Clobber report, #29

Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que la famille Hebner ne monopolise l'arbitrage en Floride. Comment? En lisant la vingt-neuvième édition du Clobber Report, consacrée à l'édition 2010 de Slammiversary.

 

 

Il est temps de foutre son doigt dans le nez et touiller, parce que c'est ce qu'il y a de mieux à faire.

 

 

Clobber Report, spécial Slammiversary

 

Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que la famille Hebner ne monopolise l'arbitrage en Floride. Comment? En lisant la vingt-neuvième édition du Clobber Report, consacrée à l'édition 2010 de Slammiversary.

 

 

Il est temps de foutre son doigt dans le nez et touiller, parce que c'est ce qu'il y a de mieux à faire.

 

 

Clobber Report, spécial Slammiversary

 

 

Il est temps de foutre!

 

We want vuvuzelas!: Qu'y a-t-il du pire que l'instrument traditionnel faisant tout le sel de la Coupe du monde de football en cours ? Les chants USA mal employés. Cette fois, c'est Kazarian qui en a fait les frais, sans doute à cause de sa gueule pas très WASP et de son nom de cellule islamiste. Heureusement qu'une partie de la foule a rattrapé la bourde en criant tour à tour "Abyss sucks"et "Let's go Desmond".

 

 

We want vuvuzelas!

 

 

Mon royaume pour un taser: Une petite critique gratuite de Tazz, ça ne fait pas de mal: s'il pouvait cesser de donner de plus en plus de conseils à la con ("he's gotta stay focused", sans rire) et de me piquer mon job (sa fixation sur les cheveux toujours mouillés de Robert Roode), ce serait chic de sa part. Et plutôt que de louer l'ingéniosité de Beer Money, il devrait se demander comment Slick Johnson peut être assez con pour croire qu'Anderson veut l'empêcher de valider le pinfall effectué par son partenaire. Et au lieu de basher Matt Morgan pour son certificat médical, il devrait s'étonner que celui-ci soit remis à un arbitre et pas à un représentant de la direction. Ah, le booking made in Orlando…

 

 

"Celui qui lit ça est un con", mais qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire?

 

 

 

It's clobbering time!

 

Demain, Jarrett: Autant l'invasion de Raw par les rookies de la première saison de NXT avait fait naître en moi un diffus (donc appréciable) sentiment de malaise, autant le passage à tabac emphatique de Jeff Jarrett par Sting m'avait carrément débecté. Je salue donc la TNA qui, après nous l'avoir repassé en intégralité sur plusieurs shows hebdomadaires, nous a épargné une énième vision de ce sommet de platitude et de barbarie.

 

 

C'est à Jeff cette oreille là?

 

 

Voir le loup et mourir: Desmond Wolfe a un phrasé délicieusement menaçant. Desmond Wolfe est stiff et technique comme seuls les Anglais savent l'être. Desmond Wolfe, enfin, est le seul mec capable de faire passer un jogging ou un t-shirt de football pour un parangon de classe vestimentaire (surtout à côté des fripes piquées à Adam Bomb que portait RVD). Vive lui.

 

 

Seulement 24 dollars 99 cents (plus les frais de shipping).

 

 

Ainsi s'achève ce vingt-neuvième numéro, merci à vous de l'avoir lu jusqu'au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l'un de ses plus fidèles lecteurs, l'invincible Jim Cornette.

 

 

I can beat anyone, either male, female, animal, vegetable, or mineral.


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