Superstars: deux épisodes, des milliers d’enseignements

Il n’existe rien de plus efficace qu’une rengaine pour obtenir la docilité et la crétinisation des masses.
Francis Blanche

 

Les deux derniers épisodes de Superstars ont eu leur content de bons matchs et de révélations philosophiques. Le Chick Magnet Arthemiz Gordon en a rédigé deux reviews séparées aussi appétissantes l’une que l’autre (on a compté en tout quatre mentions des lèvres de Rosa Mendes), mais on a décidé de les fusionner sauvagement histoire de vous en livrer la substantifique moelle.

 

 


OK mais je veux être payé comme pour deux reviews, hein.

 

 

Review de Superstars du 12 et du 19 novembre


Il n’existe rien de plus efficace qu’une rengaine pour obtenir la docilité et la crétinisation des masses.
Francis Blanche

 

Les deux derniers épisodes de Superstars ont eu leur content de bons matchs et de révélations philosophiques. Le Chick Magnet Arthemiz Gordon en a rédigé deux reviews séparées aussi appétissantes l’une que l’autre (on a compté en tout quatre mentions des lèvres de Rosa Mendes), mais on a décidé de les fusionner sauvagement histoire de vous en livrer la substantifique moelle.

 

 


OK mais je veux être payé comme pour deux reviews, hein.

 

 

Review de Superstars du 12 et du 19 novembre

 

Après mûre réflexion d’environ une seconde, on a décidé de vous présenter ça en regroupant les combats par brand. A la grande joie de Spanishannouncetable, nous n’en doutons pas, honneur pour démarrer à l’ECW, qui ne s’est pas fait chier et nous a offert, les deux semaines, un affrontement Ryder-Benjamin, comme un match aller-retour de foot, sauf que y a pas eu de prolongations (/mode retournage du couteau dans la plaie irlandaise off).

 

ECW: Zack Ryder (w/Rosa Mendes) vs Shelton Benjamin (x2)

 

12 novembre, la WWE est encore en Angleterre et l’ami Zack se pointe accompagné de l’ex-fangirl de Beth Phoenix. Toute la question est de savoir s’il va se faire surprendre par son adversaire comme un gamin au premier mouvement de langue sur les lèvres refaites de Rosa Mendes.

 

 


Difficile pour Saxton et Matthews de garder leur sérieux en présence de Rosa alors qu’ils sont en train de regarder des vidéos de « Filles aux lèvres lippues » sur leurs écrans de contrôle.

 

 

La réponse semble être non. Zack balance une série de droites à Shelty, histoire de montrer qui est le patron, mais ce dernier finit par revenir dans le match, avant un nouveau temps fort de Zack, qui prouve à Rosa que tout est under control, ce qui lui arrache un sourire à en exploser ses lèvres botoxées.

 

 


C’est pas ton catch qui me fait sourire, c’est ta veste à deux balles, tocard.

 

 

D’ailleurs le caméraman devait être en mode main droite, vu le nombre de plans sur le haut du corps (enfin des cheveux jusqu’à la poitrine, quoi) de Rosa. Les interminables prises de soumission de Zack Ryder ralentissent considérablement le rythme (on parle du combat contre Benjamin, ce qu’il fait sur son temps libre avec Rosa ne nous regarde pas), rendant le match un peu boring. La foule l’a d’ailleurs bien compris et manque cruellement d’enthousiasme.

 

 


Tentative de mutinerie par invasion du show rouge, par pancarte interposée.

 

 

Heureusement, Shelton fait le métier et place quelques beaux moves qui réveillent le public, tel ce powerbomb qui projette Zack à l’extérieur du ring.

 

 


– Rosa… Je vais mourir… Alors… Je voudrais… que tu saches… que… je t’aime… aaargh…
– Ouais ouais, dis-moi juste où sont tes clés de bagnole..

 

 

Les deux lutteurs sont sonnés, Rosa vient aux nouvelles, ce qui fait tellement plaisir à Zack qu’il n’entend pas l’arbitre et perd par décompte extérieur. Et en plus, retournant sur le ring pour passer sa frustration, il se mange un Paydirt des familles. Sale soirée pour lui.

