mal qu'il pense de son rival. Mais la semaine suivante, plutôt qu'un match entre les deux hommes pour régler leurs comptes, Rob Terry a décidé de défier Steiner dans un "posedown" pour montrer qui a la plus impressionnante musculature. Terry s'est donc exhibé tous muscles ou presque dehors, afin de prouver qu'il méritait son surnom de "freak". Mais Steiner ne l'entendit pas de cette oreille, ni de l'autre d'ailleurs, et débarqua sur le ring pour lui hurler que lui seul était le vrai Genetic Freak, sans pour autant participer au concours de body-building proposé par Rob Terry. Les deux hommes s'affrontèrent du regard avant bien entendu d'en découdre pour de bon, Terry tentant même d'étrangler Steiner avec un appareil de musculation, preuve que la TNA et la WWE, c'est pas pareil du tout. Quand on pense que certains à Stamford sont passés par six mois de chômage pour avoir utilisé une cravate de façon peu conventionnelle…
Ouais, on est des oufs nous, on a peur de rien, même pas des essais pharmaceutiques expérimentaux!
Avant de passer aux storylines les plus importantes de ces deux épisodes d'iMPACT, un mot sur la division féminine. Et force est de constater que les matchs des Knockouts sont bien supérieurs à ceux des malheureuses Divas: déjà, ils sont plus longs (ça aide à mieux construire un combat) et surtout, les femmes de la TNA ont droit à de vrais segments et de vraies storylines! Exemple type avec la rivalité entre Sarita et la belle Velvet Sky (globalement, je trouve les Knockouts plus vulgos que les Divas, mais je fonds devant Velvet…): lors de l'émission du 17, Rosita et sa cousine Sarita battent, et pas de façon clean, les Beautiful People. Après ce match, Velvet Sky dit que Sarita n'est pas capable de la battre sans tricher, et Sarita se gausse, tout en rappellant qu'officiellement elle est invaincue face à elle, et défie même Velvet de mettre sa carrière en jeu lors de leur prochaine rencontre. Velvet Sky accepte la semaine suivante d'affronter Sarita en mettant sa carrière en jeu, à condition que Rosita n'interfère pas bien sûr. Sarita accepte, mais prépare un mauvais coup… Damned, quand est-ce qu'on aura ce genre d'histoire et cette intensité entre les Divas de la WWE? En tout cas, j'espère que Velvet a gagné lors du show du 3 mars…
Et si jamais Sarita te chasse de la TNA, tu peux toujours venir à la maison Velvet…
Autre cas intéressant chez les Knockouts, celui de Madison Rayne, qui semble s'ennuyer avec son titre de championne, tant elle a l'impression de dominer le roster féminin de la tête, des épaules et des implants. Le 17 février, la reine des Knockouts explique en backstage à Tara qu'après avoir vaincu toutes les filles du roster, d'Angelina Love à Mickie James, elle n'a plus rien à prouver, décide d'organiser un Open Challenge, et demande à Tara de ne pas l'aider, quoi qu'il arrive, afin qu'elle puisse montrer qu'elle est la vraie, la seule et unique Queen of TNA. La semaine suivante, elle lance donc son Open Challenge, et se retrouve face à ODB, de retour apparemment, et brune à présent, mais toujours aussi vulgaire. C'est bien simple, quand je vois ODB, j'ai l'impression de voir une version alternative de Beth Phoenix qui serait allée en prison à Tijuana avant de se lancer dans une brillante carrière de chauffeur routier… À la fin, et malgré la puissance d'ODB, c'est bien Madison Rayne qui remporte le combat. Qui pourra se dresser sur sa route et lui opposer une vraie résistance? Je place une pièce sur Tara perso…
Mais outre la division féminine, ce qui m'a vraiment accroché, ce sont les main events, pour diverses raisons. Commençons par la guerre entre les deux principaux clans du roster: Immortal côté Heel, et Fortune côté Face. On pourrait croire qu'Immortal serait en position de faiblesse après Against All Odds, vu que presque toutes les ceintures sont détenues par des Faces, mais les Immortals reviennent du PPV contents d'eux, vu que le titre le plus prestigieux est resté en leur possession: en effet, Jeff Hardy est le TNA World Heavyweight Champion! Bischoff s'en prend à Ric Flair, et là première erreur de réalisation: Bischoff est surpris quand Flair arrive pour lui rabattre le caquet, alors que pendant tout son discours, on a vu le Nature Boy arriver dans une mise en scène tout en split-screen à la 24. Ne pas montrer son arrivée aurait été une surprise classique mais efficace pour tout le monde à mon avis, mais ce n'est qu'un détail. En tout cas, la tension entre les deux clans Immortal et Fortune est à son maximum, AJ Styles et Matt Hardy se battant jusque dans les coulisses, vite rejoints de leurs amis.
