Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que Scott Hall n'étouffe Sean Waltman sous le poids de sa bidoche à la fin de leur Same Old Shit Match contre Eric Young et Kevin Nash. Comment? En lisant la onzième édition du Clobber Report, consacrée à l'édition 2010 de Destination X.
Il est temps de foutre (Russo, Hogan et Bischoff dehors) !
Clobber Report, spécial Destination X
Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma'
Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que Scott Hall n'étouffe Sean Waltman sous le poids de sa bidoche à la fin de leur Same Old Shit Match contre Eric Young et Kevin Nash. Comment? En lisant la onzième édition du Clobber Report, consacrée à l'édition 2010 de Destination X.
Il est temps de foutre (Russo, Hogan et Bischoff dehors) !
Clobber Report, spécial Destination X
Il est temps de foutre !
Une ceinture pour Taz: Ça y est, c'est le printemps. Les fleurs bourgeonnent, les jours s'allongent… et les hormones s'activent. Ainsi de celles de Taz, qui nous l'a jouée beauf en puissance ce dimanche. D'abord en signalant que le cri rituel de Daffney lui rappelait sa lune de miel, ensuite, lors d'une séance de projections par les cheveux, en expliquant qu'il était de coutume de se crêper le chignon entre filles et que c'était plutôt hot. C'est du joli.
Bon, cela dit…
Total Nonstop Actor's Studio : Non, je ne m'étendrai pas sur la conclusion du main event, sans doute bookée par un Vince Russo sous l'influence du spectre de Benny Hill. J'attire plutôt votre attention sur celle du combat de Kurt Angle et Mr. Anderson, en tout cas sur sa captation. Ces gros plans dramatiques, ces champs/contrechamps lourds de sens, ces comédiens jouant un sentiment comme on mime le Penseur de Rodin, ça ne vous a rien rappelé? Si non, branchez-vous sur France 3 demain aux alentours de 20h10, vous allez avoir un choc.
Stéphane Collaro, impayable
It's clobbering time !
When you have to shoot, shoot ! : Une fois n'est pas coutume, j'ai passé 2h45 en mode facepalm, à pester contre les tentatives d'Abyss de rejoindre le casting de Bilbo le Hobbit, à maudire le mec qui ne s'est pas demandé si un arbitre ne s'étonnant pas qu'un belligérant titube la tronche couverte d'un liquide vert risquait de poser un problème de crédibilité… Sauf pendant le combat ayant opposé les Motor City Machineguns à Philippe Noiret et Christophe Lambert (Max & Jeremie quoi), d'autant que les premiers ont enfin un entrance theme un peu raccord avec leur origine, leur nom et leur style, bref un truc musclé et pas une espèce de vieille scie college punk toute mollassonne. Bon, c'est pas encore les Stooges ou le MC5, mais y a du mieux.
Dommage qu'Alex Shelley se rapproche de ça avec sa décoloration.
Corpus Christy : Avez-vous remarqué comme Christy Hemme est systématiquement à deux doigts d'imploser de rire lorsqu'elle interviewe quelqu'un en coulisses ? Moi oui, et la façon qu'a son corps de dire "qu'est-ce-que je fous là?" a sauvé ma soirée.
Young doit se poser la même question.
Ainsi s'achève ce onzième numéro, merci à vous de l'avoir lu jusqu'au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l'un de nos plus fidèles lecteurs, le possessif Gollum.
We wants it, we needs it. Must have the precious. They stole it from us. Sneaky little hulkamaniacs. Wicked, tricksy, false!