 

 


Ouille ouille ouille!
– I knew it…

 

 

Sept jours plus tard, on est de retour au pays de Hulk Hogan et on a droit à une revanche de la semaine dernière. De plus, l’épisode de la ECW intercalé entre les deux de Supertsars avait entretenu la rivalité puisque, lors de sa promo au micro, Shelton semble avoir, aux yeux de Zack, manqué de respect à Rosa, ce qui justifiait de lui mettre une droite (à Shelty, pas à Rosa).
C’est Shelty qui entre en premier, soutenu activement par Byron Saxton, qui se dandine sur le themesong du Gold Standard. Face à lui, un Zack Ryder sur de lui et une Rosa radieuse.

 

 


Cette chasseuse de prime intergalactique vient d’appréhender un dangereux criminel spatio-temporel.

 

 

A peine la cloche sonnée, Zack fuit littéralement le ring. Visiblement, la leçon de jeudi dernier ne lui a pas servi. De fait, Shelton le ramène manu militari in ring, et fait parler sa technique et sa puissance, comme sur cette souplesse contrée qui aboutit sur un neckbreaker. Zack morfle, et ne répond que par des droites.
Le combat est d’excellente facture, avec des prises puissantes et « risquées » (comme un surpassement par-dessus la troisième corde; de qui sur qui? Gordon ne le dit pas dans sa review, z’aviez qu’à regarder, na). Zack finit par reprendre un minimum le contrôle, à force de tentatives de soumission. Mais Shelty B est déchaîné, quitte à se faire mal au bras comme sur ce spinning heel clothesline porté depuis la troisième corde, et c’est à cet instant que…

 

 


Oui, allo? Une interview pour Lips magazine? Ouais, je prends.

 

 

Mais quoi! Alors qu’on a affaire à un match passionnant, le réalisateur nous sort un gros plan sur Rosa Mendes recevant un coup de fil. Visiblement, c’était pas une copine, mais sans doute Maman Mendes, puisque l’interlocuteur veut parler à Zack. Ca doit même être sacrément urgent, puisque Rosa pénètre sur le ring pour passer le téléphone à son cher et tendre. Zack est furieux et prie gentiment sa belle de sortir. Un hurlement de truie plus tard, Shelton se retrouve sur le turnbuckle, ayant voulu attaquer Zack dans le dos. Mais le hurlement de Rosa lui a permis d’esquiver et de placer un Zack Attack pour le compte de trois. Au final, un match d’excellente facture, avec une intervention de Rosa originale et bien pensée.

 

 


– Zack, c’est ma maman qui demande si ça te va des haricots avec le gigot dimanche. Oh, tu pourrais m’écouter deux minutes quand je te parle?

 

 

Passons maintenant aux deux fights de Smackdown, eux aussi marqués par la présence de séduisantes sylphides en ringside.

 

SmackDown épisode 1: Matt Hardy vs David Hart Smith (w/ Tyson Kidd & Natalya)

 

C’est accompagné d’une pop aussi énorme que son anneau pylorique que Matt Harbyde (Note de la rédac: le jeu de mots est de Gordon, y a copyright) fait son entrée. Face à lui, DH Smith et la Hart Dynasty. Smith démarre le mieux, immobilisant Hardy dans une armbar. Le vétéran finit par s’en dégager et placer une headlock. Beaucoup de lutte au sol en ce début d’affrontement, qui malgré tout passionne la foule anglaise et surtout Natalya, excitée telle un Horny en chaleur à chaque coup porté par son zincou.

 

 


Vas-y David! Arrache-lui les poignées d’amour, comme dans Se7en!

 

 

Le combat est lent, physique, axé sur les prises de soumissions, mais pas de mauvaise facture. Une legdrop portée depuis la seconde corde par Hardy change la façon de combattre des deux lutteurs, qui désormais se foutent dessus à l’extérieur du ring, avant de revenir in-ring pour une superplex portée par DH Smith. Beaucoup de mouvements d’école, mais très bien portés, à l’instar de ce powerslam du membre de la HD qui aboutit à un nearfall. En tout cas, Matt Hardy morfle, et DH montre qu’il est le meilleur des Hart.