Les choses ont dégénéré lors du match entre AJ Styles et Matt Hardy, qui démarre sur les chapeaux de roue. Ric Flair intervient peu après, d'abord pour encourager Styles avant de le trahir au profit du gros d'Immortal! Beatdown de Flair et Matt sur Styles avant leur fuite face à Beer Money. Pourquoi Flair a-t-il trahi? Ça n'a a priori aucun sens, surtout quand dix minutes plus tôt, le même Ric Flair était montré en train de partager un pack de bière avec Beer Money! AJ Styles, en tout cas, est furieux et exige une explication pour le prochain iMPACT. La semaine suivante, l'explication tant attendue n'est jamais vraiment venue, en tout cas j'ai trouvé celle de Flair assez bidon: il nous a fait un discours plein de mégalomanie avant de s'en prendre à Styles sur le ring, et est rejoint par Hernandez (qui avait rapidement disposé de Douglas Williams la semaine précédente). Grosse bagarre, étranglements (encore!), Flair finit en sang… Fortune finit par aider Styles contre Hernandez, qui sera personnellement explosé par Matt Morgan. Bref, cette trahison de Flair m'a vraiment désarçonné tant je n'ai rien vu venir, mais peut-être est-ce parce que c'était le premier épisode que je regardais, et que j'ai manqué d'indices placés les semaines précédentes expliquant ce geste, qui sait?
– Ah ah ah! Comment je l'ai bien eu le petit!
– Donc tu reviens avec nous Ric? Cool! Mais pourquoi?
– Euh…
Un autre cas qui m'a rendu assez dubitatif est celui de Mr Anderson. Avant toute chose, je dois dire que je suis ravi de le voir, étant jusqu'à présent un fan indirect du personnage que je n'ai connu qu'à travers les jeux vidéo Smackdown vs Raw en tant que Mr Kennedy, et dans l'unique épisode de Raw où il a fait son retour avant de se faire virer aussi sec apparemment pour avoir osé presque blesser Randy Orton. Après avoir vu ces deux épisodes d'iMPACT, je suis maintenant un fan direct d'Anderson, et rien que pour ça, je suis content d'avoir vu ces shows! Cependant, je dois avouer ne rien comprendre à l'histoire dont il est l'un des protagonistes…
En effet, le 17 février, Bischoff organise un match pour le titre suprême entre le champion Jeff Hardy (lui par contre, il ne me manquait pas des masses…) et Rob Van Dam. Anderson, adversaire malheureux de Hardy à Against All Odds dans un Ladder Match assez violent, est furieux de cette décision et exige son rematch. Bishoff rétorque qu'il fait ce que la chaîne lui dit de faire: assurer de l'audimat. Or, Anderson est trop segmentant et pas assez PG pour mériter un match pour le titre suprême. Ça, pour le coup, je trouve que c'est une bonne vanne de la part de la TNA! Bischoff fait néanmoins alors une offre suprenante à Anderson, en lui proposant d'arbitrer le match du soir. Plus surprenant encore, Anderson accepte! Bon, il explose quand même Bischoff pour le principe, mais pourquoi accepter d'arbitrer ce match, alors que ça ne lui donne aucun avantage particulier? Pour faire perdre le titre à Hardy au profit de RVD? Aucun intérêt, ce n'est pas pour autant qu'il aura le titre, et c'est Hardy qu'il veut affronter… Pour empêcher RVD d'être champion et s'assurer que c'est bien Hardy qu'il affrontera pour le titre? Bof, paye ta raison bidon…
Et si c'était Jeff en fait qui écrivait les storylines en plein trip?
