Clobber report, #4

Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que D’Angelo Dinero ne se mette à distribuer des paires de lunettes aux kids (y a pas un copyright là-dessus ?).Comment ? En lisant la quatrième édition du Clobber Report, consacrée à l’édition 2010 d’Against All Odds.

 

 


Contre toute attente, il est temps de foutre!

 

 

Clobber Report, spécial Against All Odds


Djobi, Jobber
Cada dia te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’
Djobi Djobi, Djobi Jobber
Cada dia yo te quiero ma’

 

Vous aussi, marchez dans la lumière des Gipsy Kings, visionnaires troubadours qui chantaient les louanges de votre serviteur bien avant que D’Angelo Dinero ne se mette à distribuer des paires de lunettes aux kids (y a pas un copyright là-dessus ?).Comment ? En lisant la quatrième édition du Clobber Report, consacrée à l’édition 2010 d’Against All Odds.

 

 


Contre toute attente, il est temps de foutre!

 

 

Clobber Report, spécial Against All Odds

 

Guignol ! Guignol ! : Tout le monde s’est fait chier comme une nymphomane devant un documentaire sur les avancées de l’éconophysique en matant cette cuvée 2010. Tout le monde sauf les moins de 8 ans, qui ont été particulièrement réceptifs à la relecture de l’héritage de Guignol par Mick Foley et Abyss. Ah il fallait les entendre scander « use the bat ! » avec le même enthousiaste que des gones de Lyon invitant leur héros à dérouiller du flic avec son bâton ! Et ça faisait si longtemps que le Monster n’avait pas été utilisé dans une bonne histoire ! Un régal. Ou pas.

 

 


Scandale, Abyss brise le kayfabe de la marionnette et salue les jeunes spectateurs.

 

 

Jimmy, oh won’t you please come home : Une seule surprise au programme et il a fallu qu’elle se déroule hors champ. Je parle bien sûr de l’intervention de Jimmy Hart en faveur des Nasty Boys contre Team 3D, complètement manquée par l’équipe technique. S’est-elle assoupie devant ce Tag Team Match à peine plus exaltant et subtil que le duel entre Honda et Zangief dans le film Street Fighter ? L’a-t-elle confondu avec Hornswoggle et décidé de ne pas le cadrer (comparez leurs cris et gesticulations, vous allez être surpris) ? Était-elle trop occupée à se demander par quel tour de passe-passe Mr Anderson a catché un coup en bleu et un coup en vert ? Mystère, mais c’était bien la peine de nous retirer deux coins de ring pour ne même pas réussir à filmer correctement un pauvre deux contre deux.

 

 


Gnaha gnaa ha suck it! Gna aah bwaa !

 

 

It’s clobbering time !

 

Et vlan, passe moi l’éponge : Jeremy Borash, le seul homme capable d’encaisser les vocalises de Mr Anderson sans battre des cils et sans se départir de son flegme de brave type qui n’en pense pas moins, est de retour, et ça fait un bien fou. Quant à Bubba the Love Sponge, à moins qu’il ne dispute un Monter’s Ball contre Awesome Kong, on se passera volontiers de ses services.

 

 


Moi aussi, je suis trop vieux pour ces conneries.

 

 

Enter « The Pheromonal » AJ Styles : Quand AJ Styles a commencé à fricoter avec Ric Flair, j’ai été parmi les premiers à menacer de m’immoler si les officiels ne renversaient pas la vapeur. Et bien j’ai eu tort, la performance qu’a livré le champion dimanche m’en a convaincu. Bronzé comme un douchebag et drapé dans la robe à froufrou de son mentor, il a été magnifiquement ridicule et, surtout, plus expressif qu’il ne l’a jamais été (voir cette séquence où il traite Samoa Joe de « stupid samoan » avant de se faire aplatir). Non vraiment, ça fait plaisir de le voir capable de raconter quelque chose, là où il se contentait par le passé d’être physiquement prodigieux.

 

 


Bon après, s’il pouvait ne pas finir comme ça…

 

 

Ainsi s’achève ce quatrième numéro, merci à vous de l’avoir lu jusqu’au bout. Le Clobber Report ne serait toutefois pas complet sans une intervention de l’un de nos plus fidèles lecteurs, le raffiné Brock Lesnar.

 

 


I’m built like a black man.

 

 


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