 

 


Bon OK, je suis pas le best there was ou le best there ever will be, mais je suis le best there is, c’est déjà ça.

 

 

Matt Hardy tente tout de même de revenir dans le match avec un top rope moonsault légèrement botché, qui aboutit à un autre nearfall, puis s’essaie à un twist of fate (contré) avant de réussir à placer un Side Effect, au plus grand bonheur de la très réactive (ou très ivre) foule britannique.
Arrive à cet instant le tournant du match: après le nearfall, Matt se prépare à une nouvelle prise, mais il est distrait par Tyson Kidd. Harbyde (©) met alors une droite à Kidd, avant de se manger un big boot de la part de DH Smith. Soucieux de veiller au respect des règles, l’arbitre bannit alors Tyson Kidd ET Natalya des abords du ring. DH leur demande alors d’obéir aux décisions de l’arbitre, afin qu’il puisse faire le tombé sur Matt. Mais ce dernier, plus expérimenté, profite de la distraction pour placer un petit paquet pour le compte de trois! Le gros bâtard!

 

Au final, même si la victoire est un peu tronquée, on a assisté à un excellent opener entre deux midcarders, qui a confirmé que Tyson était bien le boulet des Hart et qui a offert une victoire convaincante à un Matt qui en avait bien besoin.

 

 


La WWE, le seul endroit où les armes chimiques n’ont toujours pas été proscrites.

 

 

SmackDown épisode 2: Eric Escobar (w/ Vickie Guerrero) vs Jimmy Wang Yang.

 

EXCUSE MEEEEEEEEEEEEEEEEE! Vickie Guerrero a quelque chose à nous dire. L’amour plane sur Superstars, puisqu’elle nous annonce le combat à venir de l’homme de ses rêves, Eric Essssssssscobar.

 

 


Si Vickie est pleine d’amour, ce n’est visiblement pas le cas d’Eric Escobar, qui à mon avis attend Thanksgiving pour changer de meuf après avoir farci la dinde.

 

 

Face à Eric, une terreur des rings. Non pas par son catch extraordinaire, mais parce qu’il a survécu à Droumakintare: j’ai nommé Jimmy Wang Yang. A noter les nombreux botchs des commentateurs au moment de citer son nom. Faut dire qu’on l’avait pas vu depuis un bail.

 

 


D’ailleurs, la WWE a elle aussi oublié son nom.

 

 

Pourtant c’est bien le cow-boy asiatique qui prend le combat par le bon bout, même s’il se fait acculer dans le coin et méchamment attaquer par l’homme qui squatte le bar. En effet, Escobar s’affirme dans un style de brawler, avec des prises qui font mal, la où Wang Yang continue son catch à base de kicks. Le combat, pour mon plus grand plaisir, n’en est pas ennuyeux pour autant. Le final voit évidemment intervenir la sublime compagne d’Escobar: Wang Yang monte sur la troisième corde, Vickie le distrait (kikoo! Kikoo! Ohé par ici!), JWY se retrouve désormais sur le tablier du ring, Escobar place une sale balayette qui fait retomber Wang Yang in ring. Un big boot plus tard, l’Asiatique est sonné, et Escobar s’impose. Il a donc eu besoin de l’aide de Vickie pour battre l’incarnation du jobber. Ca promet pour la suite de sa carrière.

 

 


Vickie! Vickie! Il est tombé par terre, je fais quoi maintenant? Je dis Essssssscobar?

 

 

Et pendant qu’Eric et Vickie se pochtronnent (esc) au bar, tel Tsuru méditant sur sa vie autour d’une bouteille de beaujolais nouveau tout en surfant sur jv.Com, nous, on file tout droit vers le show rouge.