Pendant ce temps, Bischoff essaie de convaincre la chaîne de ne pas faire combattre Hardy, amoché par son match à échelles d'Against All Odds, mais la décision de la chaîne est sans appel: Hardy doit combattre contre RVD, pour faire de l'audience… C'est un aspect intéressant de cette histoire, qui montre que si Bishoff peut mettre des bâtons dans les roues de ses ennemis, il n'a pas non plus les pleins pouvoirs…
Finalement, le match a donc lieu, et si Anderson nargue verbalement Jeff, il arbitre normalement, à l'exception d'un nearfall compté pour RVD alors que Jeff avait une main sous la corde. Après un match solide, Jeff Hardy remporte la victoire, et Anderson place un Mic-check sur les deux combattants. Pourquoi? Mystère… La semaine suivante, Bishoff organise un match entre RVD et Anderson, et Jarrett ajoute Angle au match pour le fun. Trois Faces dans un match? OK… Bref, j'ai relevé pas mal de choses qui me paraissent incohérentes dans cette histoire, et je trouve ça dommage, d'autant plus que le résultat sur le ring est quant à lui très sympa à suivre.
Il me reste à parler du couple Jeff et Karen Jarrett, qui vont avoir un rôle important dans le show du 3 mars. Lors des deux derniers épisodes de février, on a régulièrement vu le couple en vacances, en train de préparer leur cérémonie de renouvellement de leurs vœux matrimoniaux, après la victoire de Jarrett sur Kurt Angle à Against All Odds, et fêter ainsi le fait que le médaillé olympique a officiellement perdu la garde de ses enfants. Ouais, carrément, à la TNA, ils plaisantent pas avec les stipulations des matchs! Mais Kurt n'a pas dit son dernier mot, pourrissant notamment un dîner romantique au restaurant du couple Heel, et promettant de se venger lors de l'iMPACT du 3 mars, d'où l'idée de Jarrett d'affaiblir l'ex-mari de sa femme en le mettant dans le main event du 27 février face à Anderson et RVD… Un match qu'Anderson remportera d'ailleurs indirectement grâce à Jeff et Karen, venus sur leur trente-et-un distraire Kurt en pleine domination du match en se roulant d'énormes pelles en ringside.
Depuis le Loft, toute télé-réalité se doit d'avoir "sa" scène de la piscine…
Le show du 24 février s'est conclu avec un rappel de ce qui attend le TNA Universe pour la suite, avec le meilleur, comme le verdict final dans la lutte de pouvoir qui oppose Dixie Carter et Hulk Hogan; et le pire, avec l'annonce de l'arrivée de la starlette de télé-réalité (de la "série" Jersey Shore en l'occurence) Jwoww (paye ton nom de scène pourri et imprononçable) qui semble avoir une feud datant d'octobre dernier avec Angelina, ce dont je me fous totalement. Je ne peux pas bien sûr ne pas évoquer la fameuse vidéo parodiant celle du "2 21 11" de la WWE, vraisemblablement pour annoncer le retour de Sting (je n'ai pas vu l'épisode du 3 mars à l'heure où j'écris ces lignes) et pour tacler la WWE, ce qui est pour le coup assez bien vu et de bonne guerre.
En tout cas, malgré quelques incohérences de booking (essentiellement sur le cas Anderson), j'ai passé un très agréable moment devant iMPACT, et je suis vraiment curieux de connaître la suite des événements! La TNA a ses propres atouts (notamment la division féminine) et peut si elle s'en donne les moyens se différencier suffisamment pour proposer une vraie alternative de qualité de façon durable. Un peu plus de stabilité et de cohérence dans les storylines, un retour en force de la X-Division… Il suffit de pas grand-chose! Et si je préfère toujours suivre les shows de la WWE, maintenant, il n'est pas exclu que je suive aussi, de temps en temps, les péripéties qui se déroulent dans l'iMPACT Zone…
Youpi! Un suiveur de plus!