Clobber Report, #14

Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'


Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que John Cena ne s'impose le temps d'un retour aux vestiaires comme le type le plus hardi de la WWE. Comment? En s'affichant après sa victoire aux côtés d'un type portant un t-shirt «We Hate Cena» , type à côté duquel il avait déjà célébré sa victoire l'an passé. A côté, son «That's music to my ears right about now», c'est de la soumission. Comment ? (bis) En lisant la quatorzième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 29 mars.

 

 


Il est temps de se foutre de la gueule des smarts !

 

 

Clobber Report, semaine du 29 mars

 

Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'


Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que John Cena ne s'impose le temps d'un retour aux vestiaires comme le type le plus hardi de la WWE. Comment? En s'affichant après sa victoire aux côtés d'un type portant un t-shirt «We Hate Cena» , type à côté duquel il avait déjà célébré sa victoire l'an passé. A côté, son «That's music to my ears right about now», c'est de la soumission. Comment ? (bis) En lisant la quatorzième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 29 mars.

 

 


Il est temps de se foutre de la gueule des smarts !

 

 

Clobber Report, semaine du 29 mars

 

 


Il est temps de foutre !


Confessions intimes (Raw, NXT) : Évoquée sur mon défunt blog, la lucidité dont est capable la WWE me laisse toujours aussi perplexe. Faut-il y voir des pieds de nez? Des aveux déguisés? Une autosatisfaction béate? Je ne sais, ce qui est sûr, c'est que je ne me lasse pas de segments tels que celui où Batista qualifia Wrestlemania XXVI de pay-per-view que tout le monde oubliera en moins de temps qu'il n'en faut à Beth Phoenix pour faire grimper la température corporelle de votre serviteur, ou celui qui vit Daniel Bryan clamer que David Otunga (chouchou du boss et prototype du main eventer à la sauce WWE) ne sait pas catcher.

 

 


– Alors que tu dises que j'ai été là quand personne ne voulait te toucher, ça signifie que… ?
– Chut, Hunter… Chut.

 


Ceinture abominable (iMPACT!) : Les sous-entendus salaces de Taz? Des répliques dignes d'un best of de Dora l'exploratrice au regard de cet épisode d'iMPACT!, qui se la jouait Ère Atttitude avec la subtilité d'Uwe Boll et les moyens de Roger Corman : Chelsea qui minaude un grossier stratagème (et plombe un peu plus la ring cred de Desmond Wolfe), Lacey von Erich qui trouve enfin sa place (pin-up du TNA Shop), Orlando Jordan qui se pointe le temps d'un segment queer aussi surréaliste que ridicule… Le dernier coup de pelle, c'est pour quand?

 

 


Pas avant que je vous chante mes tubes, On va s'aimer et Les Sunlights des tropiques

 


It's clobbering time !


Oh j'ai ri, con ! (NXT) : Chris Jericho est vraiment le meilleur. Il fallait l'entendre, au micro de NXT, expliquer avec son sérieux légendaire que son rookie dominait les abords du ring (en attendant le tag) et méritait un bon point pour le chaos qu'il pouvait causer (en étant éjecté du ring). Et le tout sans en retourner une à l'insupportable Michael Cole.

 

 


Michael qui ?

 


Michael quoi ?

 


Ouais, ça colle grave avec Michael, uh uh uh…

 


Alléluia du direct  (iMPACT!) : A Raw, Shawn Michaels livre un speech humble et émouvant, que Triple H, en sa qualité d'intouchable, ponctue d'un clin d'œil à la Kliq, histoire de rappeler que sans Kevin Nash, le Showstopper n'aurait jamais atteint un tel degré de reconnaissance. En face, à iMPACT!, rien. Aucun signe, aucun accessoire : Nash et Hall n'ont pas salué la retraite de leur pote. Pourquoi? Parce que iMPACT! n'était pas en direct (dommage, tout le monde aurait zappé, comme au bon vieux temps). Est-ce grave? Non, bien au contraire. Entre les t-shirts Bubba Army, les bourrelets et le cabotinage, HBK ne méritait pas que sa sortie soit entachée de la sorte.

 

 


I'm just a sexy boy, I'm not a boy toy.

 


Ainsi s'achève ce quatorzième numéro, merci à vous de l'avoir lu jusqu'au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l'un de nos plus fidèles lecteurs, le philosophe Jesse Ventura.

 

 


Win if you can, lose if you must but always cheat.


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