 

 

Main-Event: RAW: MVP (w/ Mark Henry) vs Ted Di Biase Jr (w/ Cody Rhodes) puis exactement l’inverse

 

Ils se retrouveront dans des teams opposées à Survivor Series, ce n’est donc que normal que la Legacy et MarkVp se mettent joyeusement sur la gueule deux semaines de suite. Le 12, ca démarre en backstage avec une petite interview des deux compères de la Legacy. Josh Matthews leur rappelle la feud en cours avec Kofi Kingston et le dernier 6-man tag team match face à Kofi et MarkVP. Cody Rhodes ouvre le bal en expliquant que MVP parle beaucoup, mais que la Legacy, elle, agit. Di Biase renchérit en disant que MVP aime beaucoup exhiber ses bijoux flashy et faire son ridicule « Ballin », alors que lui est le Million Dollar Son, ok, tu respectes. Il conclut en disant que MVP ne l’impressionne pas, ni lui, ni son VIP Lounge, ni son activité in ring, ni même d’ailleurs aucun membre de la Team Kofi à Survivor Series.

 

 


Allez Ted, t’as pas peur, t’es un winner!

 

 

En tout cas c’est bien MVP qui reçoit une énorme pop de la foule du pays de Sa Majesté, et qui démarre bien le match avec une headlock bien portée, dont finit par se dégager Di Biase, qui accule son adversaire dans le coin, sous les huées de l’Arena. Beaucoup de combat au sol, comme durant toute l’émission du 12 d’ailleurs. En tout cas MVP domine, et du coup, la Legacy décide de se casser, pas que ça à foutre finalement. Porter n’est pas content et se jette par dessus la troisième corde pour une slingshot plancha pour retenir ses copains.

 

 


Exaspéré qu’on critique son « ballin’ », MVP inaugure en proposant sa nouvelle catchphrase: « Banzaiii! »

 

 

Clairement, le membre de la Legacy jobbe et MVP garde le contrôle à l’aide d’un catch technique (oui, tsuru, j’ai bien employé le terme « technique » pour parler de MVP, mais [voix de CM Punk]tu es de toute façon trop beurré pour comprendre quoi que ce soit, n’est-ce pas?[/voix, rictus]). Heureusement, il reste un peu de vice chez le fils de, qui esquive un Player’s Boot avant d’envoyer MVP hors du ring. Et la, Montel mange sérieusement: Bras éclaté contre la barricade, épaule projetée contre le poteau du ring, et finalement, nearfall, mais gros temps fort du membre de la Legacy. Pourtant, malgré un bras blessé, un facecrusher et un ballin’ plus tard, MVP is back in the match, pour placer un playmaker contré, puis un big boot qui aboutit à un nearfall. Ringside, Cody Rhodes se montre un peu trop expressif. Et comme l’arbitre ne s’en mêle pas, Mark Henry vient faire le ménage lui-même. Profitant de la confusion, Ted Di Biase tente de placer une prise sur son adversaire, mais se fait contrer et embarquer dans un petit paquet dont il ne se relèvera pas.

 

 


Million Dollar Man! Si tu veux revoir ton gosse en un seul morceau, envoie-moi une pute avec des nichons gros comme ça!

 

 

Excellent match en tout cas, et victoire logique de MVP au vu de la construction du combat. Mais évidemment, les deux autres allaient avoir leur quart d’heure de gloire warholienne la semaine suivante. Le plus malingre de la Legacy face au moins svelte de MarkVP, ç’avait une gueule un peu déséquilibrée sur le papier. Rhodes porte pourtant le premier coup, mais démarre par le mauvais bout. C’est pas une pauvre droite qui va inquiéter Henry. Pire, ca va l’énerver.

 

 


Tu m’as mis une claque, en retour, je vais t’arracher un bras.

 

 

Finalement, Rhodes trouve son salut dans les cordes, ce qui lui vaut de se mettre le public à dos. Mais Henry s’impatiente, et lorsque son adversaire monte sur les cordes, il va le chercher et le jette par terre, tel un vieux sac à patates. The world’s strongest man archi-domine son adversaire, et ce ne sont pas les timides contres du fils du Dream qui vont l’inquiéter.

 

 


Cody, t’es tellement petit qu’on dirait que t’es loin!

 

 

Néanmoins, Rhodes a trouvé la faille. Après avoir blessé Henry à la jambe, il décide de suivre la seule option raisonnable: s’acharner sur cette dernière. Ca marche un temps, jusqu’à ce que Thierry (oups, sorry les Irish!) Henry se décide à supporter la douleur. Quelques contres et un World Strongest Slam plus tard, Cody Rhodes se fait river les épaules au sol et le chocolat sexuel s’impose.

