Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que Cena ne s'expose à l'indignation d'Eric Besson en traitant Jack Swagger de "weasel". Comment ? En lisant la quinzième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 5 avril.
Il est temps de foutre Daniel Bryan over!
Clobber Report, semaine du 5 avril
Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que Cena ne s'expose à l'indignation d'Eric Besson en traitant Jack Swagger de "weasel". Comment ? En lisant la quinzième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 5 avril.
Il est temps de foutre Daniel Bryan over!
Clobber Report, semaine du 5 avril
Il est temps de foutre!
Y a-t-il un pilote dans l'avion ? (Raw, NXT, Smackdown) : Cette semaine, côté WWE, ça grinçait fort dans les rouages. Entre l'équipe technique zappant le Big Right Hand de Show et le missile dropkick de Daniel Bryan avant de nous gratifier d'un magnifique fondu fantôme sur le moonsault de Morrison à Smackdown, le ring annoucer faisant passer Maryse pour une Porto-ricaine et Cena se fendant d'un beau lapsus freudien ("what a championship does"), il y avait comme une diffuse odeur de loose dans les rangs.
Par contre, y a bien des films de gladiateurs.
Ils flottent tous en bas ! (iMPACT!) : Au-delà de son booking… hasardeux (restons poli), le show de la bande à Carter a lui aussi frappé par ses nombreux flottements et aveux d'échec. Jarrett se fait agresser par Sting? Hogan et Abyss se tournent les pouces, même si The Icon met au moins trois pauses Kit-Kat à appliquer son Scorpion Deathdrop. Bubba se fait huer façon ministre de la culture à un festival? Il aligne au micro avec la conviction d'une sonnerie de téléphone trois "Bubba Army" hors de propos pendant que ses potes s'agitent comme des chômeurs en fin de droits bourrés et pris d'une folle envie de talocher leur femme (gosh ces bandanas!). Flair présente sa redoutable équipe pour Lockdown? Il débite un cliché éculé par jeune poulain interposé avant de mouiller son caleçon en parlant de Sting. Non vraiment, la réforme des retraites, ça craint.
Avec mes potes Sting, les Yukon Lumberjacks et Ricky Martel, on va vous défoncer!
It's clobbering time!
Gimme a N, gimme a X, gimme a T! NXT! (NXT) : J'imagine que vous avez été nombreux à pester contre l'ambiance Oktoberfest de NXT (et contre la notable absence des pros), personnellement j'ai trouvé ça amusant et rafraîchissant, bien qu'un peu longuet. Mais là où le show m'a le plus emballé, c'est qu'il a semblé bien plus stiff que ce que propose habituellement la WWE. Non? Alors repassez vous la claque de Bryan sur Young et le coup de pied de Wade dans le dos d'Otunga.
Guten tag belle blonde!
This is a Robbery! : Il n'y a pas si longtemps, je voyais en Rob Terry la parfaite antithèse de ce que j'aime dans le catch. Musculature repoussante, mobilité d'un frigo, gimmick à la truelle… Finalement, sur la foi de quelques prises bien brutales et d'un amorti de la tête totalement inconscient, je me dis qu'il y a quelque chose à tirer de cet ersatz aphone de Solomon Grundy (avec un peu de Bane niveau injections).
Rob Terry, born on a bloody sunday!
Ainsi s'achève ce quinzième numéro, merci à vous de l'avoir lu jusqu'au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l'un de nos plus fidèles lecteurs, le très bright Batman.
You owe your life to dental hygiene.