Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant qu'un Batista Vs. John Cena lui apparaisse sans conteste comme le meilleur combat d'une soirée pourtant prometteuse. Comment ? En lisant la treizième édition du Clobber Report, consacrée à Wrestlemania XXVI.
Il est temps de se foutre à l'eau!
Clobber Report, spécial Wrestlemania XXVI
Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant qu'un Batista Vs. John Cena lui apparaisse sans conteste comme le meilleur combat d'une soirée pourtant prometteuse. Comment ? En lisant la treizième édition du Clobber Report, consacrée à Wrestlemania XXVI.
Il est temps de se foutre à l'eau!
Clobber Report, spécial Wrestlemania XXVI
Il est temps de foutre!
Tous égaux : Il n'y a pas si longtemps, je fustigeais la bêtise de ces heels répétant ad nauseam des moves d'une inefficacité flagrante. Aujourd'hui, c'est au tour des faces de passer à la casserole, grâce à ce bon vieux R-Truth… qui tente des crossbodies sur le Big Show! Et plusieurs fois par match en plus (sur un irish whip, sur un suicide dive…)! Vous me direz, vu comme il joue au golf, c'est pas étonnant. Mais il n'est malheureusement pas le seul à s'abaisser à cela. Combien de freluquets tentant de soulever un big man? Combien de high flyers bondissant dans les bras d'un mec pesant deux fois leur poids comme un moustique se rue sur une lampe à ampoule ultraviolette? Stop aux héros idiots.
Fuck you!
Victimes de la mode : A Wrestlemania, tout le monde est sur son trente-et-un. Il y en a à qui ça réussit, comme Kingston et ses tresses lui faisant une tête en forme de fléau, ou comme Beth Phoenix, certes délicieuse par nature, mais littéralement rayonnante vêtue de blanc. Et puis il y a les autres: Mysterio et sa ridicule extension capillaire à la Tao Paï Paï, Swagger se prenant pour Mike Bison de Street Fighter, Cody Rhodes qui nous sort un slip couleur chair pour faire croire qu'il est à poil… Une belle galerie des horreurs.
Et quand certains voient leur reflet…
It's clobbering time!
Et là, c'est le drama : Ratés techniques, botches grossiers, public apathique, VIPs aux abonnés absents, tout le monde s'était semble-t-il donné le mot pour priver cette édition du souffle épique qui caractérise d'ordinaire Wrestlemania. C'est d'autant plus dommage que trois affrontements ont tenu leur rang de chocs de titans: Triple H contre Sheamus (biscotos, tronches de barbares, croix celtique contre croix de fer), Batista contre Cena (high impact et no-selling à tous les étages), The Undertaker contre Shawn Michaels (légende contre légende, gifle du désespoir d'un bourreau des cœurs chancelant).
Ouh ouh, Tist', t'es con, tu me chatouilles!
Prenez une chaise, Émile : Oui, le règlement de comptes entre Bret Hart et Vince McMahon était cousu de fil blanc et longuet. Cependant, deux bons points méritent de lui être attribués: l'exposition symbolique offerte à la Hart Dynasty (prions le Saint Macho Man qu'elle soit suivie) et la relative bonne forme de Bret, dont les coups de chaise sont autrement plus sonores que les caresses de Ric Flair.
Exclu: une légende datant du décès d'Owen Hart, rédigée par Vince en personne.
Ainsi s'achève ce treizième numéro, merci à vous de l'avoir lu jusqu'au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l'un de nos plus fidèles lecteurs, l'enthousiaste Jim Ross.
I've never seen anything like this!
Bah normal, vu que u can't see me.