Ted et Cody ont donc tous deux jobbé à MarkVP, brisant ainsi le prévisible équilibre « une victoire partout », pour deux combats rawiens très corrects, dont les blacks en rouge sortent bien renforcés.

 

Maintenant que vous avez lu tout ça, voici enfin la séquence philo que vous étiez venus chercher en cliquant sur cet article, éperdus quêteurs de vérités éternelles que vous êtes.

 

Segments Ask The Divas, deux pour le prix d’un

 

Finalement, à la réflexion, je ne vous dirai rien de la première question. Elle risquerait trop d’ébranler les fondements fragiles de votre psyché. A la place, je vais demander à Josh de vous raconter une blague de Mr Coffeeinthebank. Go Josh.

 

 


OK! Vous savez qui c’est la femme de Vin Diesel? Evanescence.

 

 

Merci Josh. Passons alors à la seconde question. Faut-il dire à son meilleur pote qu’on est love de lui? Ca tombe bien, ça fait longtemps que je n’arrive pas à avouer mes sentiments à T., dont je vous tairai le nom. Je le regarde parfois siffler une boutanche de beaujolpif en récitant le roster de la NOAH par cœur, et ma bouche se déssèche, et je ne dis rien, alors maintenant, enfin, je vais savoir! Alors, que nous disent nos oracles modernes? Eh bien, Gail dit que ça devrait rester juste un pote, Maria invite à réfléchir aux conséquences, et Beth dit que s’il a pas envie de tirer son coup, dégage-le, c’est mieux. Bon, je vais essayer de compiler les trois, je vous tiens au courant.
Une semaine plus tard, une autre grande question est posée. Les divas croient-elles au coup de foudre?

 

 


Melina, elle, croit au coup de poudre! Lol!

 

 

Les prétentieuses Bella Twins pensent que de toute façon, les garçons tomberaient amoureux d’elles au premier regard. Nawak, ça fait des mois qu’elles tournent sans succès autour d’un Hornswoggle qui les bat froid. Notre championne, Melina, est plus timide. Ca lui arrive, mais ca ne s’explique pas. Genre un soir de Royal Rumble dans le vestiaire des garçons, blam, coup de foudre inattendu.
Mais l’oscar de la meilleure réponse va sans conteste à la plus féminine des amazones, puisque les penchants SM de Beth Phoenix lui font dire qu’elle aime non pas « the love at the first sight » mais « at the first fight ». On comprend mieux son histoire avec Santino, d’un coup.

 

 


D’ailleurs, là, Beth est totally in love.

 

 

Et pour conclure, Alicia Fox est en mode Zack Ryder, puisqu’elle suppose que « you know it ». Ben non idiote, on te demanderait pas sinon, non mais je vous jure.
On continue dans le conseil amoureux pour la seconde question: Comment briser la glace lors d’un premier rendez-vous? Une question qu’on ne se pose que lorsqu’on décroche un premier rendez-vous, mais ça, personne ne le dit, grrr. Quoi qu’il en soit, Beth nous conseille de faire rire l’autre (on aimerait voir ça, tiens; moi si Beth me raconte des blagues de Toto aux toilettes, je promets de rire de toutes mes forces, sinon, gare à ma mâchoire). Alicia Fox est dans le même registre, puisqu’elle suggère de placer une blagounette de-ci de-là. Comme dans une review pour les CDC en fait!

 

 


– Dis, tu connais l’histoire de la conne qui dit non?
– Hein? Non!

 

 

Melina et les Bella sont plus pragmatiques: Soyez vous-même et ca devrait bien se passer. Ouais, c’est facile de dire ça quand t’es Melina ou une des Bella, mais quand t’es par exemple Jean-Pierre Treiber, Emile Louis ou Silvernights, c’est tout de suite moins évident. I’m just sayin.

 

Sur ces conseils hautement pratiques qui ont définitivement changé ma vie et celle de 90% des lecteurs masculins de cette review, je repose ma plume mais, anxieux de nouvelles découvertes, je serai, si le Dieu du catch le veut, au rendez-vous du prochain Superstars…

 

 


Because I’m Arthemiz and I am Gordon. Nananère.


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