Clobber report, #6

Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que la WWE ne promeuve des pay-per-views en dévoilant à peine plus de la moitié de leur carte. Comment ? En lisant la sixième édition du Clobber Report, consacrée à l’édition 2010 de Elimination Chamber.

 

 


Il est l’heure de foutre en chambre, les enfants!

 

 

Clobber Report, spécial Elimination Chamber


Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que la WWE ne promeuve des pay-per-views en dévoilant à peine plus de la moitié de leur carte. Comment ? En lisant la sixième édition du Clobber Report, consacrée à l’édition 2010 de Elimination Chamber.

 

 


Il est l’heure de foutre en chambre, les enfants!

 

 

Clobber Report, spécial Elimination Chamber

 

Cage ta joie : « On n’est plus le même quand on ressort de l’Elimination Chamber ». Mouais, c’était peut-être vrai en 2006, mais de nos jours il n’y a guère que sur un malentendu qu’une cage peut paraître dangereuse, en tout cas à la WWE (surtout quand un Miz et Mark Henry finissent respectivement en sang et dans le décor). Reste qu’au contraire de Hell in a Cell, Elimination Chamber jouit d’une spécificité qui le rend irremplaçable : les éclairages et l’ambiance sonore qui accompagnent l’ouverture d’une cellule, très « Close Encounters of the Third Kind » relu par Clive Barker. Oui on se console comme on peut.

 

 


– Coz’ I’m the Miz, and I’m hardcoooore !
– Attends que j’appelle mes homies de Miami…
– …

 

 

Il y a une taupe dans le service : C’est bien mignon, les mecs qui sortent du ring pour régler leurs comptes, mais autant on veut bien croire qu’un troglodyte tel qu’Hornswoggle puisse passer sans broncher plus de 2h comprimé au milieu des poubelles/échelles/tables et autres cadavres de doublures de Doink entassés là, mais qu’un born again en santiags fasse de même, c’est un peu gros. Un peu d’originalité, c’est trop demander ?

 

 


Pourtant, si l’on en croit son expression, Jericho l’avait prévenu…

 

 

It’s clobbering time !

 

Aye, caramba ! : L’Undertaker qui arrive sur le ring en moins de 4 minutes (merci au facétieux Kane), Triple H qui disparaît de l’action 5 bonnes minutes puis abandonne (sur un STF à moitié appliqué qui plus est), Batista qui se dégonfle au premier sens du terme, Michael Cole qui se fiche du public cible de la WWE et lance un cinglant « oh shut up » à Matt Striker, NXT promu sur le dos d’une gloire du circuit indépendant plutôt que sur celui d’un fils à papa guère plus articulé qu’un GI Joe… Mazette, quelle formidable mouche a piqué la WWE ? A moins qu’elle ne fonctionne sur la base du calendrier chinois et ajuste ses bonnes résolutions en conséquence.

 

 


Un an sans titre ! Je suis guéri !

 

 

Ouvrir l’œil et le bon : Un « such lovely people » improvisé par Regal par ci, un regard précautionneux de Kingston avant de monter sur le ring par là, une joute en français entre les Canadiennes de service, Jericho qui nous fait un remake des dessins animés Hanna Barbera (avec Morrison dans le rôle du toon aplati), Matt Striker mentionnant Venom là où ses collègues ne connaissent Spider-Man que depuis qu’on leur a dit d’y comparer Mysterio… Ou comment le souci du détail vous rend agréable un pay-per-view générique et mollasson.

 

 


Et rien sur mon tatouage WWE ?

 

 

Ainsi s’achève ce cinquième numéro, merci à vous de l’avoir lu jusqu’au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l’un de nos plus fidèles lecteurs, le piquant Hawk.

 

 


What a rush !

 

 


Publié

dans