Clobber report, #8

Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que les adieux de Bret Hart ne deviennent un running gag dont Trey Parker et Matt Stone ne voudraient même pas pour South Park (« Oh my God! They screwed Bret! »). Comment? En lisant la huitième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 1er mars.

 

 


(en régie) Bastards, bastards, bastards…
– YOU MUSTARD!!!
(en régie) Putain! Non!

 

 

Clobber Report, semaine du 1er mars


Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que les adieux de Bret Hart ne deviennent un running gag dont Trey Parker et Matt Stone ne voudraient même pas pour South Park (« Oh my God! They screwed Bret! »). Comment? En lisant la huitième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 1er mars.

 

 


(en régie) Bastards, bastards, bastards…
– YOU MUSTARD!!!
(en régie) Putain! Non!

 

 

Clobber Report, semaine du 1er mars

 

Et comme Hulk a décidé de remonter sa vieille carcasse dans l’arène, qu’il sache que, plus que jamais…

 

 


Il est temps de foutre, brother!

 

 

Le lion est mort (NXT). La semaine dernière, j’ai cru à l’une de ces erreurs passagères dont sont coutumiers les commentateurs, alors je n’ai rien dit. Le problème, c’est que Chris Jericho lui-même l’a commise, aussi je me dois de vous imposer ce rappel: quand Chris, loué soit son nom mais pas son groupe, appuie son genou sur la tête de son adversaire, on ne doit pas parler pas des Walls of Jericho (un Boston Crab tout ce qu’il y a de plus banal) mais du Liontamer (un Boston Crab amélioré).

 

 


J’arriverai jamais à m’en rappeler.

 

 

Total Nonstop Again (and again). La semaine dernière toujours, je stigmatisais, non sans mauvaise foi, la façon qu’avait la TNA de singer la WWE. Au regard du dernier iMPACT! s’étant tenu un jeudi, je suis contraint de recommencer. Deux exemples parmi d’autre : Ken Anderson qui nous sort une imitation à la Charlie Haas et Tomko qui a pris de la bidoche comme Matt Hardy. Bon, ça reste moins embarrassant que le « spear spear spear » de Edge singeant le « gore gore gore » de Rhino, mais il plane un tel voile de satisfaction sur Orlando (les faces se relaient chaque semaine pour féliciter Hogan) que ça en devient insupportable.

 

 


C’est vrai qu’il a fait du bon boulot avec Brooke…

 

 

It’s clobbering time!

 

Matt in da hood (Smackdown). Au risque de radoter, je me permets une nouvelle fois de louer la culture générale de Matt Striker, qui a accueilli l’arrivée de Cryme Tyme par une référence au Wu-Tang Clan et à Notorious B.I.G.. La classe. Pas autant que Rey Mysterio faisant passer Luke Gallows par-dessus la troisième corde en tirant sur la deuxième, mais la classe quand même.

 

 


La semaine prochaine, je vous refais la même avec la première!

 

 

Welcome back vieille branche. Confession: je rame de plus en plus pour trouver un truc positif à dire à propos du show hebdo de la TNA. En tout cas un truc différent de « wah punaise le mic skill de ouf de Wolfe, Pope et Anderson! ». Faute de matière, je me permets donc d’exprimer ma joie de revoir Jeff Jarrett sur un ring, en souvenir de sa carrière bien sûr, mais surtout parce qu’il est le seul « vieux » (43 ans) de la TNA à ne pas se mouvoir comme les patients de la pub pour la Mutuelle Générale (celle où retentit Dancing with Myself de Billy Idol).

 

 


Cette façon de se tenir le cœur… Aurais-je parlé trop vite?

 

 

Ainsi s’achève ce huitième numéro, merci à vous de l’avoir lu jusqu’au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l’un de nos plus fidèles lecteurs, le sous-estimé Chavo.

 

 


I’m fine! I’m fine!

 


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