Clobber report, #21

Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant qu'on se demande pourquoi Daniel Bryan n'a pas été collé aux basques d'une Straight-Edge Society dont il a tout à fait le profil in real life. Comment? En lisant la vingt et unième édition du Clobber Report, consacrée aux show hebdomadaires de la semaine du 3 mai.

 

 

Il est temps de foutre son cul dans un fauteuil et de se tailler une pipe.

 

 

Clobber Report, semaine du 3 mai

 

 

Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant qu'on se demande pourquoi Daniel Bryan n'a pas été collé aux basques d'une Straight-Edge Society dont il a tout à fait le profil in real life. Comment? En lisant la vingt et unième édition du Clobber Report, consacrée aux show hebdomadaires de la semaine du 3 mai.

 

 

Il est temps de foutre son cul dans un fauteuil et de se tailler une pipe.

 

 

Clobber Report, semaine du 3 mai

 

 

 

Il est temps de foutre!

Un homme déception (Raw): Où va John Morrison? Vraisemblablement nulle part. Déjà plombé par une gimmick archaïque de sosie de star (façon Honky Tonk Man et Elvis, Triple H et Boromir, Booker T. et Whoopi Goldberg…), le voilà qui se met à distribuer des lunettes de soleil importables comme le faisait jadis Bret Hart. Et avant cela, il imitait le Sweet Chin Music et la descente du coude de Shawn Michaels. Et si on reprenait tout depuis le début plutôt que de le rapiécer comme un vulgaire jogging à pressions?

 

 

– Alors ce gimmick?

– Bah je cherche, je cherche…

 

 

Thursday night décalque (iMPACT!): Reniant ses nobles ambitions pour honorer les doléances de ses fans, la TNA a retrouvé son créneau horaire historique (le vendredi on peut utiliser ses RTT pour se désinfecter des postillons de Ric Flair, ceci explique cela). Cette translation horaire est-elle pour autant synonyme de retour aux sources? Que dalle, Hogan et Bischoff s'entêtent à copier ce que la WWE a de pire et de prétendument plus vendeur. A ce titre, on ne pouvait craindre illustration plus parlante que le talk-show et la danse des pectoraux d'Orlando Jordan.

 

 

First I was like…

 

 

… then I was like.

 

 

 

It's clobbering time!

Jet d'encre(iMPACT!) : Vous le savez, le tiercé, c'est ma grande… Pardon, les tag team "en uniforme", c'est ma grande passion. Je préfèrerai toujours une Hart Dynasty à un Showmiz, une Money Inc. à une Rock 'n' Sock Connection. Je ne peux donc que me féliciter du rapprochement de Shannon Moore et Jesse Neal sous l'étendard Ink Inc.. Même si ça me fait penser à un cri porcin.

 

 

Oink oink(ils m'ont tout piqué).

 

 

La pomme d'Adan, les seins de Eve (Raw): Tout le monde aime la poitrine de Eve Torres, mais certains l'affichent plus explicitement que la moyenne. Ainsi, alors que Maria s'était contentée d'y mettre un petit coup à la veille de la Saint-Valentin 2009, l'arbitre du match Maryse/Half a Bella a carrément profité de la colère de l'ex-girlfriend des Cryme Tyme pour fourrer sa tête entre ses opulentes mamelles. Ça c'est du burlesque, coco!

 

 

Hurray for boooobihumpf!

 

 

Ainsi s'achève ce vingt-et-unième numéro, merci à vous de l'avoir lu jusqu'au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l'un de ses plus fidèles lecteurs, le prévisible Michael Cole.

 

 


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