Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que Katie Lee Burchill ne retienne la leçon et évite de catcher en string (dommage). Comment ? En lisant la cinquième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 15 février.
Il est temps de foutre gros, cette semaine!
Clobber Report, semaine du 15 février
Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que Katie Lee Burchill ne retienne la leçon et évite de catcher en string (dommage). Comment ? En lisant la cinquième édition du Clobber Report, consacrée aux shows hebdomadaires de la semaine du 15 février.
Il est temps de foutre gros, cette semaine!
Clobber Report, semaine du 15 février
Leave Bret alone! (Raw) : Bret Hart, The Excellence of Execution, the best there is, the best there was and the best there ever will be. Une légende en somme, de celles que WWE sait recevoir. Ainsi, lorsque tonton Bret a annoncé une énième fois son retrait de la vie catchesque, on lui a envoyé l’artillerie lourde pour lui signifier le respect dû à son rang : un rasta ayant donné sa langue au chat (Kofi Kingston, fantomatique depuis son embryon de feud contre Randy Orton), un figurant porto ricain (Primo), la doublure dudit figurant (Evan Bourne), un néo-Chavo Guerrero (Jack Swagger, pourtant adoubé à maintes reprises par Bret lui-même) et, last but not least, un type émergeant d’une voiture en flammes comme on émerge d’une sieste sous un radiateur mais qui manque de tourner de l’œil quand quelqu’un se coince la jambe dans une portière (nul autre que John Cena). C’est ce qui s’appelle tout donner.
Le sang de Cena ne fait qu’un tour, serait-ce une grenade dans la main de cet homme?
Hall of Lame (iMPACT!) : Le Hall of Fame a beau accueillir n’importe qui à l’ombre de ses colonnes, son accès reste un privilège des plus significatifs. Aussi, quand Hulk Hogan a décidé de se séparer de la breloque héritée de son intronisation au sein de cette prestigieuse institution, la moindre des choses aurait été de profiter de la symbolique en de la remettant à un petit jeune promis à un grand avenir, pas à un nounours englué dans une storyline périmée (le retrait du masque) et un sous-genre mal aimé (le catch hardcore). Au moins, au contraire de son frère caché (Billy Graham), il ne l’a pas vendue, c’est déjà ça.
Ça c’est de l’enterrement de vie de garçon.
It’s clobbering time !
Animal sophistiqué (Raw) : En slip, Batista est à peine moins ridicule que Kinnikuman. En civil, c’est une autre paire de manches, ce brave Dave mériterait carrément de figurer en couverture de GQ ou Esquire. Costume de mobster, blouson d’aviateur, polo de gentleman, le bonhomme est d’une classe rare dans le milieu, classe qu’il prend toujours soin de rehausser de lunettes Gucci ou Versace parfaitement assorties. Autan dire que le père Cena, engoncé dans son t-shirt d’employé des Autoroutes du Sud de la France, fait peine à voir lorsqu’il se retrouve à deviser avec l’Animal.
Comme tout le monde, il a parfois des baisses d’inspiration.
Kaz toi pov’ con (iMPACT!) : Suicide avait tout pour devenir le roi du spot qui tâche : un costume d’enfer, un type compétent derrière le crâne, d’impressionnants premiers faits d’armes… Las, la TNA n’a pas cru au personnage, le privant de storylines et promos dignes de son nom jusqu’à, enfin, refiler le bébé à un second couteau plus docile que Frankie Kazarian, en l’occurrence Kyioshi. Quant à Frankie, c’est en tant que Kaz qu’il est réapparu, à la grand joie de votre serviteur qui l’a d’emblée trouvé plus divertissant que son alter-ego coloré. Le problème, c’est que le Hulkster et ses potes ne semblent toujours pas avoir l’intention du talent de ce type défendu bec et ongles par AJ Styles. La preuve, dans la galerie de photos consacrée à iMPACT! sur le site de la fédération,on trouve deux versions du portrait scellant le retour de Kaz : une avec poignées d’amour, et une sans. Bravo le webmaster.
No comment.
Ainsi s’achève ce cinquième numéro, merci à vous de l’avoir lu jusqu’au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l’un de nos plus fidèles lecteurs, le lettré Jim Dugan.
HOOOOOOOOOOOOOoooooooo